Le Pont

«La vie est un pont, traverse le, mais n’y fixe pas ta demeure»
(Sainte Catherine de Sienne)

«Il y a des hommes n'ayant pour mission parmi les autres que de servir d'intermédiaires ; on les franchit comme des ponts, et l'on va plus loin» 
(Gustave Flaubert) 

«Le pont entre la matière et l'esprit : le Verbe»
(Gitta Mallaz)

«Mon Dieu, qu’il y en a des croix sur cette terre, croix de bois, croix de fer, humbles croix familières, de silencieuses croix qui veillent sur le monde …»*, mes SS.·. et mes FF.·. il en va de même des ponts. Certains réunissent, d’autres divisent, il en est des fragiles ou des triomphaux ; des improvisés et des ornementaux ; des archaïques, des pittoresques, des fous ou bien encore mêlant génie et dénuement… Mais pourquoi cette analogie entre le pont et la croix me direz- vous ? Tout simplement parce que dans la croix, se trouve le passage de la terre au ciel, de la même façon que nous le consent le pont entre deux berges.

Le pont est un poème épique, une œuvre individuelle, anonyme et collective, au service de tous et de soi. Le rituel du IIIème Ordre nous parle peu de ce pont. En le synthétisant, voilà ce qu’il nous raconte :

- 1) Nous assistons à la destruction du Temple.

- 2) La libération de Zorobabel intervient.

- 3) La construction, le passage et la bataille du pont.

- 4) Rassemblons ce qui est épars.

- 5) Enfin construisons le temple.

Si nous analysons cette progression, ce cheminement, que voyons nous. La mort, la liberté la renaissance, tout cela sur fond de « luttes intestines » … C’est en fait, ni plus ni moins que notre quête depuis le jour de notre initiation. Pour naître, il faut mourir et pour mourir, il faut d’abord s’éveiller. Cette maxime entêtante, peut paraître saugrenue, elle est pourtant le précis de notre quête.La vie est un perpétuel recommencement. Quand on pense la boucle bouclée, la chose jointée, le pont passé, il faut partir à nouveau, cheminer sans cesse car la spirale est sans fin, pareille à notre faim d’instruction et de transmission.

Le pont est ce lien entre matériel et spirituel. Nous sommes à l’image du Pontife, à la fois pont et constructeur de ce pont. Dans toutes les mythologies, il est présent et c’est certainement dans l’ancienne Iran que sont image était la plus belle. Après sa mort, le défunt devait emprunter un pont qui était d’autant plus large qu’il avait été vertueux… Celui-ci pouvait donc être réduit à un « fil de rasoir » ; Comment cheminer sur un tel pont ? Cette remarque me remémore un jeu, vieux comme le monde, auquel s’adonnaient les « Pharaons Noirs d’Egypte » et que nous connaissons tous : le jeu de l’oie. Il est en ce jeu, une case dite « le pont de l’épée » qui représente une gorge étroite, au fond de laquelle un torrent se fraye avec fureur, un passage entre les rochers et celui-ci est surplombé d’une épée. Un pont qui ne permet ni d’avancer, sans aucun garde-fou le vertige nous presse, la souffrance de la blessure et la mutilation sont évidentes ; ni de reculer, puisque les parois sont abruptes. Le joueur, ne joue plus. Il est là terrassé par le fil de l’épée, vaincu par le vide, battu par le torrent… Il ne peut plus rien faire si ce n’est s’abandonner à Dieu, taire ses passions, devenir humble, originel ; négliger ses envies, omettre ses défenses… Etre Lui et seulement Lui. Face à la dérision de sa propre mort, le seul choix est de l’accepter et c’est là, qu’apparemment vaincu, totalement abandonné à son sort, dépouillé de ses miasmes et de ses certitudes, en proie au doute, qu’il place inconsciemment son destin entre les mains du Maître de la Voie. C’est là son seul tribut, mais quel don de soi, quelle abnégation, quel symbole ? C’est à ce moment là et seulement à cet instant précis, que le jeu peu reprendre ; Regardez le mes SS.·. et mes FF.·., il passe le pont, sans souci du tranchant de la lame, sans attirance aucune pour le vide, sans peur du tumulte des flots ; le Nouvel Homme est déjà sur la rive opposée, il s’est débarrassé de ses breloques et voit celles-ci, sur l’autre rive, gisant aux pieds de sa « vieille dépouille ». C’est la quête de Lancelot du Lac, qui ne voit ses blessures, ne sent pas la douleur, n’entend le fracas de l’eau et ne regarde que la tour et la Reine en son sommet. Nous sommes tous ce joueur que le hasard a placé là, sur cette case du « pont de l’épée », le jour de notre initiation, avec pour seule mission de le passer, de savoir vaincre nos passions, soumettre nos volontés, redevenir pareil à l’origine, au moment du Souffle Divin, beaux et libres, enfants de la lumière, bâtisseurs de Temples en nos cœurs.

Ainsi chacun est Principe, celui là même dont il révèle la Gloire, il est le G.·.A.·.D.·.L'U.·.. C’est quand la lumière éclaire l’image, presque un mirage, à peine une ombre, qu’Il se dévoile, peu à peu à nous et en nous, que l’énigme se fait Verbe et Vérité, qu’éclate alors la transfiguration du Tout dans l’Unité.

* Edith Piaf.

Marc-Antoine Bonnet, Vème Ordre, Gr.·. 9
Suprême Commandeur du Grand Chapitre Général d'Andorre

Columnas de un Templo Masónico

La columna es el principio de sustentación de cualquier edificio o construcción, ya que sobre las columnas las grandes obras son construidas o sostenidas. Derivada del latín columen, que significa "sostén" o “soporte”, elemento arquitectónico vertical que posee principalmente funciones estructurales pero también decorativas. Su sección es circular, cuando es cuadrangular suele denominarse pilar, o pilastra si está adosada a un muro. Nos dice la Enciclopedia de la Francmasonería que una columna “es un pilar redondo que se usa para sostener así como para adornar un edificio, cuya construcción varía en las diferentes órdenes de arquitectura. En la Masonería las columnas tienen una significación simbólica de sostén de la Logia y se conocen como Columnas de la Sabiduría, la Fuerza y la Belleza. El entendimiento de columna, en su forma concreta, es el de una viga cilíndrica vertical hueca que sostiene simbólicamente el templo. Entre los hebreos las columnas, o pilares, se usaban metafóricamente para significar los príncipes o nobles, como si fuesen las columnas del estado. Los elementos que componen a una columna clásica son tres: basa, fuste y capitel. La "basa”, se asemeja a la cepa del árbol, el “fuste” al tronco o corteza y el “capitel” al nacimiento de sus ramas más gruesas. Sus formas y ornamentos varían según la órden arquitectónica: barroca, rococó y neoclásica.

HISTORIA 

En el año 2600 a. C., en la arquitectura del antiguo Egipto, el arquitecto Imhotep hizo uso de columnas de piedra. Desde entonces todas las grandes civilizaciones las incorporaron a sus construcciones. Inspirado en la naturaleza y sus formas, se basó en los haces de caña que se utilizaban para sostener las viviendas primitivas, propios de las arquitecturas de piedra. Con el tiempo variaron sus fustes y capiteles, dándoles diversas formas estilizadas de flores como lotiformes, palmiforme o campaniforme. Entre las más elaboradas están las de los persas, con sus enormes columnas construidas en Persépolis, cuyos capiteles estaban decorados con bustos de toros. Los egipcios, persas y otras civilizaciones antiguas utilizaron las columnas de forma práctica para sostener los tejados de sus edificios, decorados exteriormente con relieves o pinturas. Los griegos y romanos las usaron tanto en el interior como en el exterior de los edificios. La Revolución Industrial impulsó la construcción de edificaciones con pilares de acero y hormigón armado, posibilitando realizar cerramientos exteriores sin funciones estructurales. En la arquitectura moderna, el funcionalismo o la arquitectura sustentable son algunos modos de concebir el diseño arquitectónico de las columnas. En razón de su pertenencia a alguno de los órdenes arquitectónicos clásicos, la columnas pueden ser:

· Columna dórica

· Columna jónica

· Columna corintia

· Columna toscana

· Columna compuesta

· Columna salomónica, que agregamos para tratarla a continuación.

La columna salomónica, torsa o entorchada es una columna con fuste de forma helicoidal, que se utilizó fundamentalmente en Europa y en América en la arquitectura barroca. Recibe su nombre porque se creía que así eran las columnas del Templo de Salomón, destruido en el año 586 A.C., de acuerdo a la descripción que se hace en la Biblia de las sus dos columnas principales. Estas flanqueaban el vestíbulo y se llamaban Boaz y Jachin, simbolizando respectivamente la fuerza y la estabilidad. Poseían un fuste retorcido, comúnmente de seis vueltas produciendo un efecto de movimiento. Este tipo de fuste puede haber evolucionado del estilo de la Columna de Trajano de la Roma antigua, erigida como homenaje al Emperador del mismo nombre, la cual una decoración con una banda única continua, en forma de espiral. La introducción de la columna salomónica en el barroco, expresa la condición de arte en movimiento. En muchas ocasiones se encuentra el fuste cubierto con decoración vegetal a base de hojas de parra. Los capiteles pueden ser diversos y es muy habitual que aparezcan retablos u otros adornos.

La Biblia nos cuenta, en el Libro de Reyes, que cuando los hebreos volvieron a la tierra prometida, el rey David comenzó a construir el Templo de Jerusalén, el Templum Domini (Templo del Señor). Tras la muerte del rey David su hijo, el rey Salomón, prosiguió la construcción del Templo en el Monte Moriah. “ Salomón comenzó la construcción del templo del Señor en el cuarto año de su reinado en Israel, en el mes de Ziv, que es el segundo mes del año, cuando hacía ya cuatrocientos ochenta años que los israelitas habían salido de Egipto. Tenía veintisiete metros de largo, nueve de ancho y trece y medio de alto. 3 El vestíbulo que había en la parte delantera del templo medía nueve metros de largo, igual que la anchura del templo, y cuatro metros y medio de ancho en la parte frontal del edificio. 4 Salomón le hizo al templo ventanas con rejas. 5 También construyó un anexo junto a los muros que rodeaban el templo, tanto alrededor de la sala central como del cuarto posterior y construyó celdas a su alrededor. 6 La planta baja del anexo medía dos metros y veinticinco centímetros de ancho; la planta intermedia, dos metros con setenta centímetros; y la planta alta, tres metros con quince centímetros; pues por fuera había reducido las medidas para no empotrar las vigas en los muros del templo. 7 En la construcción de éste se emplearon piedras totalmente labradas, así que al edificarlo no se escucharon martillos ni piquetas ni ningún otro instrumento de hierro. 8 La puerta de la celda de la planta baja estaba al lado derecho del templo; y para subir a los pisos intermedio y tercero había una escalera de caracol.”

El rey Hiram I de Tiro, contrató a un experto, éste “4 era hijo de una viuda de la tribu de Neftalí y de un nativo de Tiro experto en trabajar el bronce llamado Hiram Habif. Éste era muy hábil e inteligente, y conocía la técnica para realizar cualquier trabajo en bronce, así que se presentó ante Salomón y realizó todos sus trabajos. 15 Fundió dos columnas de bronce, que medían ocho metros de alto y cinco metros y medio de circunferencia. 16 Hizo también dos capiteles de bronce para colocarlos en la parte superior de las columnas. La altura de cada capitel era de dos metros y veinticinco centímetros. 17 Además hizo dos rejillas, trenzadas en forma de cadenas, para los capiteles que había en la parte superior de las columnas: una rejilla para cada capitel. 18 Hizo también dos hileras de granadas alrededor de cada rejilla, para cubrir los capiteles de las columnas. Así hizo con ambos capiteles. No eran macizos sino huecos, el grueso de sus paredes era de cuatro dedos. 19 Los capiteles que había sobre las columnas del vestíbulo medían casi dos metros y tenían forma de lirio. 20 Alrededor y en lo alto de cada capitel, en su parte más ancha, en forma de globo y junto a la rejilla, había doscientas granadas en dos hileras. 21 Hiram puso estas columnas en el vestíbulo del templo. Erigió primero la columna de la derecha y le dio el nombre de Jaquín, y luego la columna de la izquierda y le dio el nombre Boaz. 22 La parte superior de las columnas tenía forma de lirio. Así quedó terminado el trabajo de las columnas.”

LAS COLUMNAS Y EL TEMPLO MASÓNICO

James Churchward en su obra “El Continente Perdido de Mu”, refiere que “desde los tiempos más antiguos, dos pilares o columnas eran colocados en los atrios o entradas de los templos”... Niven, en su libro “Ciudades Perdidas Mexicanas”, muestra la entrada a un templo que aparece con dos pilares, uno a cada lado, cada uno señalado con un signo numérico. También sobre el centro del arco que los une, en lo que podría ser la piedra clave, se encontraba la letra hierática “H” según el alfabeto de Mu. Alrededor de ésta, el símbolo alfabético de cada una de las cuatro fuerzas sagradas, las cuatro grandes fuerzas primarias elementales: Tierra, Agua, Aire y Fuego.

Las columnas de los templos masónicos evocan las construidas en el Templo de Salomón, su tamaño es proporcional al espacio, y en algunos existe un lugar hueco dentro de ellas, el cual en ciertas épocas fue usado como repositorio de rollos constitucionales y de diversos documentos. Con respecto a las granadas, “que también se pueden ver en algunos templos, simbolizan abundancia y fertilidad. Esta fruta tenía asociaciones místicas en la antigüedad. Para la masonería denota esa abundancia que es el fruto de una utilización sabia de los dones que recibimos y que deben contribuir al progreso de la humanidad. Para la época era costumbre determinar los puntos cardinales basándose en el punto del sol naciente y el sur estaba hacia la derecha y el norte hacia la izquierda. Por lo tanto sur y derecha eran sinónimos, al igual que norte e izquierda. Josefo dice que: “Una de las columnas la colocó a la entrada del pórtico a la izquierda y la llamó Boaz”.

En el templo están ubicadas las dos columnas a la entrada, en el occidente y a cada lado se ubican, junto a ellos los dos vigilantes. En "Edimburgo" las palabras “B” y “J” se empezaron a usar en el Grado de Aprendiz y Compañero, como nos dice el Querido Maestro Joaquim Villalta, apoyado en las luces dadas por el Q:.H:. Patrick Négrier. Estas se asocian a los dos primeros grados cuando se conocen ambos nombres, dejando para el grado de Maestro la letra G. Según los diferentes ritos estas columnas se colocan de manera distintas: en el rito francés y egipcio, Jakin está a la derecha, al noreste, mostrándonos la ubicación del horizonte donde el sol sale el día más largo del año, el solsticio de verano. Boaz está a la izquierda desde donde sale el sol en el solsticio de invierno, considerado el día más corto del año. Estas fechas se dieron en situaciones diferentes y no guardan relación entre sí. En el rito escocés es al contrario, pero para aclarar cualquier duda podemos volver al “texto fundador de Edinmburgo, de 1696”, el cual responde con claridad a la pregunta: ¿Existen algunas luces en tu Logia? R:. Sí, existen tres: la del noreste, la del sur y la del este. También pasajes al oeste, lugar del horizonte donde el sol se levanta en cada uno de los dos equinoccios. En Edimburgo de 1696 se refieren a la puerta y a las dos columnas a "Noreste, Sudoeste, y Pasaje del Este". Con relación a la polémica de los ritos Antiguos y Modernos, si nos remontamos a 1737, podemos ver en el ritual descrito en “La Recepción de un Franc Masón”, donde “B” y “J” se le comunicaban al Aprendiz. En “La Orden de Los Franc Masones Traicionados”, en 1745, Gabriel-Louis PERAU, afirma que esto continúa. Lo que es realmente relevante es que “J” debe estar en el noreste/ noroeste y “B” (ubicando aquí a los que reciben a Jakim) en el sureste/suroeste de “B”. Cada Logia es libre de decidir, según su rito, la ubicación de los que reciben a Boaz o a Jakim. La materia de ambas columnas fue el “bronce”, aleación de cobre y estaño, que en los tiempos antiguos se usaba para los instrumentos del culto. La importancia del bronce en la Prehistoria representaba algo potente e imperecedero, apropiado para lo divino.

DEL NOMBRE 

Estas columnas debieron usarse en sacramentos sagrados. Existen varias teorías en relación al nombre de ellas y sólo a modo de ilustración les presento algunas.

Para los hebreos parece ser que era costumbre del pueblo darle nombres a objetos sagrados. En el libro de Éxodo se relata: “Y Moisés edificó un altar y llamó su nombre Jehovanisi”, que en hebreo antiguo significa “las vestiduras sagradas de Dios“. En ese órden de ideas, el nombre Jaquín está formado por las sílaba “Jah” forma corta de decir Jehová o Yahvé y “aichin” que quiere decir “establece”, por lo que el significado de Jaquín sería “Establece” o “Será establecido”, dándonos la idea de firmeza. A su vez, Boaz está formado por la sílaba “Bo” que significa “en El” y “Az”, “fortaleza“, o sea “en Él está la fuerza“.

Hay otra teoría, que dice que cada una de estas palabras es la primera de una inscripción que entera decía: “Que el Señor establezca (Jaquín) el trono de David y su reino para siempre y entonces en la fortaleza (Boaz) del Señor se regocijará el rey”. Aunque lógica e interesante y que tal vez haya sido el espíritu de las palabras, no es la impresión que dan los textos bíblicos, que simplemente citan los nombres de las columnas como si hubieran sido nombres personales. Esto origina otra teoría que sugiere que realmente eran nombres de personas. Por una parte Jaquín era el nombre del asistente del Sumo Sacerdote que oficiaba en la dedicación del templo y se asocia con Salomón y por otra parte Boaz era el nombre del bisabuelo del rey David y obviamente se asocia con David. Desde el punto de vista esotérico, podríamos pensar que Hiram haya tenido motivos para elegir estas palabras, como para tratar de representar, desde la semiología, la fortaleza, la firmeza y protección.

Igualmente en algunos textos de Maestros masones norteamericanos, existe una alusión al hecho de la vinculación entre los últimos caballeros templarios refugiados en Escocia y la constitución de la primera logia masónica moderna de Londres en 1717. Contemplan la posibilidad de que, por ese motivo, los templos masónicos modernos sigan la tradición templaria de erigir las columnas en sus templos con las letras “J” y “B”, como es el caso -entre otros- de la famosa capilla de Rosslyn en Escocia. Se estaría honrando al último maestre templario y el más famoso, Jacques De Molay, considerado mártir y caballero sagrado (en hebreo Kadosch) por templarios y masones. Las iniciales del nombre en latín de Jacques de Molay: Jacobus Burgundius Molay son J, B y M.

Lo cierto es que las Columnas en el templo no tienen un valor estructural ya que no sostienen nada en la mayoría de los casos, entonces es enteramente simbólico, como portal bien delimitado que permiten la entrada a una cámara interior, donde realizamos trabajos ajenos a los profanos. Desde allí, como en las coronaciones de antaño, nos iniciamos, ingresamos a un crecimiento masónico que indica que estamos preparados para un renacimiento desde el espíritu y que pasaremos entre columnas a un nuevo nivel de conciencia apoyados en ellas; la de la fuerza y la del control, portales simbólicos, una conexión entre el cielo y la tierra. Podríamos decir que en ellas está la lección, en las columnas mismas, en lo que representan silenciosamente para cada iniciado. Nos recuerdan la necesidad de crecer desde un firme cimiento y a través de la fuerza para emerger victoriosamente en todas las luchas de la vida. Senda para que los hombres durante su existencia terrenal, viajen un poco más allá, un tanto más alto hacia la cámara secreta de su existencia, como voz del silencio, como la luz que ilumina el camino hacia la sabiduría. Reproducimos aquí lo escrito por Jules Boucher en “La Simbólica de los Números”: “Dos pilares colocados lado a lado forman una Puerta llamada `Puerta de la Vida', `Puerta de los Cielos' o `Portal de la Eternidad'. Los dos Pilares son dispuestos comúnmente en ambos lados de la puerta de entrada a los lugares sagrados. También el modelo binario formado por los `dos Pilares' es frecuentemente un símbolo correlativo de la `Puerta'. La imagen de los dos pilares se inserta en un ámbito de carácter general que comporta a los Gemelos, el Doble León, los dos Horizontes, las dos Montañas del Mundo, las palabras bisílabas, las letras dobles. Al respecto, C. G. Jung dice: <Toda imagen doble... refuerza al multiplicar el valor simbólico de la imagen, o desdoblándola muestra las divisiones internas que la debilitan>”.

DEL SIGNIFICADO

Haciendo un breve recorrido por lo que han representado en varias miradas y épocas podríamos decir que las columnas son los elementos más importantes del pensamiento masónico del hombre, desde la antigüedad y las mitologías primitivas. Para quien se inicia es un nacer a un tiempo y un espacio sagrado de donde se sale de las tinieblas para recibir la Luz. Se nos enseña a colocarnos entre las dos columnas de la entrada, en el lugar central o medio donde se produce el equilibrio o armonización de toda dualidad a través del eje vertical invisible. En ese punto, entre columnas, y estando al orden, todo masón se mantiene en una actitud receptiva y es así como recibe la instrucción del grado nos es comunicada, al igual que los signos, palabras y toques que la Masonería atesora para nosotros; pero también es ahí, entre columnas, donde tomamos las decisiones definitivas para nuestro proceso iniciático, cuyo compromiso ratificaremos en el Altar de los juramentos. El masón en su camino iniciático viaja por el filo o justo medio, armonizando y conciliando los contrarios en su recorrido desde las tinieblas hacia la luz, en un proceso de retorno al verdadero origen que es supra humano y supra cósmico.

También la columna es “soporte” que representa el eje de la construcción y liga entre sí a sus diferentes niveles. En el capítulo segundo de la obra Hermetismo y Masonería, del manuscrito masónico Cooke, 1400, que se encuentra en la Biblioteca Británica, se plantea que toda la sabiduría anterior al diluvio de Noé fue recogida en dos grandes columnas. Más tarde, una de ellas fue descubierta por Pitágoras y la otra por Hermes el Filósofo, los cuales transmitieron las enseñanzas que ellas contenían a los hombres. Se configuran en los dos grandes afluentes sapienciales que nutrirán la Orden: el hermetismo que asegurará la protección del Dios a través de la Filosofía, es decir del Conocimiento, y el pitagorismo que dará los elementos aritméticos y geométricos necesarios que reclama el simbolismo constructivo. En otro orden, estas dos columnas del Templo Masónico simbolizan también la dualidad presente en la creación, la multiplicidad en que se manifiesta la Unidad al reflejarse a sí misma. La misma dualidad que representan los principios activo y pasivo en el Azufre y el Mercurio; el yang y el yin, las fuerzas expansiva y contractiva que rigen todo movimiento binario. Al igual que lo hacen el día y la noche, el Sol y la Luna y también, la Luz y las Tinieblas. Lo masculino y lo femenino que diferencian todo lo creado y definen sus características y en definitiva todos y cada uno de los pares de opuestos que uno pudiera nombrar.

La Cábala nos muestra que en el Árbol de la Vida, imagen del orden permanente de la creación, la columna del Rigor y la columna de la Gracia se hallan equilibradas en el Pilar central. El árbol, posee una figura propia de la columna y ésta, a su vez, es como un árbol estilizado. El simbolismo las integra y, de este modo, la columna simboliza el “árbol de la vida”. En las tradiciones célticas, es el de “eje del mundo”. En el arte greco-romano, las columnas se ponen en relación con el poder y la victoria, toman sentido de un “arco de triunfo”. Ejemplo Romano son las columnas de Trajano las que triunfales representan una ascensión hacia lo celeste, y una obtención del poder divino de la victoria y de la inmortalidad. Otro sentido simbólico es el de “puerta limite”, que tuvieron en la Antigüedad las conocidas “columnas de Hércules” (que en un principio fueron columnas de Melkart) situadas a ambos lados del estrecho de Gibraltar, siendo dos “columnas” paralelas, representaban una “puerta”, pero no de paso a franquear, sino para cerrar el paso. En las tradiciones judías y cristianas la columna tiene un sentido cósmico y espiritual. La columna soporta lo sagrado, la vida, el mundo. En Job (9,6) se evoca la potencia de Yahvé, capaz de sacudir las columnas del mundo: “Él sacude la tierra de sus cimientos, y hace vacilar sus columnas”. En el Antiguo Testamento es la presencia activa de la Divinidad, un faro y guía en el camino. Así en el Éxodo (13,21) dice que: “Iba Yahvé delante de ellos, de día, en columna de nube, para guiarlos en su camino, y de noche, en columna de fuego, para alumbrarlos y que pudieran así marchar lo mismo de día que de noche”. En la psicología actual representa la “afirmación de uno mismo”. Por su verticalidad es un símbolo de ascensión. Cuando se quiere rendir homenaje a otro, uno se inclina hacia él pero si se desea mostrar fortaleza uno pone bien recta la espalda, nuestro eje principal, la columna humana. Cuando el hombre surgió de entre los primitivos antropoides, lo que lo caracterizó fue el ser erectus, un ser con vocación de ascender por encima de lo terreno.

Otras miradas nos muestran diversos significados o representaciones. En el Hinduismo se presentan tres columnas, que están dentro del cuerpo humano: la Columna Ida, la columna Pingala y la columna Sushumna. También dos corrientes nerviosas o conductos situados a los lados de la columna vertebral. Una a la izquierda que se llama Ida y otra a la derecha Pingala, conductoras sutiles del Prana. La luna se mueve en Ida y el sol en Pingala. Ida es fría y Pingala caliente. Ida fluye a través de la fosa izquierda y Pingala por la derecha. El aliento fluye alternativamente, una hora por cada fosa. Mientras el aliento fluye a través de Ida y Pingala, el hombre se ocupa en sus actividades mundanas. Cuando la Columna Sushumna se activa, el hombre muere para el mundo y entra en Samadhi o iluminación. Tanto el Masón como el Yogui Hindú tratan de alcanzar su mejor nivel tratando que su Prana o energía Kundalini, poder serpentino o adormecido, recorra la columna central o el Nadi Sushumna, a lo largo de las 33 vertebras, chacra por chacra, hasta colocarse en la coronilla de la cabeza del Nadi Sushumna y es entonces cuando el Yogui logra diferentes clases de experiencias. Es en este momento en que se equilibran las columnas en el que se entra en un estado de consciencia superior, la energía se eleva.

Por otra parte en su obra “La Vía Simbólica”, Raoul Berteaux, comenta los números que caracterizan la estructura del Templo de Salomón: “Las dos Columnas colocadas al exterior del Templo, a uno y otro lado de la Puerta de entrada, parecen tener, de origen, una connotación astronómica. Son dos Columnas Idénticas que forman un modelo binario de tipo gemelar”.

Bayard, en su obra “La Meta Secreta de los Rosacruces”, dice que la columna “B” puede ser considerada como una columna del Tiempo, y la columna “J” como una columna del Espacio. Clavel, en su obra “Las columnas del cielo”, argumenta que las dos columnas representan los dos principios de creación y destrucción, de vida y de muerte, de luz y de tinieblas, cuyo juego alternativo mantienen el equilibrio universal. Lo que le daría sentido a su ubicación en los límites de la logia, separando dos mundos opuestos. En Log:. se trata de caminar hacia el Centro Supremo, hacia la unidad esencial de todo lo existente, que se encuentra más allá de ambas determinaciones.

ALGUNOS TÉRMINOS USADOS EN MAS:. RELACIONADOS
CON COLUMNAS

Es frecuente leer sobre masonería Columnas, he aquí algunas de esas formas de uso:

1. COLUMNAS: Designa en primer lugar las dos columnas simbólicas “J” y “B” situadas a la entrada de la logia, a imitación de las que Hiram colocó ante el vestíbulo del templo de Jerusalén según consta en la Biblia (I Reyes, 7, 21-22). También significa el lugar que ocupan los masones en la logia, según que estén al lado de una u otra columna.

2. BATIR COLUMNAS: Suspender los trabajos activos, cerrar o disolver temporal o definitivamente una Logia. El abatimiento, suspensión o disolución de la Logia, nunca podrá llevarse a efecto, cuando siete Hermanos, de los cuales cinco por lo menos posean el grado de Maestro, se propongan continuar los trabajos, y constituir Logia Justa y Perfecta.

3. ABRAZO FRATERNAL: Es una muestra de buen acogimiento, de paz y afecto que recíprocamente se dan los Masones en los diferentes Grados. La última ceremonia de la Iniciación, y consiste en abrazar el Venerable tres veces al Recipiendario, dándole el título de Hermano. Ninguna mala pasión o resentimiento entre dos Hermanos resiste el abrazo fraternal que se dan entre Columnas y en presencia del Taller.

4. LEVANTAR COLUMNAS: Término con que en Masonería se designa la constitución formal de una Logia Justa y perfecta y el comienzo de sus Trabajos Masónicos.

5. LA COLUMNA ROTA: En la Francmasonería, la columna rota es, como lo saben bien los Maestros Masones, el emblema de la caída de uno de los principales sostenes del Gremio. El uso de la columna o pilar como un monumento erigido sobre una tumba era una costumbre muy antigua, y era un símbolo muy significativo del carácter y espíritu de la persona sepultada.

Si intentamos construir un Templo espiritual o existencial, al interior de los seres humanos, como miembros de una comunidad o sociedad a la que pertenecemos, entonces éstas son fronteras de protección y el eje de nuestro progreso. Todo ello debería hacernos reflexionar acerca del rico simbolismo que se esconde en este componente de la logia, que son sus dos columnas de entrada. 

Sofía Camacho Chaljub, M.·. M.·.
R.·. L.·. Las Tres Virtudes Teologales Nº 8 al Or.·. de Cartagena, Colombia
Gran Oriente Nacional Colombiano

Petit historique du renouveau du Rite Français Moderne en Suisse

 Le 11 novembre 1991 est fondée à Genève, en Suisse, par huit FF\et deux SS\ provenant de Loges et d’Obédiences différentes (Grand Orient de France, Memphis-Misraïm, loges indépendantes) la Loge de « La Concorde ». La Loge décide de se réunir dans les locaux de la Société Théosophique (à laquelle appartiennent quelques-uns de ses fondateurs), et de travailler au Rite Français d’après les Rituels de 1786 (qu’aucun des membres fondateurs ne pratiquait, de manière à ne préférer ni ne léser personne) et de demander l’adhésion à la Grande Loge Indépendante et Souveraine des Rites Unis (G.L.I.S.R.U.), qui détient une patente de ce Rite, appelé alors Rite Français Traditionnel.

Le V\ M\ élu se rend à Paris le 13 novembre, pour être installé en tant que V\ M\ en Chaire de la Loge par la Haute Loge de Maîtres Installés d'Ile de France.

Les Travaux sont ouverts le 6 décembre, l'allumage officiel des feux de la nouvelle Loge a lieu le samedi 25 janvier 1992 et la Loge entre ainsi officiellement à faire partie, sous le No 67, de la G.L.I.S.R.U, qui lui remet des constitutions symboliques (« patente ») l’autorisant à « se livrer aux travaux des premiers grades symboliques de la Maçonnerie du Rite Français Traditionnel ».

Le 16 avril 1992 son fondateur et premier Vénérable Maître est reçu Chevalier Rose-Croix dans le Rite Français (4e Ordre du Rite) par le Très Puissant Souverain Grand Commandeur René-Jacques Martin, dans le Chapitre « La Rose et le Lys » (Sublime Grand Chapitre Magistral du Grand Globe Français, Suprême Conseil de l’Ordre Maçonnique Universel « Humanitas » pour les Pays de Langue Française), à Lille.

Après un brillant début la Loge devait connaître de nombreuses péripéties, scissions, changements d’Obédiences (d’abord la GLMF, puis la GLMS), dus en grande partie à des conflits de sensibilités et de personnes ; l’amalgame entre des tendances aussi différentes que celles représentées par des membres provenant du Grand Orient de France et d’autres de Memphis-Misraïm et de la Société Théosophique n’ayant pas réussi.
Un dernier différend entre deux groupes de tendances opposées (l’un plus humaniste ou « éclairé », formé par d’anciens fondateurs originaires du GODF et quelques nouveaux membres ; l’autre plus mystique ou « illuminé », formé par d’anciens fondateurs originaires de Memphis-Misraïm et de la Société Théosophique et d’autres nouveaux membres) devait finalement amener en 2008 à la démission des membres de ce dernier groupe de la Loge de « La Concorde », pour rester à la GLMS sous un nouveau nom, et à la sortie de « La Concorde » de la GLMS, pour retrouver l’indépendance sous le nouveau titre distinctif de « L’Amitié », ce changement de nom voulant signifier que, si la Concorde avait disparu, l’Amitié restait le ciment qui liait les FF\ et SS\ restés fidèles à la Loge d’origine.

« L’Amitié » a fait ensuite le choix d’adhérer à Lithos-Confédération de Loges, une Confédération belge à vocation internationale qui garantit la souveraineté effective des Loges qui la composent et dont ils partagent les principes fondateurs.

Constatant, presque quinze ans après sa réception au 4e Ordre du Rite Français, qu’il n’existait toujours pas de Chapitre Rose-Croix Mixte de Rite Français, ni d’Autorité maçonnique régissant des Chapitres Mixtes de ce Rite en Suisse, qui était donc territoire maçonniquement inoccupé à cet égard, par les pouvoirs qui lui ont été conférés avec la filiation initiatique qu’il a reçu et par les anciens privilèges des Souverains Princes Rose-Croix, son fondateur et premier Vénérable fonde à Genève le 13 avril 2006, souché sur la Loge de « L’Amitié », le Souverain Chapitre Mixte « La Rose-Croix du Léman », travaillant d’après les textes du Rite Français les plus anciens connus, rédigés à Paris en 1786[1].

Le 21 avril 2012 le Souverain Chapitre « La Rose-Croix du Léman » devient membre du Suprême Conseil Mixte du Rite Français Moderne pour la Belgique, duquel il reçoit une patente des Ordres de Sagesse du Rite Moderne Français, l’autorisant à travailler selon les traditions, usages et coutumes de ce Rite du premier au quatrième Ordre.

Devenu Sublime Conseil – Grand Chapitre Général Mixte de Belgique, ce dernier adhère à l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne (UMURM), créée à la suite du premier congrès du Rite Moderne à Barcelone en juin 2011.

Tant la Loge de « L’Amitié » que le Chapitre « La Rose-Croix du Léman » restent en 2020 les seuls corps maçonniques mixtes de Rite Français Moderne à Genève et en Suisse, le Grand Chapitre Général Helvétique, souché sur le Grand Orient de Suisse, fondé en 2001 avec une patente du Grand Orient de France, qui la lui a retirée en 2019, étant exclusivement masculin.


Fabrizio Frigerio, Ve Ordre, Gr.·. 9.
Suprême Commandeur du Sublime Conseil du Grand Chapitre Général Mixte de Belgique,
Membre honoraire du Grand Chapitre des Chevaliers Rose-Croix du Portugal,
Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.


[1] Travaux du Souverain Chapitre en ses Quatre Ordres, rédigés par le Souverain Chapitre Métropolitain à l’Orient de Paris, 1786, éd.par Pierre Mollier, éditions A l’Orient, Paris ,2002.




Abrégé de la reconstruction du Cinquième ordre dans la région du Sud Est


1993 Première réunion informelle à Nice pour débattre de la nécessité pour le rite de cette reconstruction.

1994 Première assemblée du 5ème ordre dans le cadre du Grand Chapitre Général de France crée en 1994 par l’équipe de Gérard Bautista. Elle sera sans activité par la suite.

1995 Création de la première assemblée autonome du 5ème Ordre précurseur du Sublime Conseil Provence Fidélité dont le siège sera à Toulon.

Cette assemblée autonome réunira des membres de plusieurs chapitres de la région sud-est.
Elle établira le premier rituel contemporain de réception
Elle recevra en son sein le premier Grand Maître du GODF à en être membre.

1998 Demande officielle du Grand Maître du GODF à  la Chambre d’Administration du GCG du GODF afin de préparer cette réactivation.

1999 Reconstruction officielle du 5ème Ordre au sein du GCG du GODF
Le rituel qui servira à la réception des 50 membres fondateurs est celui de Provence Fidélité.

2003 L’assemblée autonome du 5ème Ordre prend le titre de Provence Fidélité :
elle travaille au rituel des trois arches correspondant à 3 classes de membres du 5ème Ordre d’alors.

2010 Provence Fidélité devient Sublime Conseil et s’ouvre à  la mixité.

2015 Le Sublime Conseil Provence Fidélité fête ses 20 ans d’existence.

2016 Cette assemblée  revient aux deux classes historiquement répertoriées avec deux grades le Chevalier de l’Aigle blanc et noir et le Chevalier de la Sagesse.

2019 Le SC Provence Fidélité adhère à l’alliance des Souverains Chapitres de Rite Français.

En décembre 2020 Provence Fidélité fêtera ses 25 ans d’existence.

Jean Pierre Duhal, Vème Ordre
Membre de l’Académie Internationale du Vème Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.

Bref aperçu de la réapparition des Ordres de Sagesse dans le sud est de la France


Suite à la parution du livre sur la reconstruction des Ordres de Sagesse  publié par Ludovic Marcos et Cécile Ravauger nous apportons une précision sur l’organigramme chronologique de cette reconstruction, à partir  du tableau publié dans leur livre.
Particulièrement pour ce qui concerne l’implantation des Ordres de Sagesse dans le sud-est de la France, région qui a été à l’avancée de la reconstruction de ces « hauts grades ».

Pour mémoire, l’éclipse en France de ce rite dans sa forme traditionnelle durera un peu plus d’un siècle. L’amorce de sa réapparition se fit en 1963, pour les grades symboliques dans une version voisine de celle de ses architectes de 1783.
Suivirent les quatre ordres de hauts grades, tels qu’ils ont été assemblés dans les années 1784-1786. Grâce à des actions individuelles pour les uns comme les autres et surtout fait remarquable, indépendamment des juridictions.
A cette époque les divers grades qui ont été retenus, existaient par ailleurs depuis de nombreuses années, répartis ou non dans divers systèmes.
Il est vraisemblable que cette construction historique trouve sa raison d’être dans des contingences d’ordre « politique ». Cela ne saurait effacer la pertinence et  l’actualité de cette architecture.

Après une longue éclipse, le Rite Français des Modernes réapparait le 30 novembre 1963. Pierre Mollier en rapporte la motivation dans ces termes résumés :
« Lorsque le Rite Français de hauts grades a été réveillé en 1963, après plus d’un siècle de sommeil, c’est justement en raison du caractère “traditionnel” de ses rituels. Le Rite Écossais Ancien Accepté avait absorbé les autres rites dans les années 1850. Il se retrouvait donc seul système de hauts grades à avoir subsisté jusqu’au XXe siècle dans notre pays.
« Mais les Frères qui, autour de René Guilly, ont opéré “le réveil du Français” trouvaient que les hauts grades du Rite Écossais avaient été trop modifiés au gré de l’évolution des modes intellectuelles et du contexte politico-philosophique. Ils souhaitaient revenir à une pratique des hauts grades plus proche des origines où l’accent serait mis sur leur dimension initiatique et spirituelle. De 1963, date de leur réveil, au milieu des années 1990, pendant plus de trente ans, les ordres capitulaires du Rite Français ont été un rite traditionnel. » (1)
En voici un court résumé :
En 1970 le Chapitre « Jean-Théophile Desaguliers », constituait le Chapitre inter-obédientiel « La Chaine d'Union », qui installera en 1977 à Lille, le « Grand Chapitre Magistral du Grand Globe Français ».
En 1979, ce Grand Chapitre, sous l'impulsion de plusieurs maçons provençaux constituent le « Chapitre Général de Provence » qui installera le 22 octobre 1986 à Cabriès en Provence les Chapitres « Lou Calen » et « Pax et Caritas ». (2)

Ce rite était conservé au GCDR, et tellement bien, qu’il était jalousement placé dans les d’archives. Quant au «bureau du Rite Français » présent en son sein, il était généreusement assoupi.
Quoi qu’il en soit, une transmission représentant une filiation légitime, s’est effectuée sous les auspices du Souverain Chapitre Jean-Théophile Désagulier, lequel Chapitre éponyme est aujourd’hui souché sur la LNF.
Le Chapitre Général de Provence annoncé précédemment, a été fondé en 1979 par une transmission du Souverain Chapitre Jean-Théophile Désagulier. Du Chapitre Général de Provence seront issus les deux premiers Chapitres de la région : les Chapitres Pax et Caritas et Lou Calen, constitués en 1985.
Jusqu’à la reconstruction officielle du Rite Français, tous les Chapitres qui ont été créés dans la région provençale découlent de cette structure originelle qui représente à mon avis, la filiation dont nous pouvons nous réclamer.

Après avoir reçu cette pratique, beaucoup d’entre nous souhaitèrent lui redonner un toit. Il fallait bien que la maison mère se décide, après avoir perdu de vue l’usage des hauts grades de son rite historique, à accueillir les fils prodigues de retour.
La démarche fut officialisée en septembre 1994 dans le cadre du Grand Collège Des Rites, en perspective de la reconstruction du Grand Chapitre Général de France.
Les 21 frères porteurs du 4ème Ordre, participant à la première réunion d’intégration, à Lyon, en mars 1995, représentaient 11 Chapitres déjà existants.
Ces Chapitres fonctionnaient de manière indépendante et traditionnelle, depuis plusieurs années pour ceux crées avant 1995.

Les Ordres de Sagesse, ont été réveillés « officiellement » dans la maîtresse demeure, certes par sa décision, et surtout grâce au travail des frères issus de cette juridiction qui avaient reçus les quatre ordres à l’extérieur du futur et une fois de plus éphémère GCG de France. Les membres des Chapitres participant à la première réunion de Lyon en mars 1995 ont tous reçu leurs Ordres en dehors de la juridiction.
Fait remarquable, la structure composée alors de 380 membres régulièrement reçus dans les conditions précitées pouvait fonctionner d’emblée dans ses quatre ordres à l’instant même de sa reconstruction officielle.
Si on ajoute que le 5ème Ordre fut d’abord réactivé et pratiqué de façon autonome dès 1994, avant d’être officialisé en 1998 au sein du GCG, ce Rite semble depuis sa naissance, indépendant dans l’âme et libéral dans le meilleur sens du terme... Parmi les acteurs de cette dernière intégration du 5ème Ordre, il y avait le Sublime Conseil Provence Fidélité
Pour l’anecdote, lors de la reconstruction des Hauts Grades du Rite Français, la question du 5ème  Ordre s'est posée.
Partageant ce qu’exprimait le regretté Frère JP Ca.·. : « La reconstruction de cet Ordre  au sein du Grand Chapitre Général n'a pas été facilement acquise. Il aura fallu la volonté inébranlable de certains d'entre nous et beaucoup de pugnacité, pour faire admettre le principe du 5ème Ordre dans l'esprit des Frères du Grand Chapitre Général et de certains membres du Conseil de l'Ordre qui en ignoraient jusqu'à l'existence historique : ils croyaient à une invention originale de notre part » (3). C’est dans ce contexte que le 5ème  ordre a été rétabli en 1998.
         
 Précisons que ce sont les Frères issus de Lou Calen qui ont donné naissance non seulement au Chapitre Gnothi Seauton mais aussi à Paracelse. Le Chapitre Rosa Mystica a été crée par des Frères issus de Pax et Caritas et de Lou calen.
 Rosa Mystica et Gnothi Seauton sont d’ailleurs des chapitres jumeaux créés par les mêmes Frères en même temps.
 Le 6 septembre 1994, la décision fut prise par le GCDR de réactiver le Rite Français Moderne.
 Dès cette date, 5 Chapitres furent reconnus comme « réguliers » : Lou Calen ; Rosa Mystica, L’Age d’Homme, Paracelse et les Disciples de Salomon. Ce furent les tout premiers Chapitres à avoir une existence officielle et tous issus de la Provence, sauf l’Age d’Homme fixé à Lyon.
 Le processus s’était enfin mis en marche pour déboucher le 25 mars 1995 à la décision de créer un GCGDF.
 Aux 5 Chapitres initiaux s’ajouteront 6 autres : Les Amis Fidèles, La Chaîne d’Union, Gnothi Seauton, Maître Hiram de Tyr, Tolérance, L’Union et l’Amitié.

(1) Les ordres de sagesse du Rite Français C Ravauger & Ludovic Marcos Ed Dervy
(2) Le Rite primordial de France Edition Télète, Postface de JL Romanet
(3) Compte rendu de la commission nationale du Vème ordre du Grand Chapitre Général du GODF- Rite Français.

Jean-Pierre Duhal, Vème Ordre.

Chevalier de la Sagesse.
Souverain Grand Inspecteur Général.
Passé Très Sage et Souverain Maître du Sublime Conseil Provence Fidélité.
Membre fondateur du 5ème Ordre.
Ancien Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France.
Membre de l’Académie Internationale du Vème Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.

Breve reseña para una gran obra de Víctor Guerra: La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad

 Breve reseña para una gran obra: La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad. Ingaterra y Francia. Siglo XVIII

En ocasiones es preciso reseñar brevemente una obra cuyo valor de su ingente contenido daría como resultado un grotesco resultado si intentáramos perdernos en análisis que no estaría a la altura de su magnitud cualitativa.
Me referiré a esta primera obra masonológica de una proyectada y ambiciosa saga que nos hará viajar por los entresijos más profundos, recónditos y a la vez basales de la masonería de los” Modernos”, del posteriormente denominado Rito francés en función de variopintas alteraciones o condicionantes sociopolíticos y culturales, si bien pudiéramos hablar sin tapujos de toda de la masonería del XVIII continental francés y de sus zancadillas británicas desde 1751, dejando de lado los matices de mayor o menor calado (más menores que mayores en la realidad simbólica en mi humilde opinión).

La Masonería de los “Modernos”. Historia y Ritualidad. Inglaterra y Francia Siglo XVIII, es un poderoso y referencial libro, ya no sólo en lengua española, (versión que tuve el placer y el honor de leer previamente para esta primera edición). El Hermano Víctor Guerra, Presidente del “Círculo de Estudios del Rito Moderno/Rito Francés Roëttiers de Montaleau” va más allá del chauvinismo francés o de la etiqueta británica, porque como buen masonólogo bebe de todas las fuentes, tanto bibliográficas como de las vivencias directas captadas de sus experiencias en distancias cortas, con grandes especialistas, Hermanos de renombre, y protagonistas receptores de aquello tan solo transmitido vivencialmente, en Logia, “boca-oreja” a lo largo de los siglos, fuera del negro sobre blanco del papel, lo que le confiere una visión única, pero consiguiendo un “todo” objetivo y sin parangón, con una metodología de investigación y procedimiento de trabajo que ya quisieran muchos de los denominados académicos para sí. Como masonólogo Víctor Guerra utiliza esa ciencia que le permite divisar no solamente la masonería en su dimensión histórica, sino también en el campo literario, filosófico o sociológico, sin encontrarse maniatado para abordar, llegado al caso, otras dimensiones políticas, judiciales, sicológicas, artísticas, antropológicas o culturales, tantas cuantas le venga en gana en función de sus permanentes descubrimientos e inquietudes, sin sentirse servil a cátedra universitaria alguna por inexistente de manera independiente, en la mayoría de  muchos casos, libre de fuerzas de tensión, muy frecuentemente endogámicas por desgracia en el campo del saber, pretendiendo a lo sumo configurar pequeños grupúsculos inseridos en determinados departamentos historiográficos desconectados de una realidad “auténtica”. Eso hace Víctor, procurar seguir la línea de la “Masonería Autentica”, sin falacias ni fantasías.

Este libro en lengua española está a años luz como compendio de contenidos, análisis comparativos, reflexiones minuciosas, visiones hermenéuticas y demás aspectos sibaríticos, de lo hasta ahora editado también sobre la masonería del Siglo XVIII en otros idiomas, que es mayoritariamente­­­­­ “morralla seguidista”, en ocasiones de poca monta y con el objetivo de contentar a algunos amigos de las “altas esferas” obedienciales.
La independencia y tenacidad de Víctor Guerra hacen que este libro, sea de necesaria tenencia. Esta obra es el “continente” de varias "vidas masónicas" para algunos que, espero, no le suene a mandarín por la precisa y necesaria formación de la que se requiere para degustar y aumentar nuestro conocimiento con la exquisitez que aporta la sabiduría que brota a raudales.

Enhorabuena Víctor.

Prof. Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·.9, 33º
M.·. I.·.

Puede adquirirse en la web de la Editorial Masónica
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El Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz. Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal

Del mismo modo que ya hiciera en el año 2009 y 2020, dedico esta entrada a una breve exposición histórica sobre una Potencia Masónica referencial en la práctica de los Órdenes de Sabiduría a nivel mundial, y de la que tengo el inmenso placer de ser Miembro Honorario: el Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz / Grande Capítulo Geral do Rito Moderno e Francês de Portugal.

La constitución de Logias Masónicas en Portugal parece ya remontarse a 1727, ya sea fruto de militares y comerciantes Ingleses y escoceses e incluso de franceses dedicados también al comercio en estos lares. La figura de Hipólito Costa en la estructuración y configuración de la masonería portuguesa a principios del XIX es fundamental tras, cómo no, una intensa persecución por la Inquisición tan bien conocida en toda la península. Las peripecias y viajes de este histórico personaje así como otros detalles de contexto histórico que no abordaremos en este artículo, llevan a presuponer que el Rito Francés, cuyos rituales fueron publicados e impresos en 1801, fuera el rito oficial del primer Gran Oriente Lusitano en su origen.
La fundación del Gran Oriente Lusitano data de 1802. Dos años más tarde, el 25 de abril de 1804, se firmó un Tratado de Amistad con el Gran Oriente de Francia (donde ya aparece el grado de Caballero Rosa-Cruz entre los masones portugueses firmantes, mostrando su preexistencia a dicha fecha, probablemente desde 1802).
A través de este Tratado entre el GOL y el GODF se ha acreditado la existencia y funcionamiento de los Órdenes de Sabiduría del Rito Francés en Portugal, al menos desde 1804, año en el que posiblemente se expidiera una patente de forma oficial. Por otra parte, la Constitución del Gran Oriente Lusitano de 1806, se refiere explícitamente a los diferentes órdenes y capítulos de Rito Francés, en su capítulo III y el artículo XIII, que presupone la existencia de un "Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa Cruz", así como varios capítulos.
Mientras que en Francia por otras razones dignas de análisis a fondo, los Órdenes de sabiduría dejaron de ser practicados durante unos 170 años (aproximadamente desde 1830 hasta 1999) en Portugal, por su parte, la labor del Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, prosiguió durante este largo período, a pesar de las numerosas persecuciones y prohibiciones de las que fue objetivo la masonería, trabajado de forma ininterrumpida desde 1804 hasta 1939, es decir, alrededor de 140 años. Después de que Salazar prohibiera la masonería en 1935, de manera totalmente subterránea, los últimos supervivientes del "Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, se incorporaron al Supremo Consejo de Grandes Inspectores Generales del Grado 33 del Rito Escocés Antiguo y Aceptado para Portugal y su jurisdicción, a través del Acuerdo de 1939 y, a partir de esta fecha, el Rito Francés o Moderno dejó de ser practicado en Portugal.
Sólo en 1991, después de la Revolución de los Claveles de abril 25 de 1974, con la fundación de la Logia Simbólica "Delta", el Rito Francés fue reintroducido en el Grande Oriente Lusitano, que fue practicado durante 10 años exclusivamente por esta Logia. Desde 2001, un grupo importante de masones del Gran Oriente Lusitano, perteneciente a la Respetable Logia "Delta" y hermanos españoles del Grande Oriente Ibérico (G.O.I.) fueron elevados en Francia, bajo la auspicios del Gran Oriente Latino Americano (GOLA) de manera gradual y sucesivamente en los diferentes Órdenes de Sabiduría del Rito Francés, con el apoyo de los Hermanos del Gran Capítulo General del Gran Oriente de Francia.
Esta chispa inicial desembocó finalmente con la creación del "Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal” con patente concedida por el GOLA quien a su vez la había recibido del GODF el 20 de diciembre de 2000.
El Supremo Consejo del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, depositario desde el Acuerdo de 1939, de la Patente y de todos los poderes de la jurisdicción y la administración del Rito Francés para Portugal, reactivó en 2003, el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa - Cruz, con masones elevados en Francia, así como con otros, especialmente los MM.·. II.·. HH.·. Fernando Valle y Emídio Guerreiro, iniciados en el Rito Francés hacía 80 años, últimos supervivientes desde 1939 a la edad de 103 y 104 años respectivamente en 2003, transfiriendo a este Soberano Gran Capítulo la Patente y todas sus prerrogativas, permitiendo así el restablecimiento de la Cadena de Unión del Rito Francés en Portugal, en toda su plenitud.
Es remarcable el hecho que el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz trabajó desde 1804 hasta 1939 sin interrupción, y que su reactivación en 2003, con la presencia de los Venerables Hermanos Fernando Valle y Emídio Guerreiro, de 103 y 104 años de edad, implicó que nunca se rompiera la Cadena de Unión iniciática del Rito Francés y sus Órdenes de Sabiduría desde 1804 hasta 2003, por lo tanto durante cerca de dos siglos. Estos masones, convocados por el hermano Fernando Valle el 27 de agosto de 2003, decidió por unanimidad en la Asamblea del 5 de septiembre de 2003, en el Palacio Masónico de Lisboa, la integración de estos dos organismos en una única Potencia Masónica, Libre y Soberana, con el fin de preservar el legado histórico y la tradición del Rito Francés en Portugal, constituyendo así el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz - Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal.
Hemos dado así una breve recorrido sobre la historia del Rito Francés en el Oeste de la península Ibérica que, como en otros lugares, tiene muchos más capítulos, también llenos de interés, pasión y, por qué no, suspense. Será otro día.

Temática tratada en otra entrada publicada en el Blog Racó de la LLum el 29 de agosto de 2009.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal 
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze