Introducción de "Senda de las Luces Masónicas" (New-York, 1821) del IPH Joseph Cerneau: idéntico encabezamiento del Prefacio del "Régulateur du Maçon" (edición impresa de 1801)

Introducción de "Senda de las Luces Masónicas" (New-York, 1821) del IPH Joseph Cerneau: idéntico encabezamiento del Prefacio del "Régulateur du Maçon" (edición impresa de 1801).

Además el análisis del libro muestra claramente la práctica e instrucciones de los grados simbólicos propios del Rito Francés o Moderno.

Es del todo imprescindible el estudio pormenorizado de los materiales que se dieron en uno y otro continente contrastando sus contenidos filosóficos, rituales, simbólicos y masónológicos organizativos conducentes a unos resultados auténticos fundamentados por un estudio académico serio y racional, con una metodología científica que nos libere de falsas conclusiones fundamentadas en el error y en la mentira, en ocasiones, ignorante o programada.

Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9 y Último del Rito Moderno o Francés, 33º R.E.A.A.
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la V Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Rite de Cerneau et Rite Écosais Ancien et Accepté)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección
Masonólogo

Croire ou respecter: un debat sur la perenité de nos rites et symboles

Réflexions en marge des travaux du Conseil du S. Chapitre «La Rose-Croix du Léman» de Genève le 30 mai 2024 et de la rencontre à Bruxelles avec le S. Chapitre     « Les Chevaliers de la Lumière » de Mons le 15 juin 2024



On est parti dans nos vallées d’une question concrète « Que faire avec la devise VAM, le décor poignard, le choix « vengeance ou justice » dans l’interprétation du rituel du Ier (Élu secret) des Hauts Grades du RF Moderne ? »  

Une étude de départ sur l’histoire des décors et devises du Ier Gr :. Du RFM, par le F:. Jean van Win [i], a occasionné un riche échange de vues, expériences et considérations, dans nos travaux à Genève et au Conseil commun avec nos FF et SS de Mons, à Bruxelles au mois de juin. Au fil des échanges, la recherche c’est enrichie d’un apport substantiel d’expériences personnelles des participants et des analyses de notre TS :. (et S:.G:.C:.) Fabrizio. Une péripétie passionnante, parsemée de questions plutôt que de réponses : 

Ces échanges nous ont porté vers des réflexions plus profondes pour l’étude des rituels et l’interprétation de nos symboles, en incluant leur pérennité historique.

Bien entendu, notre travail ne se donne pas autorité de délibérer ou décréter ce qu'on doit penser ou croire, nous nous devons plutôt de mieux comprendre ce nous exprimons dans nos rituels.

L'homme libre sait ce qu'il fait et fait ce qu'il sait.

*

L’étude du document cité, signe par le F:. Jean van Win, concernant la bien connue devise du Premier Ordre de Sagesse et le rappel historique du rituel résumé par le TSPM ont occasionné un plein d’échanges et d’interrogations, dans les deux assemblées. Nous retenons une brève synthèse des pensées et des questions susceptibles d’intéresser et de continuer la réflexion des Chapitres suisse et belge du Suprême Conseil du Rite Moderne pour la Suisse :

Il s’agit du mythe fondateur : après le meurtre de Maître Hiram par trois mauvais compagnons, le légendaire Roi Salomon envoie des Maîtres Maçons pour attraper les coupables et punir le crime à la manière de l’époque biblique. Les participants aux Conseils des Élus ont suivi les évolutions du rituel du Ier Ordre du RFM en fonction des temps historiques, mais aussi les nombreuses adaptations de la vengeance qu’ils ont observé dans les LL et les Obédiences où ils ont poursuivi leur « carrière » maçonnique. On en a cherché les raisons ; il est saillant de voir comment les textes d’origine ont été altérés en fonction de l’air des temps et des préférences locales des Grandes Loges, Grands Orients et Loges particulières[ii].

En notre époque les questionnements sont nombreux : Un rituel de justice, mais poignard en main pour toujours ? Il y a peut-être un temps pour toute chose, mais heureusement notre époque n’est pas ce temps-là. On observe que la vengeance cruelle (qui devrait peut-être susciter notre horreur de la violence ?) a été ajustée successivement en justice divine par « le maître des batailles », ensuite en suicide des mauvais compagnons épargnant le sang sur les mains des justiciers. Le sens a été finalement sublimé en lutte personnelle des maçons contre leurs propres mauvaises pulsions de violence. Nous avons longuement discuté les sens du mot Justice. La justice primitive « œil pour œil » des temps bibliques (elle-même un progrès de proportionnalité pour son temps historique) a été convertie en adoption de la justice autorisée des lois et des punitions institutionnalisées, règlementées et impersonnelles ; punir oui, sans pardon, mais en suivant les règles et procès des lois ? N’y a-t-il pas pourtant un temps pour toute chose sous le soleil ? D’autre part, est-ce assez maçonnique pour nous aujourd’hui ? Où sont la charité et la prise de responsabilité personnelle ? Ou sont en tout cela la fraternité, le pardon et la possibilité des nouveaux départs ? Plein de questions ! Faut-il pourtant y répondre en modifiant en conséquence les textes d’origine, ou plutôt par une interprétation qui les replace dans leur temps ? Faut-il plutôt lire les horreurs de nos légendes comme on devrait lire les livres sacrés des religions, non pas pour justifier les violences mais au contraire, pour apprendre des exemples du mal, afin de choisir le bien et devenir meilleurs ?

En marge des questionnements sur l’exégèse des textes, un état de fait s’impose, préoccupant.

Il est bien documenté qu’il y a eu de nombreuses altérations des rituels, des décors, des interprétations, pour des raisons plutôt profanes. L’historique est fascinant à suivre dans les livres publiés récemment. En fait, peu de choses ont été rajoutées dans les rituels et décors, plutôt nombre d’éléments ont successivement disparu. Chose incongrue, même les récits mythiques inclus dans les rituels ont été faussés ici et là, pour éviter telle référence biblique qui fâche ! Bien étayée, cette constatation ne conduit-elle pas vers une conclusion pratique ? Ou alors, sommes-nous restreints à nous lamenter devant cette porte déjà ouverte ? Après tout, même la Bible a été réécrite de plusieurs manières, pour ne pas parler des codes et lois de la Justice, qui ont changé avec les siècles et les cultures…

Des FF et SS se sont posé la question de quand ces altérations ont été faites, où, pourquoi et par qui. Dans ce contexte, quelle est l’implication du choix qu’au Rite Moderne (en fait celui initial) nous tenons à pratiquer nos rituels tels qu’ils ont été écrits à l’origine ? Se laisser taxer de réactionnaires parce qu’on pratique les rituels comme ils étaient, tout en respectant la liberté absolue d’interprétation personnelle ? Le Gr :.Or :., se demandait plutôt comment fonder le respect légitime pour les traditions, en même temps que les choix qui en diffèrent, afin de préserver, sans s’aplatir, la tolérance réciproque, l’harmonie et surtout la Fraternité.

Le S:.G:.C:. Fabrizio souligne la question clé – comment interpréter à présent ces mots et décors, mais aussi les changements commis concernant, par exemple des symboles, comme la très heureuse expression GADLU, la Bible ouverte à l’ Évangile de St Jean ? Comment faire face à ce qu’on peut appeler « l’allergie » de certains FF et SS, et surtout Ob :., à ces symboles conçus justement pour faciliter une cohabitation de la diversité spirituelle maçonnique?.

Faut-il adapter les mots aux temps et aux évolutions des sociétés, recycler nos décors, épurer les rituels et légendes de nos Grades de Sagesse ? ou plutôt conserver avec fidélité la tradition, au lieu de cautionner, au nom du « progrès », les opportunismes historiques du « politiquement correct » que nos érudits décrient régulièrement ?

On le voit bien, « le diable est dans les détails », dans le ressenti dogmatique des décors, mots et gestes. En ignorant que tout ceci est symbole : l’ABC maçonnique.

*

En fait, on respecte un rituel parce qu'il dit vrai ou parce qu’il dit la tradition ? Les rituels sont-ils lettre d'Évangile... ou écrits de main faillible de Maçon ? Les interpréter dans leur lettre ou, avec bon sens, dans leur esprit ?

En essence ; en Maçons, sommes-nous capables de vivre dans notre temps, changer avec notre temps, penser et agir en notre temps, tout en sauvegardant la lettre et les symboles de nos traditions premières ? Que faire de plus pour réunir ce qui est épars ?

*


Le défi à terme de notre Puissance Maçonnique est de démontrer le bien-fondé de la pratique des rituels du RMF en leur forme d’origine, tout en accueillant une diversité d’interprétations, le changement des époques, pays, régimes politiques et surtout la liberté absolue de conscience et de croyance ou non croyance religieuse des FF et SS. Une voie de raison serait de promouvoir et pratiquer une attitude lucide et civilisée de sublimation des concepts en cause, de déchiffrer le récit mythique incarné dans ces rituels. Cette érudition semble être une condition nécessaire de coexistence, qui permet de ne pas refaire éternellement des guerres de religions, d’hérésies et d’idéologies. Comme il semble, il faut s’élever au-dessus des interprétations littérales de ces mots et symboles mais aussi de la laïcité simplifiée, réductrice, intolérante, conçue comme antireligion.

Malheureusement, comme dit notre TS, cette manière de penser et de juger est née avec les monothéismes, devenus religions d’État et méthode exclusive. La certitude unique a détruit l’antique permissivité envers une multitude « de fait » des dieux et de croyances. Les empires d’avant toléraient l’imperfection des formes et des interprétations multiples. Par la suite et à présent, au lieu de considérer la diversité inévitable, où on œuvre pour réunir dans la bonne volonté des vues qui sont et qui ont le droit de rester éparses, on part typiquement d’un jugement préalable de Vérité et de valeurs, on impose les formes qui en résultent, on pense que certaines fondations, « les nôtres », sont les seules véridiques et les autres irrémédiablement fausses, à exclure. Que reste-t-il de notre noble rêve de Franc-maçonnerie universelle ?

Ce que nous chercherons dans notre réflexion présente est la forme fédératrice qui peut convenir à tous, avec des termes ouverts, qui permettent à chacun de comprendre, d’avoir et d’affirmer son interprétation personnelle tout en respectant un rituel symbolique partagé. Pour pouvoir assister, prendre part, dire let mots et vivre un égrégore sans se faire violence. Le terme Grand Architecte de L’Univers est un bon exemple de tentative optimiste pour permettre cette tolérance mutuelle.

Bien entendu, ceci requiert une pensée conceptuelle plus haute, qui reconnait et comprend les récits mythiques et bibliques dont les symboles sont incarnés dans nos rituels – ou tout est symbole – au lieu de croire qu’il s’agit de professions de foi figée. Autrement c’est comme si on contestait le nom des jours de la semaine ou des mois de l’année qui étaient jadis des noms de dieux de l’Olympe, les mots-on n’y croit pas.

Comment contribuer à cette œuvre ?

Selon le Gr :. Or :., un des nombreux choix possibles, est d’être conservateur concernant la lettre des textes et des récits légendaires, tout en étant flexibles et tolérants avec les changements incessants de définitions et des « certitudes », induits par les contextes et les époques qui passent. De même avec les préférences d’interprétation, faites en toute liberté de conscience (tant que ces choix ne sont pas imposés à autrui).

Pour préserver la paix, suivons la tradition avec bon sens, respectons et rappelons – en bons Maçons civilisés - les symboles bibliques les mythes et récits fondateurs, parfois anachroniques, sans mettre en cause nos convictions profondes en ce siècle XXI. Ces récits des ancêtres sont des formes qui restent  la colonne vertébrale de nos rituels, leur origine. Dans les cas où notre esprit moderne se rebiffe, faisons un peu comme ces Vice-rois du Nouveau Monde Espagnol qui disaient des décrets venus de loin du Roi d’Espagne, sans rapport avec leur réalité locale : « se obedece pero no se cumple » (on obéit mais on n’applique pas). Est-ce être trop opportuniste ?

Nous avons le droit de croire ou de ne pas croire, mais en nos vallées s’agit-il de croire ou de respecter ?

Notre TS propose d’effacer le mot croire de notre vocabulaire. Obligé à croire ou à dire qu’on croit ou non, rectifier et éplucher les mots, mène à une inquisition du politiquement correct, qui est une érosion de la liberté à laquelle nous sommes si attachés.

 


Jérusalem: le mur à l’occident, de pierres éparses


Poser cette question « CROIRE OU RESPECTER ?» protège notre liberté au milieu de la diversité parfois irréductible. Notre but partagé devrait être de comprendre le rituel dont nous sommes les acteurs, le sens de ce que nous y exprimons. L’émancipation est de « connaitre la cause des choses », comme dirait Virgile, comprendre d’où nous venons et où nous allons.

Car l’homme libre sait ce qu’il fait et fait ce qu’il sait.

 

Ioan Tenner, Ve Ordre Grade 9, Grand Orateur du Suprême Conseil du Rite Moderne pour la Suisse



[i]Jean van Win, Les initiales V.A.M. sur le cordon d’Élu au Premier Ordre du Rite Moderne Français, 2012

[ii] Meisner, Marc, Rite Français: Version Originale Ephaestos, Londres 2022 ISBN-13 ‏ : ‎ 979-8361403141, comparé à Grand Chapitre Général Du Grand Orient De France, Rituel de référence 1er Ordre éd. 2007

Reflexionando sobre el Grado de Rosacruz de Hérédom de Kiwinning (de mis conversaciones con Patrick Négrier)

Es fuente de conocimiento entablar una conversación con el Masonólogo, filósofo y amigo Patrick Négrier, pues tras plantearle una consulta, él abre la puerta de mi búsqueda de criterio propio fundamentado en las bases de la historia, la sociología y la filosofía.

Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9 y Último del Rito Moderno o Francés, 33º R.E.A.A.

M.·. I.·.

Estimado Joaquim, como ya te he comentado en anteriores ocasiones, nunca me ha interesado por mis principios filosóficos y de investigación histórica la práctica de los denominados Altos Grados, sin bien reconozco que cuando un Régimen o Sistema los contiene, nunca está de más aproximarse a su propuesta, aunque sea tangencialmente. Sin embargo, debe reconocerse que el mero hecho de que este alto grado buscaba ser asociado por su nombre al término "Kilwinning" sigue siendo significativo porque ciertos masones eruditos no ignoraban el hecho de que el rito moderno del Mason Word había sido creado enteramente a partir de los masones escoceses de Kilwinning (incluso si no percibieron todas las implicaciones denominacionales, bíblicas y eclesiales, como se explica en mis libros).

Otra observación de mayor importancia: el movimiento literario y teosófico de los Rosacruces de los años 1614-16 estuvo bajo el camino de los maestros exclusivamente, y no del camino de los ritos (a diferencia de las dos masonerías antiguas y modernas que eran ritos). Sin embargo, si los masones de altos grados han buscado adherirse a la cultura de los rosacruces aunque no formara parte del rito, es simplemente porque encontraron en esta cultura dos cosas que les interesaban: la caballería y la alquimia, dos culturas estrictamente ajenas a la “Palabra de Masón” en sus tres grados.

Si deseas estudiar los rituales masónicos de los rosacruces, puedes consultar a los historiadores que han publicado sobre este tema. Una última cuestión: a partir de 1743 los rituales de los altos grados masónicos fueron objeto de tráfico comercial: cobraban caro la recepción a un grado supuestamente superior al 3º de maestro. Pero si esto fue un malentendido moral entre vendedores y compradores, este fenómeno sigue siendo muy revelador de lo que es básicamente la Masonería más allá de su cultura que sigue siendo válida e interesante: una práctica social donde se otorga sin decirlo, la primacía de la promoción social o al menos desde un punto de vista sociológico. Lo cual en verdad desde un punto de vista tradicional no tiene ningún valor real. Y por eso no sólo hay violencia en las logias, sino también una falta notable de verdadera cultura e incluso del gusto pronunciado por la cultura y su primacía.

De modo que si desde un punto de vista histórico la Masonería no desciende de antiguas iniciaciones, sino sólo de un Oficio medieval que era sólo una corporación piadosa, es en definitiva que por la mirada del enfoque sociológico (y no filosófico) de la gran mayoría de los albañiles, estos presentan sin embargo estigmas similares a los de las antiguas iniciaciones que también favorecían la mirada sociológica (¿qué trabajo haces, cuánto dinero ganas, cuántas personas tienes a tus órdenes, eres el dueño?) sobre la mirada filosófica (que se ocupa sólo de las verdades sin preocuparse por el rango social, ni por el poder social, ni por el poder económico y financiero).

Patrick Négrier

El Marqués de Gages: una de las más importantes figuras de la Francmasonería de todos los tiempos

En la imagen vemos el Escudo de Armas del Marqués de Gages donde están incluidos sus tres tréboles en el corazón del sello.

El Marqués de Gages es una de las figuras más importantes de la Orden de todos los tiempos tanto por su labor incansable al estudio y práctica masónica, como por su elevadísimo conocimiento ritual y difusión.

La "Masonería de los Modernos" se implanta por diversas vías en los Países Bajos y en la actual Bélgica, bien directamente vía Londres o vía Francia a través de la Gran Logia dirigida por el Conde de Clermont. De este modo el Marqués de Gages (cuya logia “La vraie et parfaite harmonie” de Mons es de la correspondencia de la Grande Lode de France -la primera históricamente que nada tiene que ver con la que actualmente conocemos por ese nombre-) aparece nombrado por Luís de Bourbon en 1766 como "Grand Maître provincial et Inspecteur Général des loges rouges et bleues pour les provinces de Flandres, de Brabant et de Hainaut"

Aprovechando la coyuntura y dificultades que atraviesa la masonería francesa y el distanciamiento que ello conlleva entre la vinculación de Gages con la citada Grande Loge de France, la pretendida agrupación de logias zonales emanadas directamente de la Gran Logia de Londres llevará a que el 22 de enero de1770, la "Premier Grand Lodge of England" de los Moderns (la "Grand Lodge of London and Westminster") le librará una patente que le permitirá crear la "Gran Logia Provincial de los Países Bajos Austriacos", en la que durante los quince años siguientes, el Marqués de Gages consigue imponer la autoridad de este órgano central a más de una veintena de Talleres que conseguirá regular un cierto desorden reinante hasta el momento, propio por otra parte en cuanto a la descentralización.

Sus rituales y trabajos analíticos y recopilatorios de los grados trabajados en la época, pasarán a la historia de forma radiante y referencial.

Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección
Masonólogo


El Juramento Masónico: de mis conversaciones con Patrick Négrier

Entre las enriquecedoras conversaciones e intercambios epistolares que mantengo con el muy Querido Hermano, amigo filósofo y masonólogo, Patrick Négrier, hoy voy a acercar a este espacio una reflexión sobre el juramento masónico.

Patrick Négrier, como siempre haciendo gala de una erudición y conocimiento extraordinarios, combina esas cualidades con la de la humildad de quien comparte con el prójimo por amor a la verdad en sí misma. Un regreso al método de la recepción del conocimiento mediante el estudio, el análisis, la reflexión vivencial, dejando al margen la vileza profana, la incapacidad de argumentar el disenso. Es regresar al intercambio mediante el debate inteligente sobre bases sólidas, contrastadas y libres de cualquier tipo de subyugación. Este es el estado en el que muy pocos masonólogos se hallan, pues sí son verdaderamente libres, y cada paso que dan en el avance de sus pesquisas, reflexiones e investigaciones, valen su peso en oro. Un estado de consciencia y actitud que está a años luz, por desgracia de una inmensa mayoría de francmasones de joya de latón y mandil de lentejuelas.
Su amistad me honra, y le quedo eternamente agradecido por lo mucho que de sus guías y enseñanzas he conseguido en gran medida saciar mi sed del conocimiento y me ha permitido ver más luz a pesar de estar rodeado de tinieblas de todo tipo. Gracias Patrick por estar siempre ahí.
Creo que es el momento en el que hay que precisar con la máxima precisión el elemento formal ritual, filosófico e incluso hermenéutico del contenido de nuestros actuales Rituales para ser coherentes, y así evitar confusiones atroces. Una vez más debemos esforzarnos por saber de dónde venimos, como mutamos, como evolucionamos y a donde vamos con las actuales estructuras rituales y sus corpus doctrinales. Por eso que el tema del juramento, no es un tema menor, y solo comprendiendo su precisa aparición contextuada adecuadamente, podremos llegar a entender el de compromiso en diferentes conceptos de la masonería del Siglo XVIII.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección.
Masonólogo


El Juramento Masónico (de mis conversaciones con Patrick Négrier)

“Sí, querido Joaquim, tienes razón, como lo he demostrado en mis libros, los autores británicos de los Antiguos Deberes católicos y luego anglicanos (a partir de la mitad del siglo XVI) habían concebido y elaborado sus Deberes de acuerdo con el modelo proporcionado por la "Regla de los monjes" de Benito de Nursia.

Así es como en los Deberes podemos ver:

1. La plegaria de entrada a la Trinidad se inspiró en el "Prólogo" de Benito que es una oración;

2. la historia alegórica y legendaria del Oficio se inspiró en el capítulo I de Benito sobre la historia del monacato que había visto la aparición de varios tipos de monjes;

3. la escala de las artes liberales de la República de Platón que se encuentra en los Antiguos Deberes había sustituido al capítulo VII de Benito sobre la escala de la humildad;

4. la lista de deberes profesionales y morales de los masones que se encuentran en los Antiguos deberes se inspiró en los capítulos IV y LXXII de Benito sobre los instrumentos de las buenas obras;

5. y, finalmente, el juramento de los Masones sobre el "Libro" de los Deberes después de leerlos al recipiendario se inspiraba en el capítulo LVIII de Benito en la forma de recibir a los hermanos en el monasterio por los tres votos de estabilidad, conversión de modales (castidad y pobreza) y obediencia DESPUÉS DE LEER AL JOVEN MONJE LA REGLA DE BENITO (¡y no la Biblia!).

Cuando, en Kilwinning (entre 1599 y 1630, no sabemos exactamente cuándo), los masones calvinistas presbiterianos (¡y no los arminianos!) reformaron el rito al reemplazar los Antiguos deberes con el Mot de Maçon, obviamente rechazaron el modelo benedictino del rito masónico por dos razones: primero porque la "Sola Scriptura" de la Reforma luterana y calvinista les prohibía asentarse en materiales no bíblicos; y luego porque se oponían ferozmente al monacato (los calvinistas escoceses habían destruido los monasterios).

En los Antiguos deberes, la legendaria historia del Oficio era una alegoría de las vicisitudes del arte gótico de las catedrales; dado que los calvinistas presbiterianos se oponían no solo a la arquitectura sagrada sino también al episcopado y, por lo tanto, a las catedrales (los presbiterianos eran democráticos y habían abolido la institución del episcopado considerado de tipo monárquico), rechazando esta historia gótica del Oficio para sustituirla por un material exclusivamente bíblico: el simbolismo del templo de Salomón cuyas dos columnas habían inspirado a Pablo la comparación de los tres apóstoles con las columnas en Gálatas 2,9 (versículo que uno no puede entender sin tener en cuenta todo este capítulo 2).

Como en los Antiguos deberes la escala platónica de las artes liberales no era bíblica, los masones calvinistas la rechazaron. Y dado que el Libro de los Deberes sobre el cual juraron los masones anglicanos no era bíblico, los masones calvinistas lo sustituyeron jurando sobre la Biblia”.

Patrick Négrier


Decimoprimer Aniversario del Paso al Oriente Eterno del amado M.·. Il.·. H.·. Antonio Onias Neto, referencia mundial del Rito Moderno o Francés.

Hace exactamente 11 años, el 13/06/2013, la Masonería perdía uno de los mayores conocedores i estudiosos del Rito Moderno o Francés, el MIlH.'. Antonio Onias Neto. Masón respetado y profundo conocedor de la Orden Masónica, echamos mucho de menos su erudición y ponderación en los destinos de la Orden. 

Actualmente estará ocupando sin duda alguna un lugar relevante en su Columna del Oriente Eterno aportando sus infinitas luces Celestes. 
El M.·. Il.·. H.·. Onías Neto era una persona excepcional, y a quien tuve el honor de conocer personalmente y aprender de sus enormes conocimientos. Cuando recibí la 5ª Orden de Sabiduría, Grado 9 y Último del Rito Moderno o Francés, Caballero de la Sabiduría, del Supremo Conselho do Rito Moderno do Brasil, él era el Gran Orador y Past Soberano Gran Inspector General del Rito. 

Fue un fiel defensor del congreso celebrado entre Cuerpos de Altos Grados del Rito francés o Moderno y personaje indispensable para la elaboración y firma de la Carta de Barcelona con todos los valores que esta contenía y que por primera vez conseguía agrupar a miembros tanto del denominado mundo Regular como Liberal. 
Fue un impulsor a ultranza de la creación de la UNION MASONICA UNIVERSAL RITO MODERNO. así como defensor de la legitimidad masónica de la iniciación femenina desde la plataforma de la autodenominada masonería regular sólo para Hombres.

El M.·. Il.·. H.·. Antonio Onias Neto fue (y es) un Hermano único e inolvidable cuyo legado es ya inmortal. ¡Muchísimas gracias, Maestro!
Cuanto te echamos de menos. Descansa en Paz.
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección.
Masonólogo

El fundamento de la práctica de los Grados 8 y 9 en el Rito Moderno o Francés

En este espacio hemos, creo, ampliamente abordado el tema de la génesis, distribución y reordenación de los Altos Grados de gran proliferación en el XVIII, bajo la estructura creada por el Gran Capítulo General de Francia del 1784 en la ocurrente distribución por familias conocidas con el término de Órdenes. Hemos valorado asimismo desde diversos planos filosóficos e iniciáticos, la idoneidad de los mismos, controvertidos cuanto menos, así como escuchado voces reflexivas e incluso irónicas y ácidas, como las de Bésuchet , en esa vorágine de multiplicación de grados, la mayoría impracticables. Nuestras investigaciones nos han hecho entender como ciertamente el Phylum iniciático del Rito Moderno finalizaba sin duda en el Rosacruz, un Cuarto Orden terminal siendo durante mucho tiempo el Nec Plus Ultra Masónico hasta el desembarco de la nueva estructuración propuesta por el REAA, que imponía su influencia en los altos grados con la habilidad de generar un paralelismo del R+ con su 18º, estrategia inteligente que hundía a la cumbre Moderna provocando la excitación de aquellos cuya posible ansia por las decoraciones y títulos impulsaba, cual resorte, a la búsqueda del más allá. Así pues, el sistema del Gran Capítulo General, por más Quinto Orden universal definido en los RRGG del 1784 y codificado por el Metropolitano en el listado de 1807, no dejaba de ser un intangible para muchos, con la cual cosa, ya de facto, en el 1858 el ritual Murat se basaba sobre una progresión de siete grados en los que los tres primeros pertenecían al Rito Francés, y el resto, el Rosacruz 18º, Caballero Kaddosch 30º, Príncipe del Real Secreto 32º y Gran Inspector General 33º eran grados del Rito Escocés Antiguo y Aceptado. Resulta, pues difícil creer que esto fue fruto del simple azar. El sistema de los Órdenes de Sabiduría quedaba tocado de muerte. En Holanda, tras la fundación en 1803 de la Orden de los Altos Grados tras la ocupación francesa, y muy potenciado en la actualidad su vigor y fuerza vía su nueva y remodelada web, se nos presenta ante el público una ininterrumpida práctica de más de 200 años del sistema de siete grados que supuestamente habría bebido su legitimidad de dicho contacto galo. Esa legitimidad secuencial no fue filial si no realizada por analogía, y lo que es indudablemente cierto, es que la práctica de todos los Órdenes no fue ininterrumpida, dado que, en realidad, no se conferían de la forma regularmente establecida. Me explico: El Rito planteado tras el magisterio con los Grados de Elegido, Escocés, Caballero de Oriente y Soberano Príncipe Rosacruz mutó en su forma de ser conferido, dado que debido al carácter explícitamente cristiano del último grado se decidió prohibir conferirlo salvo por comunicación, confiriendo ritualmente sólo los tres anteriores. Esta prohibición duró tres años, hasta 1806, donde se dejó a criterio de los Capítulos la elección del método de concesión. Sin embargo, en los siguientes 50 años, el sentir al respecto se revirtió radicalmente, decidiéndose en 1854 que desde esa fecha, el Grado de Rosacruz debería ser conferido ritualmente, mientras que los “Grados Intermedios” se harían por comunicaciónIncreíble, pero cierto: el tema se revertió cual calcetín. Así pues, este sistema en Siete Grados con sus respectivas Órdenes de Sabiduría solamente se practicó ininterrumpidamente de forma Regular y legítima desde 1822 en Brasil. Pero una vez pasado el tiempo, asentados los sistemas rituales, estratégicamente ubicados los sistemas relacionales entre Potencias Masónicas de Altos Grados, había que velar por llevar al Rito Moderno o Francés al lugar que siempre le correspondió, y este, jamás era estar en inferioridad de escalafón a ningún otro, dígase lo que se quiera sobre el phylum iniciático, el lanzar la mirada hacia todos los grados físicos y metafísicos de todos los sistemas. Eso ya era obvio de por sí, pero había que ir concretando. Las soluciones para la activación, reactivación o desarrollo de este Vº Orden podían ser muchas y variadas (algunas más acertadas que otras), pero era menester encontrar en función de la incontestable legitimidad de la Potencia correspondiente, en este caso el Supremo Consejo del Rito Moderno, de Brasil, Chef d’Ordre Universal en cuanto a su práctica ininterrumpida e incluso única en un tiempo, buscar un método racional, lógico, con un mensaje coherente al espíritu del Rito Moderno y de un contenido incontestable. Así pues pasaremos a exponer la distribución en 9 Grados (una distribución que comparto en lo personal por su coherencia y brillantez ritual, dicho sea de paso), ubicados el 8º y el 9º en el Vº Orden, expuesto mediante el análisis y argumentación dada por el M.•. Il.•. H.•. Antonio Onías Neto (que ya ocupa su Columna en el Oriente Eterno), Soberano Gran Inspector General Honorario del Supremo Consejo del Rito Moderno, con sede en Brasil:

 Algunos Hermanos afirman que no existe fundamento histórico o institucional para la institucionalización de los Grados 8 y 9 para el Rito Moderno. Veamos primero si históricamente existieron los grados citados anteriormente. Respecto a este asunto, la publicación francesa “Le Rite Français Moderne - I. M. R. E. T. 1986” afirma en su página 36: “Voici quelques extraits des “STATUS ET REGLEMENTS GÉNÉRAL DE FRANCE”, datés de 19 Mars 1784: “Art. 28 - Toutes les formules différentes et multipliées seront classées et rangées suivant le grande dont elles dépendent. Chaque Grade ainsi classé será connu sous la dénomination d’Ordre.” “Art. 29 - Le Grand Chapitre Général renfermera toutes les connaissances em cinq Ordres.........(siguiendo la explicación de cada Orden correspondiendo a los Grados Del 4 al 7 siendo este último El Caballero Rosacruz) ......” “Le Cinquième Ordre comprendra tous les grades physiques et méta-physiques et tous les systémes, particulièrement ceux adoptés par des associations maçonniques em vigueur”. Este Quinto Orden además de constituir una Academia o Conservatorio de diferentes grados y rituales al uso, siguiendo sus Reglamentos, se nos aparece, como lo afirma la obra referenciada, un Grado administrativo a comparar con los "Grados Blancos" del REAA. Históricamente, además, encontramos em las páginas 56/57 del “Tuileur général de la francmaçonnerie, J. M. Ragon, Paris, Collignon , de 1861”: “Rite Français: “Kadosch, parfait initié - Grade philosophique, 5e. et dernier degré du Rite Français, dit aussi GRANDE ÉLU, CHEVALIER DE L’AIGLE BLANC ET NOIR - remplaçant le 30e. degré templier du Rite Écossais.” La obra prosigue con El Cuadro, El Cubridor del Grado, la descripción de lãs Cámaras, etc. Semejante referencia Bibliográfica en la práctica de un Grado 8º dentro del Rito Moderno la vemos en Enciclopedia Masónica de la Editorial Kier, de México, en la página 808: En la parte superior de la página: “RITO FRANCÉS O MODERNO” y después, en la inferior: “8º Y ÚLTIMO DEL RITO FRANCES” ”KADOSH PERFECTO INICIADO” “GRADO FILOSÓFICO”, siguiendo con los datos sobre el grado y su Cubridor. “Vemos que el Supremo Conselho do Rito Moderno, aún pudiendo hacerlo legítimamente, no invento cosa alguna, basándose en usos debidamente documentados en la historia y práctica de nuestro Rito. Tan solo se modificó el término Kadosh (sin c) para Kadosh-Filosófico - Caballero del Águila Blanca y Negra- Inspectores del Rito - para el Grado 8, asentados en los Grandes Consejos Estatales. Por último, considerando la necesidad administrativa del Poder Central en la federación, se instituyó el Grado 9 Caballero de la Sabiduría- Gran Inspector del Rito del que hay indicios que hubo un tiempo en el que en Portugal llegó a funcionar, para los Grandes Inspectores del Rito, agrupados en el Supremo Conselho do Rito Moderno, que tiene carácter nacional.

Joaquim Villalta, V Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro del Supremo Consejo del Grado 33º y Último del Rito Escocés Antiguo y Aceptado de la Islas Filipinas
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Gran Comendador del Soberano Gran Consejo de los Príncipes del Real Secreto de España, Rito de Perfección.
Masonólogo