Petit abrégé de l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse


La Franc-Maçonnerie est une fraternité initiatique ayant comme buts le développement moral de ses membres et la pratique des principes humanitaires. La Franc-Maçonnerie moderne a vu le jour en Angleterre, avec la création par quatre loges de la Grande Loge de Londres le 24 juin 1717. Elle se rattache aux confréries médiévales de métiers libres ou « francs ». La cellule de base de la Franc-Maçonnerie est la loge, composée d’un nombre minimum de sept membres, auxquels sont successivement conférés trois grades symboliques (Apprenti, Compagnon, Maître) au cours de cérémonies rituelles. Les loges sont dites « de saint Jean » en souvenir de saint Jean-Baptiste, qui au Moyen-Age était le patron des confréries des tailleurs de pierre.

Petit abrégé de l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse*

Dès la fin du XVIIIe s., se sont aussi développées des loges dites de « hauts grades » (Rite Ecossais Ancien Accepté, Régime Ecossais Rectifié, Rite de Memphis-Misraïm, etc.), qui ont multiplié le nombre de grades. Il ne s’agit pas de Franc-Maçonnerie à proprement parler, puisque leur symbolisme ne se rattache pas à l’art de la construction. On n’en tiendra donc compte que dans la mesure où leur histoire est liée à celle de la Franc-Maçonnerie symbolique des trois premiers grades (dits « bleus »), dont l’évolution reflète la complexité et la diversité de la Suisse, et en suit les clivages linguistiques.

XVIIIe s.

La première loge maçonnique, La Société Libre du Parfait Contentement, fut fondée à Genève par lord Georges Hamilton en 1736. République indépendante, mais alliée des Suisses, Genève entretenait des liens commerciaux privilégiés avec l’Angleterre. En 1737 la Grande Loge de Londres accorde à lord Hamilton le titre de « Grand Maître Provincial auprès des Loges de Genève », ce qui signifie que ces dernières obtenaient d’elle leurs patentes. Le Gouvernement genevois interdit alors à ses citoyens d’adhérer aux loges, qui échappaient à son contrôle, admettaient des étrangers et dépendaient d’une autorité étrangère. La Franc-Maçonnerie étant à la mode, cette interdiction ne découragea pas les Genevois et en 1744 on compte à Genève 6 loges, dont une mixte (réunissant hommes et femmes) sous le nom quelque peu libertin de La Parfaite Félicité. 

La plus ancienne loge de Suisse encore active aujourd’hui, L’Union des Cœurs, fut fondée à Genève en 1768. La Grande Loge Nationale de Genève, fondée le 24. 6. 1773 par neuf loges genevoises, marque le détachement de l’influence anglaise et le rapprochement à la France. Elle comptait 17 loges lorsqu’elle dut cesser ses activités suite à l’interdiction des « cercles et coteries » par le Gouvernement aristocratique, après l’écrasement de la révolution genevoise de 1782. Ayant pris le nom de Grand Orient National de Genève, la Franc-Maçonnerie genevoise continue ses activités en secret jusqu’en 1789. Ses bons rapports avec la France ne l’empêchent pas de garder des liens avec l’Angleterre et le 5. 8. 1789 la loge genevoise L’Union initie le prince Edward, duc de Kent, fils du roi George III et futur Grand Maître de la Franc-Maçonnerie anglaise. 

Lorsqu’en 1798 Genève est annexée par la France, ses loges sont en relation avec des loges françaises, mais aussi d’Angleterre, Allemagne, Brunswick-Hanovre, Pays-Bas et des Deux-Siciles. Une Grande Loge Provinciale de Genève est créée en 1801, nominalement indépendante mais en fait aux ordres du Grand Orient de France. Ce dernier fonde aussi quelques loges rattachées directement à lui, qui initient surtout des officiers et soldats de garnison, mais aussi des Genevois partisans des idées nouvelles. De ces loges, la Fraternité, fondée en 1799, et L’Etoile du Léman, fondée en 1807, sont encore en activité aujourd’hui et toujours rattachées au Grand Orient de France. En 1801 Genève compte 18 loges, dont 7 appartiennent à l’ancien Grand Orient National et 11 à la nouvelle Grande Loge Provinciale, avec env. 200 membres au total, pour une population de 25’000 habitants. 

Le Pays de Vaud voit sa première loge fondée à Lausanne en 1739. Son nom, La Parfaite Union des Etrangers, montre bien qu’aucun Vaudois n’en faisait partie. Avec d’autres loges vaudoises, elle fonde le Grand Orient National pour la Suisse Romande, reconnu par l’Angleterre. En dépit de l’interdiction de la Franc-Maçonnerie par Leurs Excellences de Berne en 1745, des nouvelles loges sont fondées à Bex en 1760, à Montreux en 1783, à Morges en 1786, à Vevey en 1790 et à Aubonne en 1798. A Neuchâtel la première loge est fondée en 1743; à Fribourg en 1761 et au Locle en 1774.

En Suisse alémanique une première tentative de fondation de loge a échoué à Berne en 1740, à cause de l’opposition des autorités. La première loge bâloise est fondée en 1744, tandis qu’en 1771 est fondée à Zurich la loge de langue française La Discrétion, qui une année plus tard adoptera l’allemand et prendra le nom de Modestia cum Libertate. A Berne des officiers bernois au service de la France fondent les trois premières loges en 1798. Alors que dans les territoires bernois, comme à Genève, les autorités ont essayé en vain de contrôler la naissance et le développement de la Franc-Maçonnerie, craignant l’influence politique française, en Suisse alémanique elle s’est développée sans entraves dans les deux grandes villes de Zurich et de Bâle, sous une influence allemande plus conservatrice. 

XIXe s.

Pendant l’occupation française et la République Helvétique de nombreux francs-maçons ont joué un rôle politique et social d’avant-garde. Avec la Restauration la Franc-Maçonnerie s’éloigne des tendances réformatrices, se répandant tout particulièrement dans les cantons protestants de Suisse alémanique. Les loges de Zurich et de Bâle se rattachent au Régime Ecossais Rectifié, un système de « hauts grades » à tendance chrétienne très marquée, mettant l’accent sur la pratique d’un christianisme réformé, avec des accents à la fois piétistes et mystiques. Deux représentants typiques de cette orientation de la Franc-Maçonnerie suisse sont le médecin zurichois Diethelm Lavater et le conseiller d’Etat zurichois Johann-Caspar Bluntschli, disciple du mystique panthéiste allemand Rohmer.

En Suisse romande, plus marquée par la proximité de la France, cette aile conservatrice de la Franc-Maçonnerie restera toujours minoritaire et L’Union des Cœurs, à Genève, est la seule loge importante y appartenant. Sous la présidence de l’historien J.-B. G. Galiffe, elle a compté parmi ses membres de nombreux pasteurs, qui ont joué un rôle dans le Réveil protestant. 

La centralisation politique, qui a caractérisé la Suisse au XIXe s. et a donné naissance à la Confédération de 1848, a aussi marqué l’histoire de la Franc-Maçonnerie Après plusieurs tentatives d’union avortées entre 1810 et 1840, la Grande Loge Suisse Alpina est fondée par 14 loges les 22 et 23. 6. 1844. Le zurichois Johann Jakob Hottinger en est le premier Grand Maître et Jonas Furrer, futur premier Président de la Confédération en 1848, le Grand Orateur. L’hostilité de l’Eglise catholique (Pie IX en 1865 et 1873 et Léon XIII en 1884 ont expressément condamné la Franc-Maçonnerie dans leurs encycliques) a poussé les loges sur des positions anticléricales et agnostiques, en favorisant l’admission de nombreux hommes politiques du parti radical démocratique, qui la marqueront de leur empreinte. Une loge genevoise représente bien cette tendance générale de la Franc-Maçonnerie suisse de l’époque, Fidélité et Prudence, qui de 1880 à 1902 a été la loge radicale par excellence. Georges Favon, Charles Page, Alcide Jentzer, les Conseillers d’Etat Alexandre Gavart et Alfred Vincent, le Conseiller fédéral Adrien Lachenal, Président de la Confédération en 1896, en ont fait partie. Dans le Canton Vaud, la loge radicale a été Liberté, fondée en 1871 par le Conseiller fédéral Louis Ruchonnet, président de la Confédération en 1883. 

C’est surtout dans les Cantons catholiques (Fribourg, Saint-Gall, le Tessin, les Grisons) que l’opposition de l’Eglise catholique à la Franc-Maçonnerie a été la plus virulente, en empêchant par tous les moyens la création de nouvelles loges et en combattant celles déjà existantes. Face aux tracasseries du clergé, la loge de Fribourg La Régénérée (fondée en 1851) dut se résoudre en 1885 à vendre son immeuble à une congrégation religieuse. Elle sera même dissoute en 1902 et ne pourra reprendre ses travaux qu’en 1972. Toujours à cause de l’hostilité du clergé catholique, et de l’opposition politique du parti conservateur, la première loge tessinoise, Il Dovere, ne verra le jour à Lugano qu’en 1877, à l’initiative du Consul d’Italie. Elle a d’abord été rattachée au Grand Orient d’Italie et est entrée à l’Alpina en 1884. Dans ce Canton, où la religion catholique a été longtemps religion d’Etat, ce n’est que dans la deuxième moitié du XXe siècle que quatre nouvelles loges pourront être fondées. 

A Genève, pourtant de tradition protestante, l’Eglise catholique a réussi à faire racheter aux créanciers par un prête-nom l’immeuble du Temple Unique. Il avait été construit en 1858 par sept loges sur un terrain cédé gratuitement par l’Etat à Plainpalais, à l’emplacement des anciennes fortifications récemment détruites pour désenclaver la ville. Il a été aussitôt transformé en l’église du Sacré-Cœur. Très engagées politiquement, les loges genevoises débattent dans leurs réunions de problèmes de société, comme le droit au travail, les assurances obligatoires, l’instruction publique, la réforme de l’assistance publique, la législation sur l’enfance abandonnée et la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui sera acceptée en votation populaire en 1907. 

XXe s.

Pendant ce siècle l’histoire de la Franc-Maçonnerie en Suisse est marquée par trois événements majeurs : l’initiative Fonjallaz demandant son interdiction, l’évolution de ses relations internationales et la naissance d’une Franc-Maçonnerie dite « libérale ».

Une proposition de créer une Fédération Maçonnique Internationale avait déjà été faite en 1889 par le Grand Orient de France, mais elle n’a pris forme qu’en 1902, lors du Congrès Maçonnique International de Genève. Le 1. 1. 1903 un Bureau International des relations Maçonniques est institué à Neuchâtel, sous la direction de l’ancien Conseiller d’Etat neuchâtelois Edouard Quartier-La Tente, Grand Maître de l’Alpina de 1900 à 1905. Après une interruption lors de la première guerre mondiale, il reprend ses activités en 1921 sous le nom d’Association Maçonnique Internationale (AMI). En 1923 elle regroupait 500’000 membres, appartenant à 38 Obédiences maçonniques nationales différentes. Née dans la mouvance de la Franc-Maçonnerie agnostique latine du Grand Orient de France, l’AMI a toujours été combattue par la Franc-Maçonnerie théiste anglo-saxonne de la Grande Loge Unie d’Angleterre.

Une initiative fédérale visant à interdire la Franc-Maçonnerie en Suisse, lancée en 1923 par le colonel frontiste Fonjallaz, a été déposée le 10. 12. 1934 munie de 56’238 signatures. Le Conseil Fédéral a nettement pris position contre cette initiative dans un rapport de 43 pages, publié le 4. 9. 1936. Elle a finalement été rejetée en votation populaire le 28. 11. 1937, par 515’000 non contre 235’000 oui. Le canton de Fribourg, où l’influence de l’Eglise catholique était écrasante, est le seul à l’avoir acceptée. En dépit de cette victoire politique, après la seconde guerre mondiale la Franc-Maçonnerie suisse a perdu la moitié de ses effectifs, en tombant d’env. 5’000 membres en 1935 à env. 2’500 en 1945.

Le nouveau contexte mondial voit la Franc-Maçonnerie anglo-saxonne s’opposer de plus en plus ouvertement à la Franc-Maçonnerie latine. Une tentative de trouver une voie médiane entre ces deux tendances, avec la rédaction le 21. 5. 1949 des « Cinq points de Winterthur », qui auraient dû servir de base pour une reconnaissance internationale, échoue face aux pressions exercées par la Grande Loge Unie d’Angleterre. Le Grand Maître de l’Alpina, Albert Natural est obligé à dissoudre l’AMI le 11. 6. 1955, puis à rompre toutes relations avec le Grand Orient de France, que l’Angleterre considère irrégulier parce qu’il n’exige pas de ses membres la croyance en un Dieu créateur et en Sa volonté révélée. Cette rupture est très mal ressentie, surtout en Suisse romande, où les liens avec la France sont nombreux. Des francs-maçons désirant les conserver quittent alors l’Alpina et créent à Lausanne la loge Evolution, dont le nom est un programme. Une deuxième loge est ensuite créée à Lausanne et une troisième à Zurich, et les trois réunies fondent le Grand Orient de Suisse, une Franc-Maçonnerie respectant la liberté de conscience de ses membres, liée au Grand Orient de France. En 1966 les pressions de l’Angleterre obligent l’Alpina à rompre ses relations avec la Grande Loge de France, ce qui provoque le départ d’autres membres, qui créent trois nouvelles loges à Genève et une à Zurich. Réunies aux trois précédentes, ces 7 loges fondent le 21. 6. 1967 la Grande Loge de Suisse. Cette Franc-Maçonnerie dite « libérale », qui en 1996 a repris le nom de Grand Orient de Suisse, compte en 2000 un peu moins de 400 membres, répartis en 14 loges, dont 3 en Suisse alémanique et 11 en Suisse romande. 

De son côté, la Grande Loge Suisse Alpina compte à la même date un peu moins de 4’000 membres, répartis en 79 loges, dont 2 aux Grisons, 5 au Tessin, 28 en Suisse alémanique et 44 en Suisse romande.

La Franc-Maçonnerie s’est aussi ouverte à la mixité, avec l’arrivée en Suisse de l’Ordre Maçonnique Mixte International Le Droit Humain en 1907, qui ne compte plus que 3 loges en 2000, après la scission qui a donné naissance le 8 mai 1999 à la Grande Loge Mixte de Suisse (8 loges en 2000, dont 1 au Tessin, 1 en Suisse alémanique et 6 en Suisse romande, avec env. 100 membres), et de la Grande Loge Suisse du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm en 1962 (3 loges en 2000, 1 masculine, 1 féminine et 1 mixte, toutes à Genève). Une Franc-Maçonnerie exclusivement féminine a vu le jour le 3. 4. 1976, avec la Grande Loge Féminine de Suisse, qui compte en 2000 env. 350 membres pour 14 loges, dont 1 au Tessin, 3 en Suisse alémanique et 10 en Suisse romande.

Bibliographie : Maçonnerie, maçonneries, éd. R. Marx, 1990 ; M. Cugnet, Deux siècles et demi de Franc-maçonnerie en Suisse et dans le Pays de Neuchâtel, 1991 ; A. Bernheim, Les débuts de la Franc-Maçonnerie à Genève et en Suisse, 1994 ; Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e Anniversaire, 1994 ; Groupe de recherche Alpina, Guide du Franc-Maçon, 1998. 

Fabrizio Frigerio
Suprême Commandeur
Sublime Conseil - Grand Chapitre Général Mixte de Belgique
Membre de l'Académie Internationale du Ve Ordre - UMURM

*Cet article est la ré élaboration en français et la mise à jour d’une notice écrite par le même auteur, notice qui a paru en langue allemande dans le Schweizer Lexikon, Mengis & Ziehr Ed., Luzern, 1991-1993, vol. II, p. 738-740, sub voce « Freimaurerei ».
Il aurait dû paraître dans le Dictionnaire Historique de la Suisse, édité par l’Académie Suisse des Sciences Humaines et la Société Générale Suisse d’Histoire, Berne, sous presse, sub voce « Franc-maçonnerie ».
Le rédacteur en chef ayant demandé des modifications et des suppressions que l’auteur ne pouvait accepter, il a été retiré et il a paru modifié sous la signature de la rédaction.

Rito Francés o Moderno: Rito de Fundación

La original falta de distinción entre el hecho histórico y lo legendario plasmada en los primeros documentos masónicos ha permanecido vigente para muchos francmasones a pesar del paso de los
siglos. Gran parte de esta “deformación” fue responsabilidad del propio Anderson al intentar “legitimar” la nueva estructura obediencial en las Constituciones de 1723 con una Historia de la Francmasonería que se remonta desde Adán hasta dicha fecha de principios del Siglo XVIII.

La Francmasonería, nuestra francmasonería, es una Orden iniciática tradicional y simbólica que tan solo es una heredera indirecta de aquellos constructores de catedrales. La Francmasonería contemporánea nace a finales del siglo XVII y principios del XVIII alrededor de la Royal Society en un país que salió de horribles guerras de religiones. Estos hombres de ciencias e ilustrados que no quieren renunciar a sus aspiraciones espirituales, se inspiran en los ritos y símbolos de estos constructores de catedrales de quienes no son herederos directos, creando una francmasonería especulativa moderna fundamentada en unos mitos importados a tal efecto. Sea como fuere, lo que resulta incuestionable es cómo el soporte vehicular era y debe ser simple y sencillo. Un uso simbólico-alegórico claro que finalmente debe mostrar un mensaje cercano y simple. Un contenido que haga estimular en el hombre sus potencialidades mediante la ortopraxis moral, apreciar su libertad así como el uso de la misma; encontrar esa felicidad en la búsqueda autocrítica a las respuestas perennes compartidas con un sentido de pertenencia e interacción universal y despertar su responsabilidad hacia un conjunto-la humanidad- liberada de todo tipo de imposición irracional o subyugante.

Hablando de "nuestra masonería", de la que en realidad somos descendientes, admiramos su metodología que pretende unir lo disperso y liberarse del yugo discriminatorio, dando entrada a todo ser humano, al margen de su religión e ideología política. Ese espíritu universal y ecuménico fue el detonante de la idea de Désaguliers y su entorno, pudiendo dar cabida a todo ser humano con unos principios ético-morales fundamentales, haciendo que se mantenga al abrigo de las fuerzas de tensión generadas por la diversidad religiosa, siempre fuente de confrontaciones, así como de los disensos de tipo político fuera de la Logia. Al respecto, resulta curioso comprobar como esa contención en la opinión política y religiosa, queda regulada en los deberes del Francmasón en el apartado dedicado a la conducta cuando la Logia está cerrada estando aún reunidos los Hermanos, lo cual no explicita la imposibilidad de tratar de estos temas en Logia abierta siguiendo el Orden ritualmente establecido y coherente con los compromisos adquiridos como miembros de la Orden en cuanto a tolerancia, respeto y amor.

La francmasonería tal y como hoy la entendemos procede por tanto de la Gran Logia de Londres y de todo el entorno que dio lugar a su génesis, muy a pesar de otras tesis fantasiosas y sin fundamento histórico y masonológico.

Sin duda alguna la masonería inglesa que elaboró los Antiguos Deberes desde 1390 fue una corporación profesional cristiana de tipo religioso. Primero católica hasta devenir anglicana en 1534. El contenido esencialmente bíblico de esta masonería operativa así lo atestigua. No obstante, con el paso de los siglos la masonería sufrió diversas metamorfosis que, diversificando su identidad primitiva, terminaron por hacer de esta antigua corporación profesional cristiana una expresión moderna de la tradición del eclecticismo.

Hacia 1637 la masonería escocesa, de confesión calvinista, elaboró el rito del Mason Word que contribuyó a transformar la antigua masonería operativa en masonería especulativa.

En 1723 Désaguliers y Anderson presentan como base moral de la Orden la religión natural que deviene en ese entorno especulativo puerta consecuente al pensamiento filosófico abierto y diversas formas de deísmo e incluso ateísmo teórico, y por supuesto del librepensamiento en las logias. La penetración sucesiva de estos diversos puntos de vista en masonería, además de explicar la génesis del eclecticismo, debe invitarnos a reflexionar sobre las consecuencias y la coexistencia pacífica de dichos diversos puntos de vista en el seno de la misma Orden masónica.

El rito calvinista del Mason Word (Palabra de Masón), creado hacia 1628/1637 por los masones escoceses de Kilwinning para reemplazar el rito de los Antiguos Deberes operativos de la edad media y del Renacimiento, fue anglicanizado y catolizado antes de ser transmutado por la Gran Logia de Londres de 1717 en rito filosófico universal. Y aquí es donde radica la auténtica grandeza de este principio ecuménico que, entre otras formas rituales, el Rito Moderno o Francés, por ejemplo, ha sido fiel a pesar del paso del tiempo y de la historia.

En su expresión natural, la francmasonería, consecuente y heredera de este planteamiento ilustrado, tiende y debe tender a esa universalidad no exclusiva, no restringida a criterios de orden interno particular, religiosos, formales o discriminatorios, desde el respeto y la tolerancia, uniendo desde la diversidad donde el nexo común es la práctica y desarrollo de la virtud haciendo prevalecer el bien sobre el mal.

Son los británicos, o sea, ingleses, escoceses e incluso irlandeses los que instalan la masonería en Francia. Su motivación no es el deseo de transmitir la masonería en Francia, sino que han sido más bien obligados a huir de Inglaterra por motivos del conflicto dinástico y religioso que aconteció en esas épocas, y ello es lo que hace que la mayoría de ellos Jacobitas o hannoverianos, durante alrededor de una cuarentena de años no paren de ir y venir por el Canal de la Mancha con sus rituales en uso, particularmente de la Gran Logia de Londres y Westminster, creada en 1717, al igual que ocurre con la filiación “Moderna” referida para Bélgica, país con logias constituidas desde 1721, u Holanda algo posteriormente.

Las logias creadas en Francia fueron hijas de la Gran Logia de Londres, por lo tanto una masonería antigua calificada como del tipo "Moderno" por sus detractores autodenominados “Antiguos”. Toda una paradoja en el uso de los calificativos.

El cristianismo de tipo confesional y religioso se retoma en Francia en 1735 cuando traduciendo los “Deberes de un Francmasón” inseridos por Désaguliers en las Constituciones de 1723, el abad Moret, gran secretario de la Gran Logia en Francia, cristianizó el texto de Désaguliers, cuya versión fechada en 1737 sirvió de constitución a las primeras logias de Suecia convertidas posteriormente en Logias confesionales. Este acto en dicho contexto geográfico obedecía sin duda alguna a la realidad histórico-social que tenía los días contados.

No puede por lo tanto mostrar contradicción ninguna cuando el rito de los Modernos retoma durante la Ilustración continental que desemboca en el “Régulateur du Maçon” su forma base propuesta por Désaguliers, a través de exigir el simple deber la práctica espontanea de la ley moral universal inscrita en el corazón de todo ser humano y en toda época. Esta actitud personal no incluye, sin excluirla tampoco, la institución de comunidades como las Iglesias. Pero la comunidad no deviene un grupo social instituido por las iglesias, sino por comunidades naturales ya sea, la familia, los amigos, el Estado no confesional (laico) y a partir de ahí toda la humanidad.

El Estado laico no está privado de valores éticos o espirituales. Este estado laico liberal es inevitablemente consecuencia del pluralismo confesional, lugar de mestizaje cultural y en particular de valores religiosos.

La humanidad constituye una comunidad, una unidad que no puede existir sin el respeto práctico de la ética, del amor al prójimo.

El Rito de los denominados “Modernos” se traduce al francés y es practicado por la casi totalidad de las logias que se crean en el reino y no parece tener nombre. Es simplemente masonería. Una masonería que hereda unas tradiciones masónicas, las más antiguas, que no está fijado palabra por palabra, aunque por razones administrativas, se tiende cada vez más a escribirlo, pero que posee una estructura simbólica fundamental.

La aparición de estos otros sistemas masónicos, casi siempre "escoceses", donde el nombre para nada tiene real relación con su verdadero lugar de origen, y muy vinculados a la proliferación de los denominados Altos Grados por encima del Tercer Grado Simbólico, hace que el Gran Oriente de Francia se plantee el hecho de organizar y controlar la francmasonería francesa, y el deseo de numerosas logias de tener una versión universal de los rituales, son la causa de la fijación de un rito "Moderno" entre 1783-1786, una Regulación de referencia, que tiene sus ventajas e inconvenientes que abordaremos en otra ocasión, y que en el futuro será conocido con el apelativo de “Francés”. Para los Altos Grados, este análogo trabajo se realizará en el seno del Gran Capítulo General de Francia fundado en 1784 y posteriormente vinculado a dicha Obediencia en 1786 añadiendo cuatro órdenes superiores más una Quinta Orden de carácter Académico y administrativo: Elegido Secreto, Gran Elegido Escocés, Caballero de Oriente y Soberano Príncipe Rosa- Cruz, más una Quinta Orden. Sobre esta cuestión Pierre Mollier apunta en su aportación de la Introducción del libro dedicado a los rituales del Soberano Capítulo Metropolitano de 1786: Subrayemos, no obstante, que sería un error considerar al Gran Capítulo General de Francia como el Autor del Rito Francés. Esta asamblea de Masones eruditos solo hizo que fijar su uso reteniendo los altos grados más tradicionales en sus versiones más sobrias. Así, veinte años antes de la creación del Gran Capítulo, un sistema muy próximo al que tomará el Rito Francés era ya practicado. En los años 1760, la Madre Logia Escocesa de Marsella. Incluso con anterioridad, este deseo de ordenación y reducción en la Masonería de Altos Grados queda constatada en la porosa relación e interacción franco-belga. Recordemos que la Masonería de los Modernos se implanta por diversas vías en esos orientes, bien directamente vía Londres o vía Francia a través de la Gran Logia dirigida por el conde de Clermont. De este modo el Marqués de Gages (cuya logia “La vraie et parfaite harmonie” de Mons es de la correspondencia de la GLdF) aparece nombrado por Luís de Bourbon en 1766 como « Grand Maître provincial et Inspecteur Général des loges rouges et bleues pour les provinces de Flandres, de Brabant et de Hainaut ». Aprovechando la coyuntura y dificultades que atraviesa la masonería francesa y el distanciamiento que ello conlleva entre la vinculación de Gages con la GLF, la pretendida agrupación de logias zonales emanadas directamente de la GL de Londres llevará, entre otras casuísticas bien curiosas, a la creación bajo patente de Londres de una auténtica y seriamente estructurada obediencia “belga”, teniendo al Marqués de Gages como Gran Maestro provincial: la Gran Logia provincial de los Paises Bajos Austriacos, que regulará ese cierto desorden reinante (propio por otra parte en cuanto a la descentralización) y aglutinará las Logias de su entorno. Como señalábamos, a través de las cartas entre el Conde de Clermont y el Marqués de Gages, el primero expresa su trabajo de estructuración en 15 grados en 1767. Según Adolphe Cordier, de los rituales redactados por la Gran Logia Provincial de los Países Bajos Austriacos que superaban largamente la veintena, finalmente los Grados fueron reducidos a quince en 1776. En esta línea, cabe resaltar que ya en 1772, es el Marqués de Gages quien exterioriza su proyecto de una masonería en 7 Grados al Venerable de la Logia de Alost dentro de un contexto de contención en las recepciones de Grados indicándole que algunos podrían devenir inútiles en un futuro de ser conferidos. Es precisamente en una estructuración en tres Grados y Cuatro Órdenes, más un Quinto Orden que contiene todos los Grados Físicos y metafísicos y todos los Sistemas/Ritos, la que elabora el Gran Capítulo General de Francia de 1784. En1786 el Gran Oriente de Francia propone un texto de referencia para los tres grados azules, difundido en forma de copias manuscritas, y adopta los Órdenes de Sabiduría con la creación/integración del Soberano Capítulo Metropolitano.

Sobre la continuidad del Rito Moderno en Siete Grados en los Países Bajos denominado también en esos Valles con los nombres de Escocés Reformado e incluso Antiguo Reformado ya que consideraban la estructuración de 1784 como una “reforma” de los grados Escoceses, o Antiguos (por antigüedad, no por ser de descendencia de los Antiens), hay que señalar unas trascendentales cuestiones que abordaremos in extenso en unos trabajos próximos que dirigiremos para aquellos que buscamos (o eso intentamos) conocer determinadas verdades mediante el estudio y seguimiento histórico.

Esto es:

a) La creación en 1803 del Hoofdkapittel der Hoge Graden in Nederland (Supremo Capítulo de los Altos Grados) en Holanda por Capítulos Independientes siguiendo un sistema de Grados creado por analogía al del Grand Chapitre Général de France, aunque el origen y tipo de sus rituales sean de otra procedencia (elemento sorpresa aún desconocido por muchos).

b) En tierras belgas, y siguiendo la tradición que proliferó en los Países Bajos meridionales durante el XVIII, lo que hoy conocemos como Capítulos, se desarrollan libre y soberanamente como extensión de una Logia Azul a quien corresponden y vinculan, denominándose también los Soberanos Capítulos como Grand Atelier (Gran Taller). Tras la retirada francesa, los capítulos preexistentes y los creados durante la ocupación mantienen, tras la misma, ese procedimiento organizativo, al margen de cualquier Cámara de Administración perteneciente a un Gran capítulo u Obediencia (véase archivos de la R.•. L.•. de la Esperanza al Oriente de Bruselas o de los Amigos Filántropos de ese mismo Or.•.).

c) Este procedimiento de trabajo en Capítulos Independientes y Soberanos es también retomado a propósito de la creación del Soberano Colegio del Rito Escocés para Bélgica (aún hoy en vigencia) a raíz del rechazo de la estructura jerárquica del Supremo Consejo del REAA en 1962, lo cual no supuso ninguna novedad organizativa en la historia masónica de ese país y que aglutina a varios de los más históricos Capítulos y Areópagos imponiéndose en la corriente de la Masonería Liberal en esos Orientes.

En el siglo XIX, Rito Moderno se convierte en el equivalente de Rito Francés. Por ello Vuillaume emplea los dos términos, ya que se aplica tanto a los tres primeros grados como a los órdenes superiores. Este término de Rito Francés va a imponerse mientras que el de Rito Moderno va cayendo en desuso en el último tercio del siglo XIX . Tengamos en cuenta no obastante, que en Bélgica, los problemas lingüísticos y nacionales no impusieron el adjetivo “Francés”, y se utilizó siempre el calificativo de “Moderno”. En cualquier caso, durante todo el siglo XIX la diferenciación entre Régimen Francés y el Escocista va a ir creciendo. En 1858, se publica una nueva redacción para los grados simbólicos del Rito Francés denominado de Murat, que fue Gran Maestre. “Ideológicamente”, el texto apenas si es diferente del Régulateur. El nuevo modelo sigue definiendo la masonería de manera “clásica”. Después el Convento de 1877 sus resoluciones conducen a retoques más intrépidos y es cuando en 1879, el Gran Colegio de Ritos encargado por el Consejo de la Orden del Gran Oriente de Francia hace desaparecer de los rituales las fórmulas aparentemente religiosas, como es la referencia al Gran Arquitecto del Universo, que el Gran Oriente de Bélgica ya había suprimido su obligatoriedad en 1872. En 1886, una comisión de 12 miembros, presidida por el abogado Louis Amiable (1837-1897), procede a una nueva revisión. El nuevo ritual francés, tomará el nombre de su principal redactor, y se acompaña de un “informe sobre los nuevos rituales para las logias” redactado por el mismo Amiable. Esto explica que el nuevo texto, en parte inspirado en los rituales del Gran Oriente de de Bélgica, se refieran en gran parte al positivismo. Su filosofía general es la de “neutralidad entre las distintas creencias” y el hecho de que " los datos evidentes proporcionados por el estado actual de la ciencia debían ser aprovechadas”. Durante este medio siglo, la práctica de todos los órdenes de sabiduría cayeron en desuso en el continente europeo. El ritual Amiable, un tanto modificado en 1907 bajo la autoridad del Gran Comendador Juan-Bautista Blatin, permanecerá en estas condiciones hasta 1938, fecha en la que la iniciativa de Arthur Groussier, entonces Grande Maestro del GOdF adopta un nuevo modelo del Rito Francés. La nueva versión es una tentativa de intentar una vuelta a las fuentes simbólicas del sistema francés, y no una nueva molienda aún más ultra positivista. En 1955, se difunde la versión definitiva del ritual Groussier, ligeramente arreglada en la forma y bajo la autoridad de Paul Chevalier, es imprimido y difundido. En el largo trabajo de reconstrucción de las obediencias en la posguerra, los masones eruditos volvieron a las investigaciones iniciáticas o simbólicas deseando encontrar o revivificar las potencialidades de la tradición masónica francesa del siglo XVIII, hereditario de los Modernos.

En Portugal, la práctica del Rito Moderno se presenta desde 1802. Mientras que en Francia por otras razones dignas de análisis a fondo, los Órdenes de sabiduría dejaron de ser practicados durante unos 170 años (aproximadamente desde 1830 hasta 1999) en Portugal, por su parte, la labor del Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, prosiguió durante este largo período, a pesar de las numerosas persecuciones y prohibiciones de las que fue objetivo la masonería, trabajado de forma ininterrumpida desde 1804 hasta 1939, es decir, alrededor de 140 años. Después de que Salazar prohibiera la masonería en 1935, de manera totalmente subterránea, los últimos supervivientes del "Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, se incorporaron al Supremo Consejo de Grandes Inspectores Generales del Grado 33 del Rito Escocés Antiguo y Aceptado para Portugal y su jurisdicción, a través del Acuerdo de 1939 y, a partir de esta fecha, el Rito Francés o Moderno dejó de ser practicado en Portugal. La reactivación de nuevo en todos sus Ordenes data del año 2003 gracias al Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz -- Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal.

El Rito Moderno o Francés en Brasil, requiere de una especial mención dado que el Supremo Conselho do Rito Moderno sito en este país es la Potencia Filosófica de Rito Francés o Moderno de mayor antigüedad en el mundo en cuanto a la práctica ininterrumpida de todos los Órdenes de Sabiduría y único en el mantenimiento de su legado hasta la “reactivación europea” de finales de los 90, trabajando con el Rito madre en esos orientes desde 1822, y que le confiere la incuestionable condición de Chef d’Ordre.

Respecto al Régulateur du Maçon, si bien no debe ser considerada la fuente del Rito Francés o Moderno, pretende históricamente establecerse como modelo único, colacionando y unificando las tradiciones orales y manuscritas anteriores para los grados simbólicos, tras un periodo de cierto desorden en el que la francmasonería sufría una insuficiencia en la organización central, cuya ausencia de unidad ritual daba pie a excesos apócrifos en la mayoría de los casos, cuya réplica de contención para los denominados Altos Grados se plasma en el Régulateur des Chevaliers Maçons que abordaremos en un futuro próximo.

La peculiaridad del ritual masónico del Rito Moderno o Francés es que se basa principalmente en la universalidad, los elementos visibles de la luz (el Sol y la Luna son dos de las tres grandes luces), sin referirse directamente a un poder divino. El hombre es así el centro de los misterios de la naturaleza y trata de comprender los signos a través del estudio de los símbolos que lo rodean. La creencia en Dios no está excluida, pero queda dentro del ámbito personal de los Hermanos y Hnas.·., vivir esta comprensión de la naturaleza, dejando a los demás plena libertad en la búsqueda de la verdad, apartada de todo dogma o imposición, sea del tipo que fuere.

La forma Ritual del “Régulateur du Maçon” nos demuestra su atemporalidad mediante su plena riqueza simbólica y la vigencia de su estructurado mensaje donde tradición y modernidad coexisten.

El Rito francés es esencialmente mítico. Vehicula tres mitos fundamentales:
  • El mito del paso de las tinieblas a la luz
  • El mito de la construcción del templo de Salomón
  • El mito hirámico.
No pretendamos encontrar en él:

Ni el pensamiento religioso que implica una sumisión total a una realidad absoluta. El Rito Moderno o Francés no contiene nada religioso ni "sagrado", ni oración, ni ningún acto relativo a un determinado carácter confesional.

Ni el pensamiento esotérico entendido como una revelación transmitida a sólo unos elegidos. Esta tendencia que puede devenir sectaria, introduce una criba entre los hermanos que separa entre elegidos y condenados, pensamiento que va en contra del universalismo de la francmasonería. El Rito Moderno o Francés aboga por el universalismo y la posibilidad de que todo ser humano desarrolle sus potencialidades.

Ni el pensamiento místico que busca una inmersión total del individuo en lo que le sobrepasa. La mitología masónica se apoya en la idea de un proyecto de Construcción; se ocupa del aquí y el ahora; pone al Hombre en el centro del universo, donde él es materia y obrero a la vez de su Templo interior, pero de necesaria proyección universal y responsable exteriorización compartida.

Ni el pensamiento mágico que trata de controlar la realidad por operaciones mentales profundamente irracionales entregadas a la teúrgia, a la alquimia o a la magia.

Ni el pensamiento ocultista que privilegia las supersticiones más peligrosas acreditando la influencia de los "espíritus" sobre los humanos, que cree pues firmemente en los actos de carácter mágico.

Sea cual sea su forma ritual utilizada, el Rito Moderno o Francés, si atiende a sus características originales, se impone, hoy como mañana, como una expresión ordenada y completa de los valores masónicos "permanentes": la búsqueda de la verdad, la perfectibilidad para toda aquella persona que desee progresar, la liberación para permitir el avance de la mujer y del hombre comprometidos como eslabón en la cadena social.

Post Data:

Estructuras simbólicas fundamentales del Rito Francés o Moderno


Tres candelabros dispuestos NE, SE, SO
Representan las Tres Grandes Luces: Sol, Luna, Maestro de la Logia

Los Pilares de la Logia: Sabiduría, Fuerza y Belleza


Belleza y Fuerza coinciden con las Columnas J y B, y Sabiduría se halla en una columna Imaginaría ubicada en Oriente, en el lugar del Venerable.
Es por ello que estos Pilares están directamente vinculados al Venerable y a los dos Vigilantes

El orden J y B de las palabras y la disposición de las columnas acorde a la Gran Logia de Londres.

Joyas móviles

La Escuadra que lleva el muy Venerable. El Nivel que lleva el Primer Vigilante y la Perpendicular o Plomada que lleva el Segundo Vigilante.

Joyas inmóviles

La Plancha de Trazar, la Piedra Cúbica de punta y la Piedra Bruta.

Muebles de la Logia

El Libro (o Reglamentos), el Compás y el Mallete.

Material ritual contrastado:

  • Divulgación 1724 
  • Prichard 1730
  • Prichard 1730 (en español)
  • Berne 1740
  • Le Parfait Maçon 1744
  • Luquet ca. 1745
  • Le Sceau Rompu 1745
  • Le Maçon Démasqué 1751
  • Three Distinct Knocks "Lecture" ca. 1760
  • Marquis de Gages 1763
  • Le Corps Complet de maçonnerie RGL de France ca. 1765
  • Manuscritos Régulateur du Maçon de 1783 y 1786
  • Duc de Chartres 1784
  • Recueil Précieux 1785
  • Edición publicada del Régulateur du Maçon 1801
  • Vocabulaire des Francs-Maçons 1810 (Bazot)
  • Nécessaire Maçonnique 1812
  • Manuel du Franc-Maçon 1817
  • Manuel Maçonnique 1820
  • Le Tuileur-Expert 1828
  • (Compendio de diversos análisis e investigaciones del H.·. Pierre Noël)


Plano de la Logia de Rito Moderno o Francés y Distribución de Oficiales


Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado

Gran Oriente Nacional Colombiano - Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino


Gran Oriente Nacional Colombiano

Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino

 

Información del DECRETO N.º 8 del 21 de septiembre de 2023 E.·. V.·.

Reunido el Consejo de la Orden de nuestra Histórica Potencia Masónica el 21 de septiembre de 2023 E.·. V.·., y con la finalidad de recuperar el rico legado histórico y masónico de nuestros Valles y Orientes, nuestra Obediencia ratifica su denominación de “Gran Oriente Nacional Colombiano-Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino” siguiendo el ideario original que dio origen a la Potencia Masónica instalada el 21 de Abril de 1824 que regía masónicamente a la República de la Gran Colombia, cuya capital era Bogotá, con Patentes recibidas a tal efecto por el “Supremo Consejo de los Estados Unidos de América”, con sede en Nueva York, siendo comisionado por el mismo para la fundación del "Gran Oriente Nacional Colombiano" y del “Supremo Consejo Nacional Colombiano del Grado 33” el Muy Ilustre Hermano Joseph Cerneau.

Tras la fragmentación de la Gran Colombia, dicho legado e ideario fue proseguido por el “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino” con sede en Cartagena, fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.)
La Republica de Colombia para la fecha en que el Gran Oriente de Francia (1851) otorgo la Carta Patente al “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino”, tenía el nombre de “República de la Nueva Granada” , adjudicándole los derechos, privilegios y prerrogativas sobre el Territorio Masónico de la República de la Nueva Granada, del extinto Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia con sede en Caracas (antigua República de la Gran Colombia).

Hace pocos años atrás, coherentemente con su historia inicial y con su origen primigenio vinculado al “Rito Escocés Antiguo y Aceptado” nacido por la Instalación delegada por el MPSGC John W. Malligan al IPH Joseph Cerneau de un "Supremo Consejo Nacional Colombiano del Grado 33°"
(consultable en la Bibliothèque Nationale de France, Département des Manuscrits FM1 (1)-FM1 (541). Archives Centrales), tanto por la legitimidad y regularidad de origen de su Carta Constitutiva, fue concedida una Patente del "Supremo Consejo del Grado 33° para España del Rito Antiguo y Aceptado", a tal efecto en línea de filiación del Supremo Consejo original de Joseph Cerneau en Nueva York "Supreme Council for The United States of America, their Territories and Dependencies", reconocida desde 1816 por el “Gran Consistorio de Ritos”, presidido por el Muy Poderoso Soberano Gran Comendador Germain Hacquet del “Supremo Consejo del Gran Oriente de Francia”.

El 20 de febrero de 1939, el Supremo Consejo Neogranadino cambia su nombre por el de «Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia», convirtiéndose desde el punto de vista legal en otro ente jurídico ante las autoridades colombianas, siendo además reconocido por el Supremo Consejo de la Jurisdicción del Sur de los Estados Unidos de América. Esta irregularidad de reconocimiento y naturaleza iniciática llega a su culmen en la década de los ochenta, cuando Supremo Consejo del Sur de los EE. UU., desconoce al Supremo Consejo del Grado 33° para Colombia como consecuencia de la gran división que se presentó en Colombia por la intromisión de este Supremo Consejo en los asuntos de las Grandes Logias, olvidando de forma grotesca al Gran Oriente de Francia quien le expidió la Carta Patente, y se afilia al Supremo Consejo de Francia. Error brutal que deja sin legitimidad alguna a los múltiples auto denominados Supremos Consejos Neogranadinos, sumidos en un caos histórico y conceptual que precisaba una lógica y legítima resolución.

Esta decidida fase supone en primer lugar un mayor enriquecimiento en la solidez histórica, masónica y ritual, así como una clara diferenciación con posibles cuerpos divergentes que han pretendido confundir y suplantar nuestra incansable trayectoria de trabajo en pos de una Humanidad más Justa, Igualitaria y Solidaria.

El Gran Oriente Nacional Colombiano / Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino, siendo un solo Cuerpo de Naturaleza Regular fruto de una fluida continuidad histórica e iniciática, es miembro activo y reconocido por la International Confederation of Supreme Councils AASR que integra a los más prestigiosos Supremos Consejos del 33º y Último Grado del REAA caracterizados por su calidad ética, masónica, ritual, filantrópica y formativa. También es ahí donde la grandeza del Gran Oriente del Perú presidido por su MPSGC Mario Rolleri, 33º reconoce la realidad histórica y expresa su agradecimiento, reafirmación y ejerce justicia mediante la concesión de una:

Patente Regular del Supremo Consejo de GG:.II:.GG:. Grado 33° del R:.E:.A:.A:. del Gran Oriente del Perú

Según carta patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 17 de setiembre de 1875 al supremo Consejo de GG.·.II.·.GG.·. Grado 33 del R.·.E.·.A.·.A.·. del Gran Oriente del Perú, depositarios naturales del ideario primigenio, que dio origen a la potencia masónica fundada el 23 de enero de 1831 en la República del Perú , bajo el nombre de Gran Logia del Perú , cambiando su denominación el 11 de agosto de 1831 a gran Oriente del Perú con Carta Patente otorgada por el Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.) y Carta Patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 14 de Agosto de 1851.

Según demanda recibida, y habiéndose verificado la legitimidad de su filiación Iniciática la cual los hacen sus legítimos herederos; y, con la finalidad de establecer, como en efecto queda establecido, un Supremo Consejo legítimo y regularmente constituido, hemos acordado solemnemente expedir, y como tal se expide la presente:

Carta Patente

con el distintivo de

Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino

Con la finalidad de restablecer la estructura original, legado histórico y masónico de la obediencia homónima denominada “Gran Oriente y Supremo Consejo Neogranadino”, fundado el día 19 del 4º mes del año de la Verdadera Luz, 5833, (19 de junio de 1833 E. V.) y Carta Patente otorgada por el Gran Oriente de Francia el 14 de Agosto de 1851, con sede en Cartagena de Indias.

Revisada y aprobada la referida solicitud y por los poderes de que nos hallamos investidos, otorgamos esta Carta Patente a los II.·. y PP.·. HH.·. cuyo Santo Imperio lo preside el M.·. P.·. Sob.·. Gran Comendador Milciades Osorio Díaz, Grado 33º, para que pueda admitir a Ilustres Masones y conferir todos los Grados Capitulares y Filosóficos del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, celebrando sus tenidas de acuerdo a sus EE.·.GG.·. así como a nuestros usos y costumbres conocidos.

Zenith de Lima, Perú, 06 de enero de 2022 e:.v..; 6022 A:.D:.L..V:.L:.


Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro de Honor de la Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils, AASR

Vídeo de la conferencia del Prof. Joaquim Villalta impartida el 3 de septiembre de 2023 para la Cátedra Giordano Bruno.

Video de la Conferencia dictada por el Prof. Joaquim Villalta en la Cátedra Giordano Bruno el 3 de septiembre de 2023, con el tema:


"Las Órdenes de Sabiduría de Matriz Portuguesa: implantación en Sudamérica del Rito Francés de los Modernos".

https://youtu.be/KWosMNt0ZS4

 

Omega: la Constante Dual

 En determinadas ocasiones, la “contemplación” de ciertas expresiones o ecuaciones de tipo físico y matemático han ejercido en mi interior un indiscutible efecto simbólico. Éstas, por sí mismas, han supuesto para mí una base de meditación a partir de la cual he procurado encontrar una vía conducente en busca de determinados conocimientos de cariz más trascendente e, incluso, esotéricos. Este intento de hallazgo de la “verdad” latente en mi interior debo hacerla mediante la obligada utilización de dos de las “Grandes Luces”: La Escuadra y el Compás. Será pues la aplicación de la norma y del juicio justo en la apreciación adecuada de las cosas dentro del campo material haciendo uso de la Razón, lo que, en combinación del correcto entendimiento de mi facultad comprensiva espiritual, podrá en todo caso, llevarme a la Gnosis, y por lo tanto, a la Realidad.
¿Y cual es la punta de este Compás? 
Para mí, sin duda, el G.·. A.·. D.·. U.·., aun cuando vaya por delante mi indiscutible respeto hacia todas las tendencias de opinión y diferentes creencias sobre el mismo.

Apelo de antemano a vuestra paciencia por la extensión de esta introducción o prefacio, pero se hace indispensable si lo que pretendo es mostraros mi visión sobre las respuestas a las preguntas “¿de dónde vengo?” y, en especial, “¿quien soy?”. 

Mi primera “gran experiencia” de reflexión existencial y, por qué no decirlo así, Cósmica” fue el estudio de la Relatividad Especial de Albert Einstein y su final explicitación (muy simple, por cierto).

En el procedimiento constructivo de este trabajo, dónde pretendo comunicar desde el mi interior más sutil, me he propuesto no caer en la tentación de hacer grandes muestras de erudición, que incluso podrían resultar presuntuosas y del todo evitables. Me dispongo ya a entrar en materia, y desarrollar el sujeto- análisis, de la segunda expresión de tipo matemático que, empleando las herramientas del conocimiento francmasónico que hasta ahora he tenido la fortuna de tener a mi alcance, ha enriquecido mi espíritu y reforzado los argumentos de las respuestas de las dos grandes interrogantes planteadas anteriormente.

El estudio de la Proporción Áurea, y su manifestación dentro la naturaleza, supone un elemento de búsqueda que sólo puede definirse como “fascinante”. Definimos sección áurea como la división armónica de un segmento en media y extrema razón. Es decir, que el segmento menor es al segmento mayor, como éste es a la totalidad. De este modo se establece una relación de medidas con la misma proporcionalidad entre el todo dividido en mayor y menor. Esta proporción o forma de seleccionar proporcionalmente una línea se denomina proporción áurea. Por citar un ejemplo geométrico, la relación entre la diagonal del pentágono y su lado es el número d’oro: F.

Según la tradición, el símbolo representativo del conocimiento de la Escuela Pitagórica era el Pentagrama, también utilizado al final de sus escritos a modo de saludo. Haciendo referencia al personaje de Pitágoras (580-500 a.C.), apuntaremos que viajó por Egipto, Babilonia y posiblemente, la India, países dónde adquirió gran parte de su formación matemática y filosófica. Contemporáneo de Buda, Confucio y Lao Tse, estuvo muy influenciado por el misticismo religioso. Los pitagóricos aconsejaban la obediencia y el silencio, la abstinencia de consumir determinados alimentos, la sencillez en el vestir y en las pertenencias, así como el hábito del autoanálisis. Creían en la inmortalidad y en la transmigración del alma. Entre las amplías investigaciones matemáticas realizadas por los pitagóricos, encontramos los estudios de los números pares e impares, así como de los primos. Desde este punto de vista aritmético, cultivaron el concepto de número, que representó el principio crucial de toda proporción, orden y armonía del universo. El mundo, pues, estaba configurado según una estructura numérica, dónde solamente tenían cabida los números fraccionarios y enteros. Indiscutiblemente, mediante sus estudios, establecieron la base científica para las matemáticas. 
Casualmente, la grandeza sublime del Teorema de Pitágoras y la mágica belleza del Pentagrama místico fueran dos caballos de Troya para la Geometría griega, porque traían en su interior la semilla de la profunda crisis de la escuela pitagórica de donde surgieron. Las consecuencias de su Teorema atentan contra sus fundamentos doctrinales, que los había llevado a establecer un paralelismo entre el concepto numérico y la representación geométrica. En efecto, el cuadrado que es una de las figuras geométricas más simples, proporciona un terrible ente: la diagonal, que no es conmensurable con el lado. Lo mismo sucede entre la diagonal y el lado del pentágono. 
La creencia de que los números lo podían medir todo, era una ilusión. Quedaba eliminada de la Geometría la posibilidad de medir siempre con exactitud. Se había descubierto la magnitud inconmensurable, el número irracional –no expresable mediante razones–, «el alogon», que provocaría una crisis sin precedentes en la Historia de la Matemática. Esta sacudida dentro la Matemática griega puede palparse leyendo la leyenda apocalíptica atribuida a Procolo, que se relata en una parte del Libro X de Los “Elementos” de Euclides: «Se sabe que el primero en dar al dominio público la teoría de los irracionales, moriría en un naufragio, y fue así porque lo inexpresable e inimaginable debería siempre haber permanecido oculto. En consecuencia, el culpable, que fortuitamente tocó y reveló este aspecto de las cosas vivientes, fue trasladado a su lugar de origen, dónde es flagelado perpetuamente por las olas.»
  
                                              F  

es mágicamente irracional.

Resulta fascinante ver cono en la naturaleza, aparece la proporción áurea en aspectos tan diversos como el crecimiento de las plantas, las piñas, en la distribución de las hojas en un tallo, las dimensiones de los insectos y pájaros, proporciones del cuerpo humano, en la formación de los caracoles o en determinadas aplicaciones de la sucesión de Fibonacci para el cálculo de la reproducción animal; por citar algunos ejemplos. F también ha estado presente en el campo del arte y de la construcción: el alzado del Partenón griego, o la Gran Pirámide de Keops, podrían ser unas de las muchas muestras desde épocas remotas.

Aunque no creo necesario desarrollar el proceso de obtención de este valor mediante una simple ecuación de segundo grado (numéricamente aproximado a 1,6180) he pensado que sí lo seria la explicación de su génesis en tanto a las posteriores valoraciones simbólicas que de este pasaré a describir. Se hace, no obstante, indispensable, desarrollar adecuadamente la expresión de F:

2F-1=Ö5
1=2F-Ö5
de donde
1=4Fq+5-4FÖ5           (Nota: q = elevado al cuadrado)
por lo tanto
1=5+4F(F-Ö5)
es decir
1=5+4(Fq-FÖ5)
El valor (Fq-FÖ5) es una constante que a la vez incorpora el número de oro. 
Me he tomado la libertad de denominarla W, la Constante “Dual”. Finalmente, la igualdad resultante queda así

1=5+4W

Es la visualización de esta expresión la que me genera una íntima revelación e interpretación simbólica. Puede considerarse elucubrativa, y en efecto lo es, pues resulta del fruto de la meditación, reflexión, trabajo intelectual y de un profundo convencimiento “intuitivo” que escapa de la posible argumentación convencional y que desearía fuera efecto de la Luz de mi Ser espiritual. Gráficamente podríamos también plasmarlo cómo

O = Pentagrama + W

Mi lectura, tanto numerológica como gráficamente, me aporta lo siguiente: El 1, o círculo (entendiendo el punto como círculo de radio infinitesimal y con potencial expansivo o contractivo), centro generador universal, se manifiesta (o mejor dicho, contiene) al hombre, representado por el Pentagrama. Como tal, y con la misma naturaleza del Todo, es un microcosmos en sí mismo donde está latente la Luz y Energía originales, y su deber es reactivar estas calidades potenciales que permanecen dormidas y en letargo. Reafirmando esta acepción, seria el portador hereditario de la quintaesencia donante de vida e inteligencia de la cual el G.·. A.·. D.·. U.·. es su origen.
A su lado, el cuatro, el cuadrado, el reino de la apariencia sensible, de la naturaleza y del mundo dimensional donde desarrollamos nuestra experiencia corporal y material. Este espacio visible, no obstante, está íntimamente influido por W (generada a su vez por F).
¿Pero, cual es el valor de W?
Como sospechaba filosóficamente, que no matemáticamente, es –1. W me demuestra la incidencia en el plano material de lo dual, lo aparente, lo ficticio, lo opuesto.

En resumen:

Yo como hombre, generado y conteniendo la naturaleza del G.·. A.·. D.·. U.·., transito en una realidad aparente que viene regulada por unos parámetros no casuales y que se rige por unas leyes de orden (por más complicadas que puedan aparecer). Mi obligación es despertar del “sueño profano” y “reencontrar” la Verdad Original, así como colaborar en que otros así también lo hagan dentro de un entorno material de máxima paz, armonía y bondad. Aquí están mis respuestas sobre “¿de dónde vengo?” y “¿quien soy?”. Queda todavía una tercera que, cuando sea el momento adecuado y esté preparado, intentaré encontrar: “¿dónde voy?”. Pero... todo a su debido tiempo.

Anexo a la Plancha sobre Omega

  
1) Obtención de F:

Sea L un segmento tal que
L= a + b
donde se dé la siguiente proporción
Fa = b
Fb = L
por tanto
Fb = a + b
Fb = (b/F) + b
generando la ecuación de segundo grado  (q = elevado al cuadrado)
(Fq)b =b + Fb
Fq - F - 1 = 0
Su solución positiva resultante es
                                                     F  =
Nota: tomar la solución negativa podría dar pie a un estudio simbólico que pienso interesante para tratar en otra ocasión.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección.
Masonólogo

Jorge Elías Adoum. Apuntes biográficos

Otro de los más destacados autores de referencia en la instrucción simbólica y filosófica masónica en el ámbito iberoamericano, es Jorge Elías Adoum. Importante y prolífico escritor, es de justicia dar a conocer, aunque de forma condensada, su biografía. Este autor nos deja un legado de análisis e incursión pedagógica en la masonería simbólica y de grados colaterales aportando una visión personal muy marcada, aunque también muy interesante para ser analizada y tenida en cuenta dentro de un estudio amplio. 

Publicamos esta entrada gracias al material de estudio biográfico proporcionado por el MIlH Alain Zegarra Sun del Gran Oriente del Perú quien generosamente me ha proporcionado sus fuentes documentales.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º

 JORGE ELÍAS ADOUM

Jorge Elias Adoum o Mago Jefa, escritor y médico naturista. Nació el 10 de marzo de 1897 en la propiedad agrícola de su padre, Francisco Adoum, en Karf-Shbeil, cerca de Biblos, Líbano, y pertenecía a una familia católica maronita. Todavía en el Líbano, inició sus estudios superiores (y allí inició el proceso de su Iniciación en las Escuelas de Ocultismo), y los finalizó en Lyon-Francia, graduándose en Medicina. Sufrió en el Líbano los horrores de la guerra de 1914 cuyos relatos, en parte, se encuentran en su libro "Adonai".

Vivió la mayor parte de su vida en Ecuador, donde crió a su familia.

Recorrió casi todos los países de América del Sur dando conferencias gratuitas, editando sus obras, haciendo el bien.

Vivió muchos años en Brasil y falleció en Petrópolis, Río de Janeiro, el 4 de mayo de 1958, a causa de un derrame cerebral, a la edad de 61 años, y cumpliendo su voluntad, es enterrado en la ciudad donde se le recuerda como “ Jefa, el Venerable” [Nota: Al parecer, el mismo Jorge Adoum fue advertido por Issa de que su vida debía terminar por el corazón, como se puede leer en el libro “O Batismo da Dor”].

Era una persona hermética con respecto a su vida. Su infancia debió ser difícil, como la de todos los cristianos de Europa del Este y Oriente Próximo, revestida de extrema crueldad la ocupación turca, como atestiguan hechos notorios, provocada por el fanatismo otomano en los países árabes y en Europa. Las restricciones impuestas por los turcos eran draconianas, hasta el extremo de prohibir acercarse al mar, y cualquiera que lo hiciera era fusilado por algunos de los guardias civiles que custodiaban las playas, durante la guerra ni siquiera podían salar los alimentos, como sal era escaso, particularmente entre los cristianos. Sin embargo, los turcos no pusieron obstáculo para que sus súbditos emigraran, por lo que les otorgaron pasaportes y salvoconductos para salir del imperio. Así, cuando las cosas se pusieron difíciles entre 1900 y 1918, hubo una avalancha de cristianos libaneses, sirios y palestinos hacia América, razón por la cual se les dio erróneamente el 'gentilicio' de turcos a todos los inmigrantes que se identificaban con tales documentos.

Una vez les dijo a sus hijos que durante la Primera Guerra se había unido al Emir Faisal de Siria como su secretario, luchando por la independencia de su país, y cuando le preguntaron por qué no se quedó a su lado, explicó que una inoportuna sentencia de su cambió de opinión, de vida y quizás de su país, añadiendo: “El Emir me invitó a volver cuando me instalé aquí, pero ya era demasiado tarde”.

Hacia 1916 llegó a su casa la noticia de que había muerto en el frente de batalla. Su padre y su hermano decidieron hipotecar las tierras de la familia a un usurero e irse a América. Sin embargo, no había muerto, y al terminar la guerra volvió a su casa en busca de refugio, perseguido, sin la protección del Emir Faisal y con la cabeza puesta a precio de nacionalista, encontró que la tierra ya no les pertenecía y que sus familiares se habían ido a Ecuador. Luego salió del Líbano y nadie que conociera volvió a saber de él hasta 1924, cuando llegó a Ecuador. Procedente de Francia, estudiando, porque cuando llegó al Ecuador hablaba y escribía correctamente el francés, idioma que no se enseñaba en los colegios y universidades del Líbano hasta 1918. Sabía Medicina Naturista, Hipnotismo y Sugestión, que no eran materias en las escuelas de medicina en Europa en ese momento, lo que plantea un interrogante adicional en la investigación de lo que se podría haber hecho durante este período.

Llegó a Ecuador con la salud frágil, en busca de sus familiares, pero se sorprendió de no encontrarlos, pues su padre y su hermano, uno tras otro, habían viajado a Brasil, donde vivieron hasta su muerte.

Los médicos le recomendaron radicarse en la Sierra, porque el clima de Guayaquil sería fatal para él. el medico Abel Gilbert diagnosticó tuberculosis y pronosticó tres meses de vida. Fue así como decidió viajar a Ambato, donde, superada su dolencia, que distaba mucho de ser la terrible enfermedad de aquellos tiempos, conoció a través de una amiga, Juana Auad Barciona (quien luego sería su esposa), una libanesa, sólo niño, que llegó al Ecuador con sus padres cuando tenía 5 años y acababa de enviudar. Con ella tuvo cinco hijos: Violeta, Jorge Enrique, Handel, Wagner (fallecido en 1977) y Nancy.

Ambato en 1924 era una ciudad poco apta para manifestar su talento. Incapaz de practicar la medicina que conocía, trató de sobrevivir con el comercio, pero descubrió que no tenía aptitudes para este campo. Y, de hecho, durante el resto de su vida mostró un completo desinterés por el dinero, lo que justificó su fracaso como comerciante. Cuando un amigo acudió a él por cuestiones de salud, no pudo cobrarle el tratamiento. Aún así, más tarde, cuando obtuvo la autorización para ejercer la medicina, consideró indigno recibir honorarios por curar a los enfermos, provocando la natural irritación de su mujer, que debía hacer frente a las limitaciones económicas de un hogar con cinco hijos; por eso, mientras ejercía la medicina, siempre se adhirió a la generosidad de sus pacientes sin pedir jamás un centavo.

En el aislamiento cultural que mantuvo en Ambato, se dedicó a la pintura con razonables resultados en los sentidos formal y artístico y deplorables económicos, pero en el terreno intelectual se fue ahogando. Para combatir el aburrimiento, aprendió a tocar música clásica en el violín, tradujo y publicó “As Asas Quebradas” de Khalil Gibrán, probablemente dando a conocer por primera vez en Ecuador a este reconocido poeta, y “A Eva Moderna” de Nicolás Haddad, otro notable escritor libanés.

Para el Cuerpo Médico del Ecuador en la década de 1930, cerrado a innovaciones o investigaciones de nuevas técnicas, Adoum era solo un hechicero irresponsable, a pesar de que quienes acudían en su ayuda lo hacían cuando los médicos académicos se habían rendido ante ellos.

En 1935 buscó horizontes más amplios en Quito y se mudó con su familia a la capital. Allí, con mejores elementos culturales, pudo desarrollar su capacidad, aunque siempre dentro de limitaciones extremas. Publicó una revista teosófica llamada “Eu Sou”, cuya circulación se produjo en el extranjero, con ventas muy limitadas en el país. Este año asistió el Jefe Supremo Ing. Federico Páez, de la grave enfermedad que padecía, y fue recompensado con una autorización para ejercer libremente la medicina en el Ecuador. Entre las importantes curas que realizó está la de una señora llamada María de León, que sufría de ataques de asma desde hacía muchos años, habiendo visitado a cuantos médicos conocía, sin resultado alguno. Adoum le dio un tratamiento de hipnosis y le recetó que a las cinco de la mañana caminara descalza por el pasto del parque El Ejido de Quito. María de León, después de unos meses, dejó de tener ataques de asma. En 1978 (43 años después) una revista médica rusa de la Unión Soviética publicó que los médicos rusos estaban experimentando, para el tratamiento del asma, marchas sobre la hierba, al amanecer, porque durante la noche se acumulan los rayos cósmicos, beneficios para los asmáticos. en las hojas y puede ser utilizado por los pacientes antes de que el sol y el tráfico reduzcan su potencia. Adoum nunca reveló la fuente donde aprendió este tratamiento, ni vivió lo suficiente para leer el artículo antes mencionado. Nunca ejerció la medicina en ningún otro país que no sea el Ecuador.

En 1943 Líbano logra la independencia, por lo que Adoum se convierte en el fundador y primer presidente del Centro Cultural Árabe, en Quito, cuyo órgano de publicidad fue la revista ‘Oasis’, de la que salieron 16 números en tres años.

Desde 1946 su existencia ha cambiado por completo y ha estado llena de satisfacciones personales en el campo espiritual y la admiración que le tenían sus discípulos supera toda consideración. Su generosidad hizo que las limitaciones económicas que sufrían en el Ecuador fueran superadas sin esfuerzo; ya era una figura muy conocida en el continente sudamericano, en el campo esotérico.

Vivió indistintamente entre Chile, Argentina y Brasil. Finalmente, en 1950, decidió instalarse en Río de Janeiro, desde donde visitó otros países. La venta de sus libros se ha multiplicado y sigue siendo un éxito en las librerías de América Latina. Ese mismo año, la Comisión Divulgadora de las Obras del Dr. Adoum, cuya sede aún se encuentra en Santos Dumont, estado de Minas Gerais.

1953, muere su esposa.

En 1955 viajó a Buenos Aires y alguien cometió la indiscreción de hacerle saber en qué hotel se hospedaría. Se quedó tranquilo la noche de su llegada ya la mañana siguiente la policía se presentó en su habitación pidiéndole que abandonara la ciudad lo antes posible. Esta actitud descortés le resultaba del todo incomprensible, pues aún no se había enterado que el Hall del Hotel estaba repleto de personas en sillas de ruedas, con muletas y rostros marcados, que querían visitar al Dr. Adoum por razones médicas; hecho que obligó a la administración a llamar a la policía.

En abril de 1957 se vio afectado por un trastorno circulatorio que duró 20 días, durante los cuales su salud fue muy crítica, lo que le llevó a experimentar experiencias psíquicas excepcionales, dando como resultado el libro “20 Días en el Mundo de los Muertos”.

En cuanto a sus características personales, era alto, corpulento, muy esbelto, de porte imponente y cuidado en el vestir. Su mirada, nunca inexpresiva, era penetrante e inspiraba miedo o ternura, según quien fuera el interlocutor. Hablaba muy claro, nunca en voz alta pero siempre claramente audible, en un tono firme y seguro. Tanto en español como en francés, hablaba casi sin acento, con gran propiedad. Solía ​​levantarse temprano y comenzar el día con sus ejercicios de respiración, que incluían ciertos sonidos de las cuerdas vocales, muchos de ellos con la boca cerrada, emitidos de manera tenue, muy prolongada, que variaba en tonalidad. Como dato curioso, también cabe mencionar que Adoum practicaba la adivinación a través de la ceniza del cigarrillo y los posos del café como pasatiempo, técnicas muy antiguas en Oriente para este tipo de aficiones.

La grafía con la que escribió su apodo, incluida una letra 'O' entre la 'D' y la 'U', proviene de su pasaporte expedido por las autoridades francesas, en cuyo idioma es imprescindible escribir 'Adoum', para que suene el igual que 'Adum', en español.

El seudónimo de “Mago Jefa”, que consta de las iniciales de su nombre más el nombre de bautismo de su padre según la costumbre de los árabes (Jorge Enrique Francisco Adoum), es el nombre que identificó su producción literaria posterior.

Otro aspecto, notorio al hacer una búsqueda en google con el nombre de Adoum, es la aparición de 'otro' Adoum: es el hijo del Mago Jefa cuyo nombre es Jorge Enrique Adoum. Jorge Enrique Adoum es un notable poeta ecuatoriano, nacido en Ambato en 1926. Fue secretario del no menos notable poeta chileno Pablo Neruda, quien ganó el Premio Nobel de Literatura en la década de 1970. Se dice que una vez Neruda, comentando a J. Enrique Adoum, expresó: Es la flor fina de la poesía.

Maestro de FRA y Masonería, el Dr. Jorge Adoum, Mago Jefa, nos legó una preciosa colección de obras iniciáticas, que tratan de las fuerzas interiores que tiene el hombre, sin saber que las posee. Varias de sus obras descubren significados ocultos en las sagradas escrituras de todas las religiones, particularmente la cristiana. Todos sus libros pretenden predisponer al hombre a despertar y activar sus inclinaciones superiores, brindándole prácticas para lograr la salud física, mental y espiritual.

Dos de las primeras novelas que escribió, 'Adonay' y 'El bautismo de dolor o lo que le sucedió a Adonay' son relatos aparentemente autobiográficos de su vida en el Líbano, cerca de Oriente y Francia; sin embargo, cada vez que le preguntaban si realmente podían ser considerados como hechos de su vida, aludía sistemáticamente a una respuesta objetiva, diciendo que la pregunta carecía de importancia, actitud que mantenía, según explicó a uno de sus hijos, por temor de que se hubiera cultivado una reverencia por su persona, por la admiración que tenía y tiene entre sus discípulos.

Aldo Lavagnini. Apuntes biográficos

 Entre los autores de referencia en la instrucción simbólica y filosófica masónica en lengua española, se encuentra Aldo Lavagnini. A pesar de la gran difusión de su obra, incluyendo a España, su biografía resulta poco conocida en el continente europeo. Es por ello que se hace necesario publicar este breve apunte que nos aproxime más a este prolífico autor que ha sido inspiración para muchas generaciones de miembros de la orden, abarcando tanto contenidos de los Grados Azules como de la francmasonería de Altos grados. Se exilió en México a mediados de 1930 tras ser perseguido por el régimen fascista de Benito Musolini, luego de que el Duce disolviera la masonería italiana en 1926.
Agradezco profundamente la disposición del MIlH Alain Zegarra Sun del Gran Oriente del Perú quien fraternalmente me ha proporcionado las fuentes documentales.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º

ALDO LAVAGNINI

Aldo Luigi Stefano Giusto Lavagnini nació el 29 de febrero de 1896 en Siena (Italia), una ciudad europea de profunda tradición hermética y masónica.

Aldo Lavagnini, fue masón, ocultista y médico oftalmólogo. Es junto con Oswald Wirth y Jorge Elías Adoum, de los autores masónicos más seguidos en Argentina, Perú, y Chile. 

El primer seudónimo literario de Aldo Lavagnini no fue “Magister” sino “Considerator” y con él escribió varios libros sobre astrología que no tienen traducción al castellano: “Manualetto pratico di Astrologia secondo la scienza e la tradizione” (1920), “Corso d’astrologia” (1927),“Trattato pratico di astrologia” (1937) y “Quello dicono gli astri” (1937). Todos estos libros fueron publicados en Italia por la Associazione Eclettica Universale, dirigida por el propio Lavagnini. 

Redactó, entre otros textos, "El manual del aprendiz masón", "El manual del compañero masón" y "El manual del maestro masón", muy leídos y consultados en esta parte del hemisferio sur. 

Lavagnini falleció en México el 12 de marzo de 1963, pero su obra, 60 años después, y con la ayuda de las nuevas tecnologías, es más leída que nunca.