"La Liberté"

A.·. L.·.D.·.G.·.A.·.D.·.L’.·.U.·.

T.·.V.·., et vous tous mes FF.·.& SS.·. en vos grades et qualités.

LA LIBERTÉ

L'ordre, et l'ordre seul, fait en définitive
la liberté. Le désordre fait la servitude.

                                                           Charles Péguy

La liberté Commence où l’ignorance finit.

Victor Hugo

J’ai pris la liberté de vous exposer ce que j’entends justement par : Liberté.

Il en est, qui vous diront, que la liberté c’est faire ce que l’on veut, quand on le veut… D’autres, aimeront à la décliner « frontalière » : « Ma liberté s’arrête là où celle de l’autre commence » … Enfin, il y a l’Ordre. Nous sommes mes FF dans un Ordre, sans pour autant être aux ordres, et nous y sommes venus de notre plein gré, libres ; Libres et de bonnes mœurs, comme le dit notre rituel. Je commence à peine, et l’on s’aperçoit déjà, que s’il est un terme, un mot, un vocable difficile à définir, c’est bien celui de Liberté. Epictecte en disait ceci : « … Est libre, celui qui vit comme il veut, qu’on ne peut ni contraindre ni empêcher ni forcer, dont les volontés sont sans obstacles, dont les désirs atteignent leur but, dont les aversions ne rencontrent pas l’objet détesté » alors que le petit Robert nous enseigne que c’est l’« état de ce qui ne subit pas de contraintes ». Les hommes auront de tous temps une abstraction toute particulière de ce mot. Où sont les passions vaincues et les volontés soumises dans ces définitions ? Avant d’en terminer là avec les interprétations du mot, j’aimerai vous lire ce que dit le Gaudium et spes de la Grandeur de la Liberté : « C’est toujours librement que l'homme se tourne vers le bien. Cette liberté, nos contemporains l'estiment grandement et ils la poursuivent avec ardeur. Et ils ont raison. Souvent cependant ils la chérissent d'une manière qui n'est pas droite, comme la licence de faire n'importe quoi, pourvu que cela plaise, même le mal. Mais la vraie liberté est en l'homme un signe privilégié de l'image divine. Car Dieu a voulu le laisser à son propre conseil pour qu'il puisse de lui-même chercher son Créateur et, en adhérant librement à lui, s'achever ainsi dans une bienheureuse plénitude. La dignité de l'homme exige donc de lui qu'il agisse selon un choix conscient et libre, mû et déterminé par une conviction personnelle et non sous le seul effet de poussées instinctives ou d'une contrainte extérieure. L'homme parvient à cette dignité lorsque, se délivrant de toute servitude des passions, par le choix libre du bien, il marche vers sa destinée et prend soin de s'en procurer réellement les moyens par son ingéniosité ». Cette explication me semble prometteuse et son sens ésotérique fort. Je me suis, en d’autres temps et d’autres lieux, défini comme un homme libre, non parce que j’agis à ma guise, mais bien parce que je me contrains ; Ô certes pas sur tout… malheureusement, mais j’y travaille. La contrainte est l’alliée, la compagne de la liberté. La contrainte est cette partie commune entre l’autre et moi, cette divine communion qui fait que je peux accepter son point de vue de la même façon que lui recevra le mien. De là jaillira la lumière.


 Je suis dans le désert. Un chemin file vers l’Est, peut être une oasis, vers la fraîcheur et le repos fiévreux des pays écrasants, ceux qui laissent courir le regard sans fin, comme un lévrier fatal – c'est-à-dire la Mort – Je peux, car ma liberté me l’autorise, tourner le dos au sentier et me perdre, au hasard des étendues Sableuses et harassantes. Je peux aussi guider ma liberté vers une contrainte : suivre le chemin, trouver, au bout de ma quête la source qui étanchera ma soif et me lavera des poussières du voyage. Saint Thomas, se plaisait à dire que l’on est vraiment libre lorsque l’on se fait responsable de tout, être prêt à toujours répondre de soi-même. Avant Saint Thomas, le vieux Talmud de Babylone observait : « Si je ne réponds pas de moi, qui pourra répondre de moi ? Mais si je ne réponds pas de moi, suis-je encore moi ? ». Qu’y a-t-il de plus difficile à dire que : « Ce n’est pas moi ! » Ne pas se reconnaître, ne pas vouloir assumer la paternité de ses actes, ne pas en assurer la filiation par le biais des conséquences qu’ils ont engendré ! Dire « c’est moi, oui, c’est bien moi », naître à sa liberté. Etre Libre. Etre Soi-même. Ce n’est pas simple. C’est même très difficile, dur, éprouvant, pénible et souvent laborieux. Le Zohar, « Le Livre de la Splendeur », avance : « Parmi les oiseaux du Ciel, certains font leur nid à l'extérieur, d'autres à l'intérieur des maisons, comme l'hirondelle qui ne craint pas l'homme. Pourquoi ? Parce qu'on l'appelle "dror" dont la traduction en araméen est "herou", ou liberté. Les hirondelles nichent dans la maison pendant 50 jours après avoir pondu, après chaque oiseau part là où il veut, librement. Ainsi il est écrit dans Lévitique 25/10 : "Vous sanctifierez cette 50ème  année, en proclamant, dans le pays, la liberté pour tous ceux qui l'habitent (ouqratem dror baarets) : cette année sera pour vous le Jubilé (yovel hi tihyéh lakhem), où chacun de vous rentrera dans son bien, où chacun retournera à sa famille". La trancription et l’explication qu’en donne le Zohar est la suivante : « La liberté pour tous émane de cette 50ème année, et c'est ainsi que la Torah, qui est issue le 50ème jour (temps écoulé entre Pâque & Pentecôte soit sept semaines), est appelée "liberté". D'ailleurs les tables de la Loi sont gravées "h'arouth", homonyme de "h'érout", liberté. On libère et on se libère de la matière. La Loi du décalogue apporte la Liberté en toute chose, en toute sphère, en tout monde, en toute créature, en Haut comme en Bas… ».

J e citais en préambule la maxime populaire, la formule de genre convenable qui dit que « Ma liberté s’arrête là où celle de l’autre commence » … Ceci voudrait dire que ma liberté est ambulante, à géométrie variable, mitoyenne à celle de l’autre suivant l’humeur, l’envie ou la lassitude à la seule condition qu’elle n’empiète pas chez le voisin … Ce n’est pas çà la Liberté ; cela s’appelle la solitude. Non, la Liberté c’est justement cette sublime zone, douce, qui nous est prodiguée à lui et à moi et dans laquelle l’échange est possible. En fait nos libertés sont communes, consonantes, c’est une perspective de recouvrance, une communion aimante. Là est la Liberté Féconde, la seule possible.

Le Sage disait « ne demande jamais ton chemin à quelqu’un qui le connaît, tu pourrais t’égarer ». Ne suis personne. En revanche suis les traces immémoriales. Va simplement. Aller n’a jamais été suivre. Emprunter une voie n’est pas mettre ses pas dans ceux de celui qui a tracé le chemin, c’est beaucoup mieux que ça : c’est partager le périple avec lui. Rien ne peut être pareil : ni le temps, ni les embûches, ni tes pensées … rien de ce que tu vivras sur cette route ne peut être identique à ce que vécut l’Autre. Le précipice est là, et le vertige t’oppresse, le vide t’attire, l’appréhension te commande presque de reculer alors que l’amblyope, l’aveugle, est passé là sans frissonner, en frôlant la paroi avec ingénuité. Ainsi chacun avance avec son propre fardeau, et les pierres que tu as poussées du pied, un autre les aura enjambées. On chemine avec ses propres tourments. Les pas japonais que tu auras choisis ne seront pas les mêmes que ceux sur lesquels je poserai mes pieds, mais notre but est identique. C’est en cette perception, que la jolie parole de Jean prend tout son sens ésotérique : « La Vérité rend libre ». Dieu rend libre parce qu’il partage, c’est l’amour qui rend libre et non la solitude. Il ne peut y avoir d’amour sans choix et donc sans liberté.

Nous sommes ici, comme je l’ai dit au tout début, de notre plein gré. Pendant la cérémonie de réception, il nous a été proposé à plusieurs reprises de nous retirer, si l’ampleur de la tâche nous paraissait trop importante : Mourir pour mieux renaître ! En fait, l’aphorisme complet est le suivant : Pour naître, il faut mourir et pour mourir, il faut s’éveiller ». Nous pourrions développer cet aphorisme en d’autres grades, mais cet éveil, n’est autre que sa propre libération. Gagner sa liberté, n’est ce pas là ce que nous sommes venus chercher en Loge ? Je vous invite mes FF à parcourir Bernanos qui exprime de façon magnifique « la liberté est une condition de l’amour ». Dans la Genèse, Dieu confit à l’homme l’ensemble de la création visible, il le place donc dès le début sous sa propre sauvegarde. Si cela ne s’appelle pas liberté… comment doit-on le nommer ? Mais le GADLU le fait parce qu’il crée l’homme raisonnable, à son image. Il lui confère donc l’initiative et le contrôle de ses actes. Vous allez trouver que je me répète mais nous voyons bien que notre propre contrainte est bien l’alliée indissociable de notre Liberté : Vaincre ses passions… Notre seul credo, ne peut qu’être le choix libre du bien.

Notre liberté aujourd’hui, c’est ici, dans l’athanor de la Loge, qu’elle s’exprime le mieux. Loin des facilités des « prêt-à-penser », du « terrorisme » du politiquement correct, des distillats d’expressions, d’images et d’idées, formatées, prédigérées et ingurgitées. Nous sommes là, pour nous rendre libres aux travers de notre conscience et de notre intelligence, par le travail des vertus. Un vieux Sage chinois avait pour coutume de dire à ses disciples que ses passions et ses désirs étaient semblables aux enfants, plus on leur cède et plus ils deviennent exigeants. Nous sommes leurs esclaves, nous les traînons partout, ils font notre bât, notre fardeau, notre peine. Soyons humble, et œuvrons à notre libération. Nos outils : le Rituel, nos symboles et l’Amour Fraternel.

Avant de conclure, je voudrais vous parler des belles histoires que nous racontent les textes anciens, qui nous ramènent à nos origines. En feuilletant le Manuscrit d’Halliwell, plus connu sous le nom de Regius, il m’est apparu des évidences troublantes. Je vous en cite quelques unes :

  • Dans son article Quatrième : … « Le Maître fera bien de ne pas prendre un serf comme apprenti … » Le serf au Moyen-Âge, était attaché à une terre, il ne pouvait la quitter… il n’était donc pas libre.

  • Article Quinzième : … « Envers aucun homme, il (le Maître) ne doit adopter un comportement faux… Ni souffrir qu’ils (que ses compagnons) fassent de faux serments, mais s’inquiéter de leurs âmes par amour… »

Nous pourrions multiplier les exemples dans d’autres références (le Cooke, les Statuts de Bologne, de Strasbourg, de Shaw ou de Ratisbonne), mais tous nous ramèneraient vers notre Rituel et plus particulièrement vers l’instruction.

Je prendrais donc la Liberté, d’encourager nos jeunes FF Apprentis, à ne pas hésiter à se rendre libres. Pour cela leur instruction leur dit qu’ils ont été introduits en loge par trois grands coups qui signifient : « demandez vous recevrez, cherchez vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira ». C’est un très beau message d’encouragement pour aller vers la Liberté.

Enfin, je terminerai en vous disant que la liberté n’a pas de prix ; le meilleur exemple en fut le Christ ; Marc-Aurèle nous dit : « Voici la morale parfaite : vivre chaque jour comme si c'était le dernier ; ne pas s'agiter, ne pas sommeiller, ne pas faire semblant » ; la liberté ne peut donc être simulée.

J’ai dit 

Marc-Antoine Bonnet, Ve Ordre, Gr.·. 9, 33º

TSPGV du Grand Chapitre Général d'Andorre

Bliographie :

  • Epictète : Pensées et entretiens

  • Gaudium et spes : « Constitution pastorale sur l’Eglise dans le monde de ce temps » Vatican II (7/12/1965)

  • Le Zohar : Le Livre de la Splendeur.

  • P. D. Ouspensky : « Fragments d’un enseignement inconnu » Stock 1947

  • Jean Ferré : « Histoire de la Franc-maçonnerie par les textes (1248 – 1782) Ed. Du Rocher 2001

  • Evangile selon Saint-Jean. 

Ceremonia de Instalación de los Maestros de Logia

"Bosquejos históricos".
Notas sobre la ceremonia esotérica de Instalación de los Maestros de Logia,
por René GUILLY


La primera aparición importante en la historia masónica de la ceremonia esotérica de instalación de los Maestros de Logia se produjo en el momento del gran cisma inglés de 1753 - este acontecimiento de una importancia capital donde se encuentra inevitablemente tan pronto como se aborda en profundidad los verdaderos problemas masónicos-.

En efecto, entre las numerosas quejas hechas a los "Modernos" de 1717 por los "Antiguos" de 1753 y que son enumerados extensamente por B.E. Jones en su “Freemason's Guide and Compendium” (p. 201) éste indica: «haber dejado caer en desuso la ceremonia esotérica de la instalación del Maestro, aunque algunas de sus logias hayan practicado tempranamente tal ceremonia y continúa por su propia iniciativa en hacerlo».

Los "Antiguos" apreciaban esencialmente esta ceremonia que era según ellos una de las condiciones para ser "exaltado”, si se nos permite este anglicismo, al grado del Arco Real. Es por otra parte esta condición y el deseo de numerosos hermanos de ser admitidos en los secretos del Arco Real que llevó a esta ceremonia esotérica a transformarse en una especie de 4º grado, a menudo conferido después de una elección ficticia al cargo de Venerable. Este 4º grado pasó a veces, y particularmente en U.S.A., bajo la jurisdicción de los capítulos del Arco Real.

Es importante ante todo saber si, desde el punto de vista tradicional, esta acusación estaba fundada.

Henry Sadler en sus «Notes on the Ceremony of Instalation» (1) estima que el primer rastro de esta ceremonia se encuentra en las Constituciones de Anderson de 1723. Apreciamos en efecto en la página 71 de esta obra, incluido en «La manera de constituir una nueva Logia», el pasaje siguiente: «Sobre lo que el Diputado repetirá las obligaciones del Maestro, y el Gran Maestro interrogará al Candidato (2) diciendo «¿se somete usted a estas obligaciones así como los Maestros lo han hecho en todos los tiempos?» Y el candidato que significa su sometimiento cordial a éstas, el Gran Maestro, durante ciertas ceremonias significativas y conformemente a los Antiguos Usos, Ie instalará y le presentará las Constituciones, el Libro de Logia, y los Instrumentos de su oficio, no todo junto, sino uno después del otro.
Es cierto que se encuentra aquí más que indicios de una ceremonia de instalación reservada para el Maestro de la Logia.

Un poco más luz ha sido dada a este problema en los años 1809 y 1810.
El 26 de octubre de 1809, el Príncipe de Gales – más tarde George IV- Gran Maestro de los Modernos, había librado una patente a una Logia de Maestros expresamente encargada de buscar y luego de promulgar los antiguos Land-Marks del Oficio.

Se trataba de preparar la unión que debía llevarse a cabo en 1813 entre los dos grandes cuerpos rivales, volviendo a ciertos usos después de haber reconocido su autenticidad tradicional.

En su primera Tenida, el 21 de noviembre de 1809, esta logia adoptó el nombre, bajo el cual entró en la historia, de Logia Especial de Promulgación. El Duque de Sussex, que debía suceder en 1813 como Gran Maestro de los Modernos a su hermano el Príncipe de Gales, y convertirse, inmediatamente después, en el Gran Maestro de la Gran Logia Unida de Inglaterra, formaba parte de esta Logia así como varios grandes Maestros provinciales.

El H.•. Bonnor, Primer Vigilante de la Logia de la Antigüedad N°1 (Lodge of Antiquity), fue nombrado secretario, y fue uno de los pocos que fueron capaces de exponer con precisión en qué consistían verdaderamente ciertos antiguos usos que justamente su Logia practicaba.

Hay que reconocer que la cautela de la Logia de la Antigüedad es de una particular importancia desde el punto de vista de la tradición masónica. Llevaba el N°1 de los Modernos, y sólo el sorteo después de 1813 la hizo de forma bastante extraña atribuir el N°2, en provecho de la logia más antigua de los Antiens, la Grand Master' s Lodge, que recibió la N°1 aunque había sido fundada en 1756.

La Logia de Antigüedad no era otra que la Logia muy antigua (los ingleses dicen en ese caso: «a time immemorial Lodge») que se reunía, en 1717, en la taberna que tenía como letrero «el ganso y la parrilla» en el cementerio Saint-Paul. Esta Logia fue una de las cuatro fundadoras, el 21 de junio de 1717, de la Primera Gran Logia de Inglaterra.

En 1761 tomó el nombre de "West India and American Lodge" y en 1770 adoptó el de "Lodge of Antiquity".

Es importante anotar que esta Logia nunca pasó bajo la jurisdicción de los Antiguos y permaneció fiel a la G. L. de 1717, excepto de 1777 al 1787 cuando, teniendo a su cabeza el celebre escritor masónico William Preston, ella formó, a continuación de una disputa con la Gran Logia, la «Grand Lodge of England South of River Trent», trabajando bajo la autoridad de la Logia «of All England» en York.
En lo que concierne a la ceremonia de Instalación del Maestro de la Logia, "Lodge of Antiquity" afirma comunicar unos secretos particulares en el momento de la instalación del Maestro por lo menos desde el 1726 (B.E. Jones o.c. p. 248) y conceder desde el 1739 un rango privilegiado al Pasado Maestro Inmediato.

Lo cierto es que la Logia especial de Promulgación habiendo abordado, el 19 de octubre de 1810, la cuestión que nos interesa, después de haber evidentemente verificado y aceptado los argumentos de la logia de la Antigüedad adoptó una resolución reconociendo: «que la ceremonia de instalación de los Maestros de Logia era uno de los verdaderos Land-Marks del Oficio y debía ser preservado».

Fue resuelto también el mismo día «que se hacia el llamamiento a los miembros de la Logia especial de Promulgación que eran Maestros Instalados para instalar al Venerable actual de la Logia, y luego, bajo la dirección de este último, para tomar todas las medidas para instalar a los otros miembros que eran Maestros de Logia». Dieciséis miembros de la logia especial de Promulgación asistían a la siguiente Tenida. De los quince Maestros de Logia presentes, cuatro solamente eran Maestros Instalados, y tres de estos últimos pertenecían a la Logia de la Antigüedad. A la Tenida que siguió fue formado un Consejo de Maestros Instalados: el Muy Venerable Maestro y los otros Maestros de Logia fueron regularmente instalados.

Con el fin de que otros Maestros de Logia de Londres y de los alrededores pudieran ser instalados a su vez en las mismas condiciones, el Gran Maestro aceptó prolongar dos meses la validez de los poderes de la Logia especial de Promulgación. Fueron hechas convocatorias, y todo hermano presentándose con un certificado de su Logia que atestiguara que había cumplido el oficio de Vigilante y había sido elegido regularmente al cargo de Maestro fue entonces regularmente instalado, así como varios grandes Maestros Provinciales y el Conde de Moira incluso, Acting Grand Master (Gran Maestro Adjunto).

La Logia especial de Promulgación cesó sus trabajos, según parece, el 5 de marzo de 1811. Inmediatamente después de la Unión, una nueva Logia especial fue formada por la élite de ambos cuerpos. Ésta tomó el nombre de Logia de Reconciliación y no debe ser confundida con la precedente. Su misión esencial fue elaborar y enseñar seguidamente a las Logias las ceremonias uniformes para los tres grados; ésta era una tarea importante y no parece que se extendiera a ceremonia de instalación.
En 1827, el duque de Sussex, Gran Maestro, estimó que había llegado el momento para trasladar sus esfuerzos sobre este último punto. Con este fin, fueron libradas cartas patentes a un cierto número de hermanos particularmente bien informados, con el fin de constituirse en Consejo de Maestros Instalados. Este consejo debía, por una parte elaborar un ceremonial único que recibiría la aprobación del Gran Maestro, y por otra, instalar a todos los Maestros de Logias que todavía no habían podido serlo.

Todos los Maestros y antiguos Maestros de Logia fueron avisados por circular, e invitados a asistir a tres reuniones que se efectuaron el 17, el 22 y el 28 de diciembre de 1827.
En 1828, este Consejo de Maestros Instalados envió un informe sobre su misión al
Duque de Sussex. En éste puede leerse particularmente: «Estamos felices de hallarnos en disposición de informar a su Alteza Real que estas reuniones han sido seguidas por un gran número de asistentes, y que todas las formas y las ceremonias de la instalación, tales como han sido establecidas por nosotros y que habían tenido anteriormente el honor de ser aprobadas por su Alteza Real, han sido comunicadas y practicadas; y también procedimos a la Instalación de todos los Maestros de Logia que no habían sido instalados regularmente y que manifestaron su deseo».
Es particularmente interesante destacar de entre los miembros de este Consejo de Maestros Instalados los nombres de: William White, antiguo Gran Secretario de los
Modernos, 2º Vigilante de la Logia Especial de Promulgación, Gran Secretario de la Gran Logia Unida de Inglaterra, de 1813 al 1857; William Meyrick, miembro de la Logia de la Antigüedad desde el 1792, Primer Vigilante de la Logia de Reconciliación; Thomas Cant, miembro fundador en 1823 de la Logia de instrucción "Emulación".

Una filiación directa aparece así entre la Logia especial de Promulgación, entre el que también formaba parte el duque de Sussex, el Consejo de Maestros Instalados de 1827 y la Logia de Instrucción "Emulación".
Esta última «The Emulation Lodge of Improvement» había sido fundada el 20 de octubre de 1823. Primero vinculada a la Logia de la Esperanza (Lodge of Hope) fue transferida sobre el 1831 a la Lodge of Unions N° 256. La fama de los trabajos de esta logia de Instrucción fue muy grande, y es la que fijó los rituales que constituyen en nuestros días el Rito Emulación. Uno de sus miembros más conocidos por su actividad y su competencia fue el H.•. Peter Gilkes (1765-1833).

A partir de 1841, la logia Emulación practicó regularmente la ceremonia de Instalación de los Maestros de Logia los primeros viernes de noviembre, diciembre, enero y febrero. En sus «Nootes the ceremony of Installations» -de donde están extraídas la mayoría de estas preciosas reseñas- Henry Sadler escribe (p. 37):
«tengo toda razón para creer que la ceremonia ahora practicada en la Logia de Instrucción Emulación es esencialmente la misma que la del Consejo de
Maestros Instalados de 1827». Es totalmente lícito pues decir que ceremonia esotérica de Instalación del Rito Emulación está relacionada no sólo -lo que resulta obvio- a la Gran Logia de los Antiguos de 1753, sino también, a la Logia especial de Promulgación, a la Logia de la Antigüedad y en cierta medida, por la alusión de las Constituciones de Anderson de 1723 a la Gran Logia del Modernos de 1717.
Sin embargo, es honesto constatar que el período que va del 1717 al 1750 aproximadamente, es del que poseemos menos elementos. Nos permitimos arriesgar con una explicación sobre este tema. Todos los historiadores están de acuerdo en reconocer que el término de Maestro designaba primero una función - la de Maestro de la Logia antes de aplicarse a un grado - el de Maestro Masón. Está claro que es en este Maestro de la Logia escogido entre los compañeros (como lo muestran las Constituciones de 1723) que se apliqua la frase ya citada: «el Gran Maestro durante ciertas ceremonias significativas y conforme a los antiguos Usos, Io instalará». La aparición, en una época muy cercana, del grado de Maestro, pudo ser considerado por algunos como una calificación suficiente para acceder al “Trono”. Ambas ceremonias, la del 3er grado y la de la Instalación del Maestro de la Logia, pudiendo aparentar hacer doble empleo, solamente la primera habría subsistido en un gran número de Logias.

Sea como fuere, nos es permitido creer que esta ceremonia de instalación sólo se hizo realmente esotérica (es decir llevada a cabo únicamente en presencia de los Maestros Instalados) más tarde. Otras ciertas reglas fueron sin duda también tardías: como la que exige la presencia de tres Maestros Instalados.

Después de la unión de 1813, el nuevo cuerpo adoptó respecto a la dignidad de Maestro Instalado la misma línea de conducta que para El Arco Real. La doctrina de los
Modernos de 1717, que estaban oficialmente opuestos a todo grado superior al
3er grado, lo quitó en apariencia. Como el Arco Real, la ceremonia esotérica de Instalación fue declarada un simple complemento de la Maestría.

La consecuencia sobre el ritual fue que todos los desarrollos ceremoniales que, en muchos casos, habían llevado a la dignidad de Maestro Instalado a parecerse a una especie de 4º grado, fueron severamente relegados en Inglaterra.
Solo lo esencial subsistió, y el Consejo de Maestros Instalados no sabría ser asimilado a un taller trabajando en un grado particular (3). La dignidad de Maestro Instalado ya no fue considerada como una calificación para el Arco Real; esta condición fue mantenida sin embargo para los tres "Principales" de un capítulo.

Encontraremos, ilustrado con grabados divertidos, un ejemplo del «Past Master' s
degree » practicado en U.S.A. en un ritual publicado en Londres en la segunda mitad del siglo XIX «A Ritual and Illustrations of Freemasonry» (4). Este grado ocupa allí un rango intermedio (5) entre el Mark Master y el Most Excellent Master.
La ceremonia esotérica de Instalación no aparece haber sido practicada en Francia (6) en el siglo XVIII. En el siglo XIX, el Tuileur de Vuillaume (1820) da reseñas sobre el "grado" de Pasado Maestro, la mayoría diferentes por otra parte de lo que nos enseña el Rito Emulación. Este autor añade (p. 71): «Hay muchas logias donde el Past-Master no es conocido, sobre todo en el Rito Francés. Para hacer las veces de eso, hicimos un extracto del ritual del vigésimo grado Venerable Maestro de Logia con las palabras que siguen…:», palabras que no tienen relación con el Rito Emulación.

El título de Venerable de Honor, dignidad ad vitam, es considerado en 1834 por Bazot en su manual del Francmasón, como una «innovación discutible», estaba allí sin duda el medio - bastante profano - que habían encontrado ciertos masones francés para hacer las veces del Pasado Maestro inglés. Pero este título, concedido por uno voto simple, como todavía actualmente, no se acompañaba por ningún elemento tradicional.

Todo indica que la ceremonia esotérica de Instalación permaneció excepcional en nuestro país hasta la fundación de la Gran Logia Nacional Francesa, en 1913. Es después de esta fecha, hacia 1918-1919, según la opinión muy autorizada del H.•.
P. de R., que una adaptación del Rito Emulación fue hecha para las Logias Escocesas Rectificadas de esta Obediencia. Este precedente feliz fue muy recientemente imitado por una Logia del Rito Moderno francés.

Acabo con este breve recuerdo histórico. Nunca se dirá lo suficiente sobre cuánto la personalidad del Venerable tiene de importancia para la vida de unaLogia. Este rol eminente del Maestro de la Logia es una de las grandezas y una de las debilidades de nuestra Institución. También, todo lo que contribuye a reforzar la dignidad y la instrucción masónica de los Maestros en “Trono” (Maïtre en chaire) sólo puede tener una influencia benéfica para nuestra Orden.

Nuestros hermanos ingleses fueron sabios manteniendo y volviendo a poner en vigor el principio de una ceremonia distinta reservada al Maestro de la Logia y los secretos que le son conferidos por sus pares. Además, esta dignidad, permaneciendo ligada al Pasado Maestro, crea en la Orden un grupo de personas cuya responsabilidad iniciática y moral es aumentada, lo que puede tener sólo efectos felices para la conservación y la salvaguardia de la Tradición Masónica, el fin hacia el cual deben tender, hoy más que nunca, todos los Masones esclarecidos.

(1) Londres 1889.
(2) El Maestro elegido por los hermanos de la nueva Logia.
(3) G. L. de Escocia escapaba naturalmente a estas decisiones que solo
concernían a Inglaterra y su ritual de instalación esotérica, muy
interesante por otra parte, conservó un ceremonial de apertura por peticiones y
respuestas que le dan la apariencia de un grado.
(4) Clasificado en la Biblioteca Nacional como 8 ° H 8031.
(5) También en Europa en la actualidad
(6) Ver la aparición de los Altos Grados en Francia donde algunos aparecen conferir la cualidad inherente al derivado de la Instalación con procedimientos similares o reminiscencias formales rituales parecidas.

Traducido y revisado por

Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9 y Último del Rito Moderno o Francés, 33º R.E.A.A.
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la V Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Rite de Cerneau et Rite Écosais Ancien et Accepté)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección
Masonólogo

Le Rose-Croix de l'Ordre Royal d'Hérédom de Kilwinning (D'après mes conversations avec Jean Pierre-Duhal)


Mon TCF Jean-Pierre:

Je m'approche à toi pour te faire quelques questions à propos de l'Ordre d'Hérédom de Kilwinning, et son grade de R+ finalement intégré au Grand Chapitre Géneral de France.

Cette ordre, site à Edimbourg (quelques uns envoient ses origines à l’Angleterre) possède un R+ bien différente aux autres RR++. Clermont dit à Gages que ce grade R+ d’Hérédom de Kilwinning été concédé seulement à une élite.

On déduit alors que le R+ d'Hérédom de Kilwinning, Chrétien et catholique, choqué avec les autres d'origine protestant et quand même juifs.

Je pense que le rite d’Heredom de Kilwinning était réservé qu à la garde rapprochée de Clermont qui était dévot.

La version du rose-croix du système en 25 était une autre version du rose-croix .

La question est si, peut être, Morin était il reçu à ce degré R+ d’Hérédom de kilwinning?


Mon cher Joaquim,

Voila une question bien difficile pour apporter une réponse en ce qui me concerne.

Selon A Bernheim, il semble que le Chapitre dit de Clermont appartient plus à la légende qu'à son existence réelle. De même que l'appellation Rite de Perfection n'a pas était utilisé à l'époque où il s'agissait plutôt de l'Ordre du Royal Secret.

Je n'ai pas trouvé de fait prouvant que le rose-croix de Morin descendait du rose-croix de l'ordre d'Hérédom de Kilwinning. Ce qu'on peut dire c'est l'ossature commune de la plupart des écritures de R+ et donc probablement une seule origine.

On peut souligner l'ancienneté avérée du R+ de l'Ordre d'Hérédom de Kilwinnig.
On peut relever curieusement l'absence de rôle politique de ce grade contrairement à celui de chevalier d'Orient qui manque de souffle à mon avis.

Peut on dire également que l'histoire s'est jouée entre Londres Paris et Berlin sans oublier l'enclave Bordelaise sans doute avec une proximité anglaise.
Le rose-croix était inclus dans le pacage du rite du Royal Secret dont il semble que Morin soit l'auteur de ce dernier grade ce qui semblait plus le préoccuper que redevenir du rose croix pourtant fort de son contenu.

Avec un TAF très forte

Jean-Pierre Duhal, 5ème Ordre, Chevallier de la Sagesse, Grade 9 et dernier du Rite Français des Modernes, Souverain Grand Inspecteur Général, 33º du Rite Écossais Ancien et Accepté. Fondateur du Sublime Conseil “Provence et Fidélité”, Membre Fondateur du Ve Ordre et, Passé Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France. Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne

La ubicación de las Columnas del Templo, sus Palabras y otras consideraciones aclaratorias

 El objetivo de este artículo es intentar aclarar la confusión reinante relativa a las Columnas del Templo de Salomón, sus palabras, y otros aspectos tangenciales que han sido objeto de interpretaciones erróneas y degeneradas, por interés o ignorancia en muchos casos. Agradezco infinitamente las lúcidas y magníficas indicaciones que sobre el asunto me ha aportado el Querido Hermano y amigo Patrick Négrier, magnífico masonólogo y filósofo, referente de todos conocido, y cuya cercanía y atención va a la par de su inmensidad de conocimientos.

Las palabras B y J se transmitieron solo en el grado de Aprendiz y eso desde el "Edimburgo" de 1696. El ritual de la Gran Logia de Inglaterra se limitó a agregar un grado de maestría (a la que cambió la transmisión de la palabra MB con el toque de los cinco puntos del antiguo grado de compañero) para poder reservar al grado de compañero, ahora liberado de su contenido anterior, un contenido Nuevo: la transmisión del desarrollo en la letra G (Samuel PRICHARD, “Masonería Diseccionada”, 1730).
Muy a menudo, la transmisión de los dos grados se realizaba en la misma velada. A pesar de ciertas lecturas ciertamente fantasiosas e imaginativas, la puerta entre las dos columnas estaba hacia el este e indicaba la puerta equinoccial. La columna J a la derecha al noreste indica la ubicación del horizonte donde el sol sale el día del solsticio de verano más largo; y la columna B, a la izquierda al sureste, indica la ubicación del horizonte donde sale el sol el día del solsticio de invierno, el día más corto. Volver a leer I Reyes 7,21.
Para responder a estas preguntas, siempre es necesario volver al texto fundador, el “Edimburgo” de 1696, que expone claramente y sin la más mínima duda posible: “Q. : Are there any lights in your lodge ? An. : yes, three, the north-east, s.-w., and eastern passage”

El noreste designaba el punto del horizonte donde el sol sale el día del solsticio de verano simbolizado por la columna J (y que se pone al noroeste).

El suroeste (abreviado como S.-W.) era el punto en el horizonte donde el sol se pone el día del solsticio de invierno simbolizado por la columna B (y que se levanta al sureste).

Y entre estas dos posiciones extremas, debido a la eclíptica, está naturalmente el este, es decir, el lugar del horizonte donde el sol se levanta en cada uno de los dos equinoccios, que es donde el sol se eleva a los dos equinoccios descritos en el texto como "pasaje del este", el pasaje al final simbolizado en el Ulam por la puerta del Hêkal (la puesta de sol en los dos equinoccios se realiza de forma natural al oeste). No hay nada falso en este catecismo de 1696 que no simplemente invita a pensar el simbolismo de los dos solsticios, sino también el de las dos columnas (con sus nombres, su material, su altura y sus dos capiteles adornados con lirios y granadas) y la puerta del Hêkal, donde Patrick Négrier da cuenta de ello en el Capítulo IV de su libro “L'essence de la franc-maçonnerie a travers ses textes fondateurs 1356-1751”(Oxus, 2018) 
En múltiples ocasiones hemos escuchado decir o leído que, en el templo de Salomón, la luz venía de la puerta de los dioses y en el templo masónico la puerta se invierte. Entonces el masón entra por el sol poniente, por la puerta de los hombres. Era lógico para algunos que consideraran así un cambio de plano entre la casa de Dios, que era el templo de Salomón y la casa de los hombres que caminaban hacia la luz que es el templo masónico. Este pensamiento “guenoniano” es totalmente ajeno a la tradición de la Palabra de Mason. El Edimburgo de 1696 reporta claramente la puerta y las dos columnas a "Noreste, Sudoeste, y Pasaje del Este". Explicación: El noreste fue la ubicación de la Columna J (solsticio de verano durante el cual el sol sale al noreste y se pone al noroeste); el sudoeste era la ubicación de la columna B (solsticio de invierno durante el cual el sol sale al sureste y se pone al sudoeste); y el pasaje desde el este significaba el lugar en el horizonte donde el sol sale el día de los 2 equinoccios.
Es importantísimo señalar que en el origen del grado de compañero no se comunicaban las Palabras B y J: estas ya habían sido dadas en el grado de aprendiz. Y es porque el aprendiz ya las conoce que él puede hablar de ellas y ya no precisa volvérselas a transmitir. El Compañero no es el que recibe B y J, sino el que recibe la letra G. Observando el Prichard de 1730, en el grado de Compañero, vemos: P- ¿Cuando pasasteis bajo el Atrio, ¿qué visteis?. R-Dos grandes columnas. P- ¿Cuál es su nombre? R-J y B, es decir, Jakin y Boaz. Por lo tanto es falso que ambas palabras se dan en ambos grados. Solamente en el grado de aprendiz y eso desde el “Edimburgo” de 1696.
Volviendo al templo de Jerusalén, estaba orientado desde el este (Oulam con sus 2 columnas) hacia el oeste (Devir frente al cual el altar de los perfumes simbolizaba la muerte). Al mirar hacia el templo, uno miraba hacia el oeste y, desde esta perspectiva, Ulam representaba el este (puerta) flanqueado en la derecha del noreste (J) y en la izquierda del sureste (B), donde cada columna tenía su propio simbolismo.
Se lee y acepta tan alegremente, afirmaciones y desarrollos como el que sigue a continuación: “La separación de la expresión en dos palabras distintas y separadas para el aprendiz y el compañero tuvo lugar cuando el grado de maestro llegó alrededor de 1730. Era necesario individualizar los cuerpos de tres grados distintos. Fueron separados los gemelos significantes y marcadores de la puerta solsticial. Eran del mismo nacimiento solar y a uno se le dio la voluntad divina (Jakin) y al otro la voluntad de los hombres (Boaz). Esta dicotomía recuerda la puerta de los dioses y la puerta de los hombres”. Esta Exégesis guenoniana totalmente ajena a la tradición de la Palabra del Masón, es además falsa. No era la puerta la que era solsticial: eran las dos columnas: "¿Qué significan las dos columnas de bronce? R: Ellos marcan los dos puntos solsticiales "(Rito Escocés Antiguo y Aceptado, 1829 en COLLECTIF, Origen y Evolución de los Rituales, Gran Logia de Francia, 1999, 361).

La controversia de 1753
Poco después de la introducción del grado de maestro, un falso problema contamina el razonamiento de nuestros antecesores: la controversia de los antiguos y los modernos. Los "Anciens" constituidos en la Gran Logia acusaron a los "Modernos" de 1717 de haber invertido las palabras después de las revelaciones publicadas. Pero si analizamos con calma vemos que, en 1737, en la “Réception d’un frey-maçon”: B y J todavía se comunican al aprendiz. En 1745, Gabriel-Louis PERAU, en “L’Ordre des francs-maçons trahi”: se comunica J al aprendiz y B al compañero (este es el origen de la modalidad del rito francés).

Cual leyenda que se ha dado por cierta a fuerza de repetirla una y otra vez, se dice que el Rito Escocés Primitivo está presente en las primeras logias del regimiento en Saint-Germain-en-Laye desde 1688. Eso es una invención pura: la masonería del Mason Word solo se introdujo en Francia alrededor de 1725.

Si la masonería desea ser lógica consigo misma, debe basarse en el simbolismo del noreste / noroeste de J y en el simbolismo del sureste / suroeste de B: por lo tanto, debe ubicarse al norte en la Logia aquellos que reciben JAKIN (no importa si son los aprendices o compañeros, cada rito hace lo que él desea) y, por lo tanto, tendrán que ser ubicados en el sur los que reciben B (aprendices o compañeros, siendo libre cada rito para decidir). Esta evidencia seguro puede provocar que más de uno se rasgue las vestiduras un tanto por ignorancia o por mala praxis del entendimiento.
Recordemos que, en 1760, los “Tres golpes distintos”, B se comunica al aprendiz, y J al compañero (práctica de los Antiguos del que bebió el REAA).

Ciertamente, las fiestas de solsticio masónico son significativas debido al simbolismo solsticial de las dos columnas, pero en realidad llegaron tarde y tienen una historia que debe conocerse; de ​​lo contrario, está expuesto a cometer un contrasentido. En el siglo XVII, las logias escocesas recibían aprendices el día de "San Juan" de invierno, el 27 de diciembre. Luego, en 1717, la incipiente Gran Logia de Londres eligió a su gran maestro el día de San Juan Bautista el 24 de junio. Pero cada uno de estos dos eventos, que, además, NO tienen RELACIÓN entre ellos, no tenían la intención de celebrar los solsticios simbolizados por las dos columnas: obedecían exclusivamente a su piedad religiosa sin ninguna implicación esotérica: los calvinistas escoceses por la elección de San Juan Apóstol, y los anglicanos y otras confesiones de la Gran Logia de Londres por la elección de San Juan Bautista (no hay una implicación hermética en la tradición de la Palabra del Masón).  
Se ha pretendido etiquetar que los llamados ritos "modernos" son de naturaleza estelar (J en el Norte, segundo vigilante en el Norte). J no era estelar a priori sino solar: solsticio de verano (es solo la analogía tradicional entre la salida del sol en el día del solsticio de verano hasta el mediodía zenital y la elevación del eje Polar que permite por extensión conectar a Jakin al cielo nocturno).
La invención del sistema hermético, metafísico y militar bajo la influencia cultivada de los caballeros de Saint-Lazare y Saint-André inoculado en las logias tiene su origen en el pensamiento de Ramsay, que sigue siendo para algunos la vergüenza de la masonería porque ni siquiera se dio cuenta de que al tomar literalmente la burla de Jonathan Swift en la ficción de los caballeros masones de la logia de San Juan de Jerusalén en su Lettre de la Grande Maîtresse des Franc-maçonnes, à M. Harding, imprimeur de 1724 fue totalmente engañado. Ante la consideración de que los miembros de estas dos órdenes caballerescas presentes en logia fueron reconocidos como "Maestros escoceses" cabe señalar que al alto grado de "Maestro escocés" no era de origen escocés sino francés, aunque esta actitud cuanto menos que cómica de Ramsay hizo que se atreviera a unir la masonería a una caballería establecida en Escocia en Kilwinning sin darse cuenta de que su fuente, Swift, era burlesca porque Kilwinning no tuvo una participación católica caballeresca: era una logia presbiteriana calvinista que fundó la Palabra de Mason. Mucho se ha discutido al respecto, pero aún estamos esperando a que nos expliquen eso de “rito estuardista” del que hasta el momento no aparecen fuentes sólidas ni fundamentadas.

Para finalizar, y volviendo a las Columnas, creo que es necesario recomendar, respecto al elemento bíblico descriptivo el que nunca podemos trabajar con traducciones porque son falsas. Así, el texto hebreo especifica en I Reyes 7,39 y II Cr. 4.10 que el mar de bronce era yemanit ("a la derecha") qedemah ("en frente" al "Oulam) mimoul negev ("orientado al sur" o si se prefiere "frente al sur" y, por lo tanto, al norte y más precisamente al noreste, ya que Ulam representa el este, el oeste está representado por Devir).
Cuando estamos frente a la fachada del templo, lo que percibíamos delante del Ulam, era un mar de bronce a la derecha (muy cerca de la columna J al noreste) delante del Ulam (es decir, delante y al lado de la columna J del Ulam) que mira hacia el sureste, es decir, que está muy precisamente al noreste.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro de Honor del Grande Oriente Lusitano
Miembro de Honor del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado

Primer document maçònic conegut d’establiment a nivell dels Països Catalans de les Filles i dels Fills de la Viuda

El 19 de juliol de 1849 es redactà a l’Or.·. de Perpinyà (Rosselló, comtat de Rosselló) el primer document conegut sobre l’establiment de la Francmaçoneria Universal a nivell dels Països Catalans. Es tracta d’una Planxa, molt ben conservada i escrita en llengua francesa, que envia –per raons de seguretat– des de l’Or.·. de Perpinyà la barcelonina Resp.·, Lògia Triomphe de l’Amitié (títol distintiu en llengua francesa), i que assegura treballar en el Ritu Francès (*), al Gran Mestre i als Il·lustres GG.·. membres del Gran Orient de França (G.·.O.·.D.·.F.·.).

Traducció al català de la Planxa, que es conserva procedent del G.·.O.·.D.·.F.·. a la Biblioteca Nacional, a l’Or.·. de París (Illa de França), que van localitzar Patricia Ramon-Badie i Jacques Mongay, i que publiquen a la seva obra DEUX SIÈCLES DE MAÇONNERIE EN ROUSSILLON (1744-1945), pàgines 254-259 [Les Presses Litteraires, Sant Esteve del Monestir (4art trimestre de 2003)]:

“A les Valls de Perpinyà. 19è dia del 5è mes de l’any de la V.·. Ll.·. 5849 (**)

A la Glòria del G.·. A.·. D.·. L’U.·.

Els GG.·. espanyols que composen la Lògia i el seu Capítol (***) sota el títol distintiu de Triomphe de l’Amitié, Orient de Barcelona, Espanya, al Gran Mestre i als Il·lustres GG.·. membres del Gran Orient de França.

Salut, Salut, Salut

Molt Il·lustres Germans.

El Venerable i els GG.·. de la Lògia Triomphe de l’Amitié, Orient de Barcelona, òrgan de tots el maçons repartits en el sòl de l’antiga Corona d’Aragó, Espanya Oriental, es dirigeix a favor de la petició següent: té el plaer de comunicar l’acord de la Lògia Triomphe de l’Amitié, Orient de Barcelona, de tenir dret a crear Lògies a Espanya en el Ritu Francès. Totes les Lògies a crear i ella la primera, dependran del Gran Orient de França car elles seran lliurades per la Lògia Mare de Barcelona. La nostra Lògia serà com una sucursal del Gran Orient de França. Tot seguit exposem les condicions pel do gratuït i quins són el motius que ens han portat a actuar d’aquesta manera. El preu per a la creació d’una Lògia, preu que ens fareu conèixer, es dividirà en dues parts iguals: una anirà al Gran Orient de França i l’altra a la Lògia Mare de Barcelona. Ella haurà de servir per pagar les despeses d’organitzar, d’impremta i de buró. Si no accepteu aquestes condicions, nosaltres no podrem avançar en la nostra tasca tenint en compte que els Mestres espanyols ara per ara no poden fer gran sacrificis. Les Lògies hauran imposar-se una doble despesa, que no poden efectuar, cosa que allunya els maçons [dels profans] i per això, la Maçoneria no se’n sortirà. A Espanya també cal una Lògia que moderi a fi de dirigir i corregir aquelles que es desviessin de la veritable regla.

En segon lloc, les dificultats que imposa la frontera són immenses. Seria molt perillós per a nosaltres si s’apoderessin d’articles referents a la Maçoneria. Hi hauria una molt major dificultat si aquests articles provinents de París fossin enviats cada una de les Lògies d’Espanya, especialment si aquests articles o constitucions o cartes capitulars anessin acompanyats de contrasenyes i segells. Si responeu favorablement a la nostra petició questa dificultat s’aixecarà. El nucli es trobarà a Espanya, no hi haurà altra Lògia Mare que no sigui aquesta com a corresponent amb les demés i solament amb el Gran Orient [de França]. Per la intermediària de St. Jean de les Arts, a Perpinyà, podríem rebre la paraula anyal i la paraula semestral si ho autoritzeu. Heu de ser conscients de les precaucions que ens cal adoptar. Volem estendre la Maçoneria sense fer soroll. Volem que sapigueu de l’existència de diverses Lògies o almenys que deixeu d’ignorar que existeixen. Ens agradaria no haver d’utilitzar noms de guerra o simbòlics o al·legòrics a que ens veiem obligats a fi de despistar els nostres enemics. Ens agradaria poder adoptar algunes modificacions que puguin exigir les circumstàncies, en definitiva, ens agradaria poder exercir la Maçoneria com es practica a França. Fins al dia d’avui la nostra Lògia ha treballat bonament i no s’ha hagut de patir una dura repressió de part del Govern. Comptem amb 38 anys d’existència (****) sense cap interrupció. Solament la manca de comunicació amb el Gran Orient de França es produí quan es va perdre la protecció de l’Exèrcit francès tenint per aquesta raó encara a París les nostres Cartes Capitulars que reclamem presentant el pagament de la suma exigida. No s’ha mantingut, en cap moment, relacions amb Lògies anomenades bastardes i mai s’ha traït [al Gran Orient de França]. S’ha tingut més sort que els GG.·. de Granada. Set Germans que feien una recepció foren penjats i el que fou rebut va ser condemnat a galeres. Fou en 1825 quan aquests GG.·. patiren el martiri, quan ja no hi havia tropes franceses. Encara que no vàrem poder rebre les Cartes Capitulars, el Capítol s’organitzà i es constituí en instància per actuar regularment. Es segueix servint-nos de l’autorització de donar les Constitucions acordada pel S.·.C.·. de Saint Jean des Arts de la Régularité, a l’Orient de Perpinyà, datada en el 25è dia del 10è mes de l’any 1811, la qual havia estat concedida amb el número 6480 pel Gran Orient de França i que havia estat signada pel Gran Mestre i el seu representant, amb data del 13er dia de l’any 5811 (*****) de la V.·. Ll.·., i visada per la Lògia Simbòlica, la Lògia d’Administració General i el G.·. C.·. federal. Uns demanem que ens digueu la quantitat que cal pagar per poder retirar les Cartes Capitulars al mateix temps que ens feu conèixer la resposta a la nostra petició.

Ens calen per que el nostres treballs siguin regulars les Cartes Capitulars que es troben en les caixes el Gran Orient de França. Com comprendreu nosaltres volem estar més íntimament vinculats al Gran Orient de França ja que de cap manera volen constituir un Orient al marge. Volem gaudir de la Força i la Llum d’aquest a fi de poder comunicar-nos sense fer corre cap perill un nombre indeterminat dels nostres conciutadans.

Tenim tota la confiança en que la nostra petició sigui ben acollida per la vostra part i d’aquesta manera treure’ns de molts anys de patiments i persecucions. S’han defensat en moltes ocasions a Espanya els principis de la Maçoneria tot exposant les nostres vides i sacrificant el nostre benestar i les nostres fortunes. Així, ara que estem tàcitament tolerats ja que ignoren els nostres treballs, cosa que no ens molesta, ens cal propagar els nostres principis i d’aqueta manera reprendre la Llum el més ràpid possible.

Esprem que contestareu el més aviat possible. En el cas de ser favorable, ens fareu oblidar trenta vuit anys de patiments.

Fem sentir els nostres sentiments fraternals i rebeu les nostres salutacions.

EP.·.L.·.N.·.M.·.A.·.V.·.C.·.

Signat: el Gà.·. Venerable Thomas Bertrand Soler, Cavaller del Temple.”

Tot seguit hi ha diverses signatures amb la referència “recomanat amb el prec pel Sant Capítol de Saint-Jean des Arts et de la Régularité, Orient de Perpinyà”, amb encara cinc firmants més, un segell en cera, dos segells entrecreuats i un text en castellà.

La carta és adreçada a M. Emmanuel Pagès, Institutor Orador del Capítol de Perpinyà.

Es desconeix la resposta del Gran Orient de França.

Sabem que a L’Or.·. de la vila de Gràcia entre 1847 i 1848 començà a treballar la Resp.·. Lògia La Sagesse del Gran Orient de França. Aquest Resp.·. Taller treballà fins el 31 de maig de 1853 (******), quan la policia va arrestar el seu V.·. M.·., Vaillant, i dos GG.·. més d’aquest, segons les anotacions personals [Revista Masónica Americana, any 1er, número 2, 30 de novembre de 1872] del Gà.·. José Victory (1810-1878), que fugí de Catalunya perseguit com a maçó l’abril de 1853. Exiliat a Uruguai cofundà la Resp.·. Lògia La Verdadera Iniciación. Després a Buenos Aires (Argentina) fundà una impremta on la que publicà diversos periòdics. Arran de la revolució de juliol de 1854 tornà a la Península i el seu fill José Victory Suárez continuà en l’impremta, editant, sobretot, la Revista Masónica Americana (1872-1875). Activista socialista formà part de la Primera Internacional (AIT). Deixà testimoni escrit de l’onada policial de detencions de GG.·. l’any 1853, a part dels tres GG.·. de la Resp.·. Lògia La Sagesse explica que el18 de abril la policia va arrestar tretze GG.·. de la Resp.·. Lògia San Juan de España, a l’Orient de Gràcia, anotant que el seu president era francès, Eybert. Dies després, les detencions de tretze GG.·. a l’Or.·. de  Barcelona, la majoria membres de la Resp.·. Lògia San Juan de España i els altres de la Resp.·. Lògia Peninsular, a l’Or.·. de Barcelona. El mateix 18 d’abril la policia intenta detenir prop de Barcelona el Gà.·. José Victory, V.·. M.·. d’Honor de la Resp.·. Lògia Amigos de la Naturaleza y de la Humanidad, a l’Or.·. de Xixón (Astúries). El seu domicili es registrat però aquest Gà.·. s’exilià a Marsella (Boques del Roine, Provença-Aups-Còsta d’Azur, Occitània), on embarcà cap Amèrica. Dies després es refugiaren al Rosselló onze GG.·. membres de la Resp.·. Lògia La Sagesse, a l’abric dels GG.·. de les Resp.·. Lògies a l’Or.·. de Perpinyà, però como eren ciutadans francesos, al cap d’uns dies el cònsol francès a Barcelona va aconseguí de les autoritats espanyoles un permís per tornar al Principat de Catalunya i quedar lliures de persecució. El 27 de juny la Comissió Militar dictà sentència i el Gà.·. Eybert condemnat a 7 anys de presó major i dotze GG.·. més de la Resp.·. Lògia  San Juan de España a 4 anys de pressó menor. Els altres processats foren alliberats. Aquests tretze GG.·. foren ingressats a la presó de Sant Pere, a Barcelona, el 8 de juliol d’aquell any. El 15 d’agost, la reina Isabel II indultà els GG.·. francesos a petició de l’emperador Napoleó III. A principis de maig a l’Or.·. Xixón hava estat arrestat l’anterior V.·. M.·. de la Resp.·. Lògia Amigos de la Naturaleza y de la Humanidad, Joaquín Cabrera, quedant a disposició del tribunal de Xixón i es va obrir un sumari en rebel·lia, per ésser fugitiu, José Victory. El nou V.·.M.·. Sellier fou condemnat i més endavant indultat, por ser ciutadà francès, como els de Gràcia. El Tribunal Superior d’Oviedu (Astúries) el 5 de desembre d’aquell any condemnà a 9 anys de presió major als GG.·. Victory (en rebel·lia) i Cabrera, per haver presidit societats secretes (maçòniques), prohibides en el Codi Civil del Regne d’Espanya. El Gà.·. Cabrera fou indultat aviat i arran de la revolució de juliol de 1854 la condemna del Gà.·. Victory quedà sense efecte.

Gran Lògia de Pirene

Unió Macònica Universal del Ritu Modern

Notes:

(*)  El Ritu Francès (R.·. F.·.) va ser fundat a França en 1786.

(**) Comptant l’Any Maçònic a partir del mes de març de 1849, la data correspon al dia 19 de juliol d’any de l’era vulgar.

L’any 1 del Calendari Maçònic és l’Any de la Veritable Llum – Anno Lucis en llatí. Marca el començament de l’Era de la Veritable Llum (V.·.Ll.·.). La fixació d’aquesta data seria deguda a James Ussher, prelat anglicà nascut el 1580 a Dublín (Irlanda) que emprava una cronologia considerada de començar amb la creació del món segons la Gènesi, estimada en 4.000 anys abans de J.C. Pensava així fundar una escala de temps absoluta. Aqueta cronologia científicament, des de l’arqueologia, correspon als inicis del megalitisme en el que s’anomena neolític mitjà original a Catalunya, com, per exemple, la cista d’inhumació excavada recentment a Vilanera (Empúries, l’Escala, Parc Natural del Montgrí, Baix Ter i Illes Medes, Alt Empordà, comtat d’Empúries), construïda segons el Carbó 14 fa 6.200 anys, marcant els inicis de l’arquitectura en bastiment de pedra, cosa que fa pensar que la V.·. Ll.·. correspon al temps de la creació de l’edificació amb pedra. D’aquesta manera l’Arquitecte de l’Univers seria l’existència de la pròpia arquitectura neolítica en pedra i amb mestres d’obra, companys paletes i aprenents de l’ofici.

El pastor presbiterià Gà.·. James Anderson i el Gà.·. Jean Théophile Désaguliers el van preconitzar a les seves Constitucions de la moderna Maçoneria Especulativa en 1723 per afirmar simbòlicament la Universalitat de la Francmaçoneria adoptant una cronologia suposada independent dels particularismes religiosos.

L’Any Maçònic té la mateixa longitud que l’any gregorià però comença l’1 de març. Pren aleshores l’anyada d’aquest, augmentat en 4000 i els mesos no són designats més que pel seu nombre ordinal.

(***) Es refereix al Capítol del Sobirà Príncep Rosa-creu (18è Grau del Ritu Escocès Antic i Acceptat (R.·. E.·. A.·. A.·.) o el 7è Grau del Ritu Francès (R.·. F.·.). 

(****) Resp.·. Lògia creada a l’Or.·. de Barcelona durant el bonapartisme, el 25 de desembre de 1811, sota els auspicis del Gran Orient de França (G.·.O.·.D.·.F.·.) i amb el número 6480, que amb el retorn dels Borbons passà a la clandestinitat.

(*****) Dia 13 de març de 1811. L’autorització fou enviada a la Resp.·. Lògia Saint Jean des Arts et de la Régularité, a l’Orient de Perpinyà, creada el dia 17 de març 1766, la qual va ser la Lògia Mare de la Resp.·. Lògia Triomphe de l’Amitié, a l’Or.·. de Barcelona. 

(******) Aquest Resp.·. Taller es va refer en 1871, seguint en el G.·.O.·.D.·.F.·., i es va dissoldre entre 1892 i 1893. Tornà a treballar en 1924 i fins a finals de 1938, aquesta vegada en la Gran Lògia Espanyola (G.·.L.·.E.·.), amb el número 10. Mentre al segle XIX la majoria dels seus GG.·. eren ciutadans francesos, al segle XX eren GG.·. del país. No sobrevisqué al franquisme.   

(*******) Gràcies a un Gà.·. alt càrrec en la Comissió Militar que entenia la causa, el Gà.·. José Victory, Cav.·. Kad.·. (Cavaller Kadosch, grau 30è del Ritu Escocès Antic i Acceptat, R.·.E.·.A.·.A.·.) ex va poder exiliar. Entre 1872 i 1873 fou elegit V.·. M.·. de la Resp.·. Lògia Verdadera Iniciación, a l’Or.·. de Barcelona, del Gran Oriente del Uruguay [Revista Masónica Americana, any 1er, número 10, 31 de març de 1873].

EL ESCOCISMO Y LAS ORDENES DE SABIDURÍA. UNA APROXIMACIÓN


             EL
ESCOCISMO Y LAS ORDENES DE SABIDURÍA. UNA APROXIMACIÓN

Como parte de mi trabajo sobre el origen y desarrollo de las Ordenes de Sabiduría del llamado Rito Moderno o Francés, he tenido que entrar en el fondo ritual que aporta el Arca de la Vª Orden que nos ofrece la oportunidad de examinar 81 rituales correspondientes  a otros grados de muy diversa concepción místico- ritual y practicados por distintos organismos y personalidades del mundo masónico del siglo XVIII de Francia.

En esa inmersión para explicar las Ordenes de Sabiduría, partiendo de la premisa de que en siglo XVIII hubo dos masonerías, una simbólica, que conocemos con bastante profundidad y que se desarrolló en medio de un amplio conjunto de logias que identificamos y podemos describir hasta los arquetipos simbólicos y rituales que utilizaron para desarrollar sus metas, en cambio tenemos una Alta Masonería, circunscrita a alta élite masónica escondida bajo el manto del escocismo, que no se deja fácilmente domeñar para comprender sus oscuros orígenes y desarrollos, así como sus metas.. de lo estudiado hasta ahora quedan dos cosas claras su defensa de la religión y su militancia jacobita.

El trabajo no ha hecho nada más que empezar, y de esos primeros comienzos esta reflexión.

Sobre el llamado escocismo del siglo XVIII.

Al adentrarnos en el tema, lo primero que se nos salta a la cabeza es la ligazón del término escocismo con Escocia, pero no, los llamados sistemas escocistas nada o poco tienen que ver con dicho país, sino más bien con Francia donde la presencia de masones estuardistas escoceses refugiados en dichas tierras fue más que notoria durante la segunda mitad del siglo XVII, lo cual fue increscendo al exilarse por completo la dinastía estuardista con Jacobo II a la cabeza.

Además, en una en Gran Bretaña, donde la lucha político-religiosa entre protestantes del partido Hannover, en el poder desde 1688, y católicos escoceses del partido Stuart, fueron un hecho, y no menor fue su empeño en hacerse por la fuerza de las armas con el gobierno de Inglaterra. Por no hablar de la presencia e influencia en todo este embrollo tanto de irlandeses como de los propios escoceses, aunque estos último tuvieran menos pito que tocar.

En este contexto no se puede obviar la omnipresencia de un agente de la diplomacia secreta de los Estuardos en el exilio, como es la figura del caballero Ramsay,[1] al cual la historiografía masónica ha señalado como punto de partida de la autodenominada corriente escocista que fue tomando impulso a partir de la publicación de sus Discursos en 1736 dictados por el propio Ramsay ante una asamblea de la Gran Logia de Francia, y cuya filosofía puede encontrase también en su novela Les voyages de Cirus.[2]


No deja de ser curiosa y hasta paradójica la cuestión, puesto que pese a su profusión y uso, este estado de la cuestión no parece preocupar a casi nadie, dado que, consultados distintos diccionarios y enciclopedias buscando la explicación a ese fonema al menos desde la vertiente filológica o historicista, pues resulta que existe poca inclinación a dar cabal explicación a cerca de su significado, y máxime cuando resulta un término cuando menos controvertido, y que algunos autores han despachado de un plumazo argumentando que se trata simplemente de un «sistema de grados de los Altos Grados».

Ya lo había comentado en su momento Paul Valéry «las palabras pierden su sentido y su mesura, al igual que aumentan su valor».

Y por eso, otros autores cuando intenta explicar la cuestión rápidamente la anexionan al Rito Escocés Antiguo y Aceptado (REAA), y de ello tenemos un claro ejemplo en la página web del Vocabulario Masónico, del Museo Virtual de la Historia de la Masonería, donde se expone sin ambages, que se trata de la «Francmasonería de los Altos Grados inspirada en la tradición caballeresca».

Pero incluso algunas estructuras masónicas alineadas bajo la bandería de sello escocista se quedan tan anchas con explicaciones de esta naturaleza: «el Escocismo es una filosofía práctica, o al menos practicable. En consecuencia, cabría referirse a nuestro Rito como una filosofía-social positivizable, antecedente histórico de las llamadas ciencias sociales, que supera y trasciende a las viejas dicotomías escolásticas».[3]

No debiera sorprendernos estas cuestiones pues lo exponía no hace mucho el historiador especialista en dicho período, André Kervella: «El término Escocia es un hecho y cuyo término es omnipresente en la Masonería, está en el nombre de sus rituales (Rito Escocés Antiguo y Aceptado, Rito Escocés Rectificado) y también en muchos de sus grados (Maestro Escocés, etc., pero los masones nunca han tenido claro los orígenes y las características de esta cepa del siglo XVIII, y claro ¿Sí no sabes de dónde vienes, ¡es difícil definir quién eres!?


En el famoso diccionario de Daniel Ligou, este expone que es «una de las llaves de la masonería y también una de las más oscuras…El escocismo corresponde a la profusión de grados masónicos llamados Superiores a los tres grados simbólicos…». También en el formato televisivo se puede oír y ver a notorios escocistas como André Kervella, Robert Kalbach los cuales hacen patentes sus opiniones.[4]

La Wikipedia, en este caso, la francesa, expone que el término escocismo «designa la práctica de los diversos Altos Grados masónicos que aparecieron en la masonería francesa mediados del siglo XVIII, y será en 1743, trece años después de la aparición del Prichard, y que venía a condenar por parte de la primera Gran Logia de Francia cuando se teste la primera mención de tal apelativo al reprender un cierto esnobismo, en tanto que Habiendo aprendido recientemente que algunos hermanos se presentan bajo el título de Maestro Escocés y reclaman, en ciertas logias, derechos y privilegios...» unos años más tarde lorecoge la divulgación L'ordre des francs-maçons trahi».

Irene Mainguy reseña que autores como Piovesan o Donzac, prefieren utilizar otras acepciones para poder hablar sin limitaciones ni trampas, sobre rituales y sistemas de nuevo cuño.

De esa misma opinión es Pierre Mollier, otro notorio masón que expone ante el término Ecossais, lo siguiente «A este término se le atribuyen en la masonería múltiples acepciones, pero siempre bajo un halo de prestigio y misterio. Los masones incluso acuñaron el igualmente esquivo neologismo "escocés" cuando se intenta encajarlo en una definición más precisa. Primero debemos olvidar el sentido común: de Escocia. El calificativo escocés aplicado a ciertos grados o ritos masónicos no implica directamente un origen geográfico. A menudo se ha dicho, con alguna razón, que las filas "escocesas" eran típicamente francesas. Para tratar de captar lo que engloba el término escocés en la masonería, primero es necesario recordar los sucesivos significados que la palabra pudo haber tenido en las logias.


Cronológicamente, Escossais es ante todo el nombre de uno de los más antiguos Altos Grados de la masonería. «Será en París, el 11 de diciembre de 1743, donde encontremos la primera evidencia de la existencia de la palabra. La Gran Logia de Francia advierte a los hermanos contra lo que le parece una novedad: Habiendo sabido recientemente que algunos hermanos se presentan bajo el título de maestro escocés y reclaman, en ciertas logias, derechos y privilegios...».

En 1744, en la divulgación L' Ordre des Francs-Maçons Trahi..., el Abbé Pérau confió: «No ignoro que hay un vago rumor entre los francmasones, acerca de cierta orden que ellos llaman los escoceses, superior a lo que se pretende, a los masones ordinarios y que tienen sus ceremonias y sus secretos aparte». Parece haber habido desde el principio, varias escuelas en cuanto a las ceremonias y secretos particulares de los escoceses.

Así, en París, el misterioso grado del Abbé Pérau, y quien inicialmente fue condenado por la Gran Logia de Francia en 1743 es, con toda probabilidad, el que conocemos con el nombre de Escocés de los 3 JJJ, todavía llamado Ecossais de París o Ecossais de Clermont.

Serie que parece haber practicado originalmente otro tipo de grado escocés llamado " de la Voute", ya desde muy temprano presentado como Masonería de Perfección, este "Ecossais de Perfection", versión francesa del Royal-Arch británico, retoma un tema clásico del esoterismo judeocristiano. Revela la existencia de una palabra perdida, el verdadero nombre de Dios, preciosamente conservado en una bóveda secreta escondida bajo el Templo de Salomón.

Estos grados de escocistas siempre han tenido gran importancia en la masonería de los Altos Grados.

Por extensión, desde mediados del siglo XVIII, los términos escocés o escocismo se convierten en sinónimos de altos grados, independientemente del sistema en cuestión. Este significado es probablemente el más legítimo, en todo caso el más lógico. A principios del siglo XIX, cuando el Gran Capítulo General de Francia, establecido como cámara suprema del Rito Francés, debía enfrentarse a la idoneidad de un nuevo Rito que se llamaría "escocés", y reivindicaría a gritos su "escocismo" y su perfecta regularidad escocesa.

Tal vez basada esa reivindicación en los antiguos grados post-magistrales, estricto sensu, cuya presencia se denota ya en 1730 con las primeras trazas de los «Scott Máster», de los cuales ya se habla en Londres al referirse a un a tenida de los Scott Master Lodge «En 1735, en Bath (Somerset), en Bear Inn, doce hermanos fueron nombrados como tal por la Logia No. 113. En 1736, todavía en Londres, en el Covent Garden, se informó de una recepción en la logia francesa de St George of Observance. nº 49. En 1740 se menciona en Londres a los Maestros Escoceses (Lodge of Antiquity) antigua logia Goose and Gridiron , luego No. 1 , luego No. 2 ), en Bristol y Salisbury».[5]

Toda esa molienda, no quepa la menor duda, que viajó al Continente, aunque nos queda por definir las vías por las cuales llegó a Francia, tal vez una buena parte llegara en los petates de los masones jacobitas exiliados en Francia,


Aunque no es menos cierto que esa presencia «escocesa» se deja notar en incipientes creaciones ex novo que se fueron dando a lo largo del territorio francés, como la Logia Escocesa de Berlín (1742), y en esos extraños condominios empezaron hacer su aparición extraños grados como el llamado Caballero de la Orden de San Andrés o Caballero Escocés, de esta manera se pueden seguir las diversas huellas de ese «escocismo», por ejemplo cuando el clérigo Gabriel Louis Pérau en la divulgación de 1743: L’ordre des francs-maçons trahi expone: «Soy consciente de que hay un vago rumor entre los francmasones acerca de cierta orden a la que llaman los escoceses, superior a lo que se dice que son los francmasones ordinarios, y que tienen sus ceremonias y sus secretos aparte », y como tal terminará institucionalizándose un sistema en cuatro grados, tras la maestría: Maestro Perfecto, Maestro Irlandés, Maestro Elegido y Maestro Escocés.

Entre 1745 y 1750 en tierras francesa empieza a ser conocida la presencia de diversas estructuras masónicas que aglutinan diversos desarrollos escoceses, por ejemplo, se tiene noticias de una logia escocesa en Toulouse, que se cree practicaba el grado Escocés de las JJJ 1760.

Luego tenemos en Marsella un cuerpo masónico llamado la Mère Loge Ecossaise. Esta denominación manifiesta la legitimidad que reclama la Logia Madre para todos los grados incluidos los Altos Grados, de la cual se tiene noticia que practicaba un sistema de siete de los grados más clásicos: Aprendiz, Compañero, Maestro, Maestro Perfecto, Elegido, Escocés y Caballero de Oriente.


La Logia Madre Escocesa de Lyon de 1746, la Perfecta Logia Escocesa de Marsella (1749) La Gran Logia Escocesa de Rouen (1750), la Logia Concordia Escocesa de Tours (1745) la logia los Fieles Escoceses de Toulouse (1747) y ya en 1750 se registra la existencia de una logia de Escoceses Trinitarios que solicitan incorporarse a los trabajos de la Gran Logia Madre Escocesa de Burdeos. Algunas de estas grandes Logias Madre, tuvieron un importante grado de influencia en sus lugares de origen, tanto en lo masónico como en lo social, e incluso algunas de ellas contaron con el plus de la proyección de sus quehaceres masónicos por media Francia, incluida la capital parisina

A principios del siglo XIX, la corriente masónica liderada por las Logias Madre Escocesas se fue fusionando, con mejor o peor suerte, con el Rito Antiguo Aceptado, o sea se fusionó con la versión francesa de la Masonería de los Antiguos en su arribada desde las Antillas y los Estados Unidos, sobre manera a través de la molienda de los masones provenientes de Santo Domingo.


Los usos "escocés" y "Antiguo y Aceptado" se fusionaron finalmente en un nuevo rito que dio como resultado en cuanto a la publicación de textos denominado: Guide des Maçons Éscossais.

Texto de referencia para los grados simbólicos de esta nueva implantación: Rito Escocés Antiguo Aceptado, por lo cual, poco a poco el término escocés pasó a confirmarse como el Rito Escocés Antiguo Aceptado, ya fuera en relación con la masonería simbólica o a los grados superiores.

Sin embargo, el significado de la palabra es puramente francés, ya que en la mayoría de los países el antiguo Rito Escocés Antiguo y Aceptado ha permanecido como era originalmente, es decir, exclusivamente como un sistema de Altos Grados.

Al final de esta breve reseña histórica, cabe preguntarse si no sería adecuado reservar el término “escocismo” para la masonería de los Altos Grados, independientemente del sistema de que se trate: Rito Escocés Antiguo y Aceptado, Rito Escocés Rectificado o el Rito Francés en los referido a las Órdenes de Sabiduría.

Quedan aún muchas dudas sobre el origen del término escocismo, y por tanto queda por hacer la siguiente pregunta acerca del por qué los primeros masones especulativos en la década de 1730 bautizaron el grado terminal donde se revelaron los más altos secretos de la Orden. ¿De Maestra Escocesa?

Tal vez la huella de Scot Masters en algunas logias inglesas pueda ser la explicación cabal a esa razonable duda, hasta es más que probable que estos fueran conscientes del papel esencial de la masonería operativa escocesa en la formación de la francmasonería especulativa moderna.

Aunque hoy los «usos masónicos "escoceses" ya no tienen nada que ver con Escocia, no fue lo mismo en los inicios de la masonería especulativa donde este calificativo honraba el origen geográfico -muy real- de los más profundos misterios de la Orden».[6]

A la vista de lo leído, y las notables ausencias en los que respecta a este término, se puede decir que el tema es como dice la misma Irene Mainguy ¡Irresoluble ¡

Por tanto, debemos conformarnos con lo que tenemos, e incluso con lo que intuimos y seguir avanzando en el estudio de todo este material que tenemos por delante, sin que tengamos muy clara y nítida una definición sobre dicho fonema en lo que respecta a sus distintas vertientes filológica o filosófica.

Víctor Guerra. Vª Orden, 9º Grado del Rito Moderno o Francés

M.·. I.·.

Muy Venerable de la R.·. Logia de Investigación “los Modernos”

Presidente del Círculo de Estudios del Rito Moderno y Francés Roëttiers de Montaleau

Miembro de la Academia Internacional de la V Orden del Rito Moderno - UMURM


[1] Kervella, André. Le Chevalier Ramsay. Une fierte écossaise. Edicions Vega. 2009.

[2] Ramsay, Andrew-Michael. Les voyages de Cyrus avec un discours sur la mythologie. Éditions Honoré Champion. 2002.

[3] Supremo Consejo del Grado 33 y último del REAA para España.

[4] https://www.baglis.tv/ame/initiations/109-qu-est-ce-que-l-ecossisme-1-2.html.

[5] Hiver-Messeca, Ives. Les premiers pas des Hauts Gradés en France (1735/1745) La Fabrique de la Franc-maçonnerie Française. Histoire, sociabilité et rituels, 1725-1750. Éditions Dervy. 2017. Pág.289-308.

[6] Entrada del término escocismo publicada por Pierre Mollier en el trabajo Eric Saunier. Enciclopèdie de la Franc-Maçonnerie Éditions Le Livre de Poche. 1999. Pág. 234-235.