Sobre la figura de San Juan y las apariciones de diversas interferencias
A esas transmisiones interesadas en acrecentar los egos, se han también adosado elementos exógenos donde la duplicidad de los Santos tampoco se ha librado de ello: dos solsticios, pues dos San Juanes. Así, con fundamentos variopintos y argumentos para todos los gustos, podríamos inserir (como de hecho se ha hecho) auténticas falsedades que incluso rozan lo necio.
Tras esta reflexión quiero centrarme en la belleza de lo real, o sea, de lo que simplemente es, procurando argumentar la figura de San Juan dentro de la Masonería con algo tan apasionante como la razón de ser de este personaje dentro de la historia de la Orden.
Así, volviendo a reflexionar sobre el asunto, Patrick Négrier me recordaba una vez más la elección de la fecha de San Juan de invierno (el Evangelista), y su presencia (y solamente la de un San Juan).
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Sobre las figura de San Juan y las apariciones de diversas interferencias (de mis conversaciones con Patrick Négrier)
En principio, al inicio del Siglo XVII, cuando los masones calvinistas presbiterianos se oponían ferozmente a todo alineamiento sobre el modelo anglicado de los Antiguos Deberes que recibían el día de San Juan de invierno (27 de diciembre), se desmarcaron y recibieron a sus propios aprendices en una fecha distinta (Négrier, "La Tulip", pág. 26, donde cito al Profesor David Stevenson, "Les premiers Francs-Maçons", 2000, pág. 93).
Pero con el paso del tiempo, los practicantes de la "Palabra de Masón" terminaron por volver al uso escocés de la recepción de los aprendices el día del San Juan del 27 de diciembre (ya que si bien el calendario de los santos fue rechazado por los calvinistas, el Apóstol Juan no fue rechazado por estos puesto que sus escritos formaban parte de las escrituras), como así aparece textualmente en el Edimburgo de 1696 que menciona la noción de "Logia de San Juan" término mencionado en otra parte por James Anderson en sus "Constituciones" de 1738.
No obstante, este uso de recibir a los aprendices en Logia el 27 de diciembre, día de San Juan, no fue la regla general. Así, en 1723 el "Examen de un masón" menciona la "Logia de San Esteban" que se celebra el 26 de diciembre. Ahora sabemos que este catecismo, que era el de la Gran Logia de Londres, fue muy probablemente transmitido por el pastor escocés calvinista presbiteriano James Anderson, quien solamente podía haberlo obtenido de su padre que era miembro de la Logia de Aberdeen, la cual practicaba el Mason Word desde al menos 1699 y por lo tanto recibía aparentemente a los aprendices el día de San Esteban el 26 de diciembre, lo que confirma la declaración de David Stevenson mencionada anteriormente.
Patrick Négrier
Le Rite Français est une belle histoire écossaise…
Et pour nos rites, inutile de remonter le temps jusqu’au carbonifère, l’histoire n’est pas aussi ancienne.
Bien sûr, nous avons coutume d’affirmer dans une envolée identitaire et lapidaire, que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, mais cela ne peut s’adresser qu’aux œuvres de la nature et non à celles de l’homme souvent convaincu de découvrir en permanence le miracle de l’eau tiède.
Ainsi, il est notoire que pour les espèces, le doigt providentiel d’un grand architecte, bien sûr ad libitum, semble avoir joué un rôle important ; mais il serait inexcusable de croire que dans la construction des rites, le doigt de l’homme ne lui a servi qu’a se gratter là où ça le démangeait…
De plus, les frontières artificiellement entretenues entre les différents rites, par d’augustes hiérophantes et néanmoins contractuels devant l’éternité, se voudraient imperméables, les contenus réciproquement incompréhensibles et les adeptes émergeant en permanence d’une animalité autant décriée que le rire, seraient inaptes à la connaissance de rites multiples car trop perturbant pour le frêle esquif que nous portons sur les épaules.
On n’a pas été jusqu’à faire tomber Hiram d’un échafaudage, mais presque : ainsi, nous avons frôlé l’accident de travail…
Cette orientation précédente laisse supposer que le troisième grade, dont la légende est commune à tous, est bien la charnière d’un ensemble de développements dont on ne peut dire que tous ceux qui ont été répertoriés, possèdent un contenu sérieux et intéressant.
Nos ancêtres, c’est une évidence, étrangers au métier, dépossédés des règles opératives et de la disparition du concret du chantier, ont largement ouvert la porte non seulement à d’autres sciences dites initiatiques mais aussi et hélas, à leurs propres délires. Il n’y a pas eu des illuminés qu’en Bavière et encore ceux là ne furent pas les pires.
Il suffirait pour s’en convaincre, de lire non seulement ceux tombés dans l’oubli mais également le contenu de certains grades inclus dans des systèmes ayant pignon sur rue.
Ainsi, à partir d’un grade commun encore pétri de l’enseignement des opératifs bien que s’en échappant par l’adjonction du mythe d’Hiram, nous découvrons que les routes des rites s’écartent, même si chacun jure que l’initiation est comme la république : une et indivisible et que son support est universel. A l’instar du Dieu unique que chaque religion dans son dogme, s’approprie de façon exclusive et assaisonne suivant ses propres préférences gustatives.
Mais revenons à notre hypothèse.
Vous m’avez souvent entendu dire depuis quelques années après en avoir étonné quelques uns, irrité d’autres, le béret enfoncé jusqu’aux oreilles, que les hauts grades du Rite Français procèdent du mouvement communément appelé Ecossisme.
Rien dans la lecture et mieux encore dans la pratique ne peut contredire cette évidence si par chance on en possède la connaissance même incomplète.
Tous les systèmes de hauts grades de notre environnement ont les mêmes sources d’inspiration, au delà des touches spécifiques, là aussi tardives et à bien regarder, ces dernières n’en constituent pratiquement jamais une clause d’intérêt majeur ou suffisant.
Dans la continuité de cette réflexion, j’ajoute aujourd’hui, le Rite Français contient dans le développement de ses cinq ordres l’essentiel des rites communément pratiqués, hier comme aujourd’hui, et que nous pourrions résumer à trois remarquables, à savoir : le Rite de Perfection, le Rite en sept grades de la mère loge écossaise de Marseille et enfin le plus tardif, le Rite Ecossais Ancien et Accepté.
En effet, et je passe sur le développement historique que chacun pourra retrouver dans les bonnes bibliothèques, les Ordres du Rite Français ont été codifiés non pour être un système s’ajoutant à d’autres mais pour être la vitrine dans laquelle tous les Francs-Maçons pratiquant dans les différents systèmes en vigueur au XVIII siècle pouvaient se reconnaître et surtout être reçus.
Pour l’anecdote, il n’est pas rare de trouver dans les tableaux de Loge de cette époque des Frères possédant des grades dont le titre signe l’appartenance ou une pratique à des systèmes différents.
Il convenait pour le moins de mettre en place un espace ordonné où tout ce monde pourrait se reconnaître dans une pratique commune.
Mais il ne serait pas honnête de s’en tenir à cette seule approche. Ce serait ignorer que les responsables du Grand Orient de l’époque avait quelques ambitions hégémoniques sur le monde maçonnique en cours d’installation. et que quelques luttes d’influence agitaient déjà les pavés mosaïques, Bref, rien de nouveau ou de pire…
Pour revenir au volet qui paraît le plus intéressant, le règlement du Grand Chapitre Général de France, ancêtre de notre structure actuelle, précise dans son règlement de 1784 (rappelons au passage qu’à cette époque le REAA n’existait pas encore en tant que tel et n’oubliez jamais que la plupart des degrés de l’Ecossisme ont existé avant d’être incorporé dans les structures rituelles actuelles )
« Le G.·.C.·.G.·. renfermera en son sein, autant qu’il sera possible, toutes les connaissances maçonniques.
En conséquences, les grades en partant de ceux qui suivent la maîtrise seront conférés successivement ainsi qu’il va être dit ci- après :
Toutes les formules différentes et multipliées seront classées et rangées suivant le grade dont elles dépendent.
Chaque grade ainsi classé sera connu sous la dénomination d’Ordre.
Le Premier Ordre Elu Secret :
Il comprendra tous les intermédiaires de la maîtrise à l’Elu. L’Elu en sera le complément.
Le Deuxième Ordre Grand Elu Ecossais :
Il comprendra l’Ecossais, tous Ecossais possibles et ce qui est relatif.
Le Troisième Ordre Chevalier d’Orient :
Il comprendra le Chevalier d’Orient et ce qui y a rapport.
Le Quatrième Ordre Souverain Prince Rose-Croix :
Il comprendra le Rose-Croix et ce qui y est relatif.
Le Cinquième Ordre comprendra tous les grades physiques et métaphysiques et tous les systèmes particulièrement ceux adoptés par les associations maçonniques en vigueur. »
El significado y la representación de la Logia
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
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Le Monde prend sens à partir d’Autrui
Très Sage et Parfait Maître et Très Respectables et Parfaits Sœurs et Frères Cette phrase de notre rituel qui nous enjoint à voyager et à nous engager dans le monde avec responsabilité m’interpelle dans toute sa force. Qu’est-il ce monde ? les définitions en sont nombreuses :
-Ensemble de tout ce qui existe sur terre, perçu par l'homme et le plus souvent en opposition avec lui, Ensemble constitué des êtres et des choses créés; pour certains cela peut-être l'univers, le cosmos, pour d’autres une autre définition nous rapprochera plus de notre ordre : « La communauté; la société des hommes vivant sur terre ». C’est l’Ensemble de tout ce qui existe, de façon réelle et concrète.
Le monde impose sa réalité et l’actualité aujourd’hui ne fait que le confirmer. Nous savons que le monde précède toute construction humaine et existe avant tout langage. Il était là avant nous, il est là, et il sera toujours là. Ainsi
Le Monde s’impose à nous alors que la réalité que nous en avions était de croire que le monde nous appartenait. Exister, c'est être au monde, La définition d’Autrui est encore plus complexe : c’est l’autre, le prochain ; c'est l'autre homme en tant que sujet moral conscient. Autrui désigne un individu, un autre humain, mais un individu indéterminé. La particularité d'autrui est qu'il désigne l'autre soi-même, l'alter ego : autrui, c'est un autre moi, qui est à la fois mon semblable, et pourtant différent de moi. Autrui est donc un autre, mais un autre n'est pas autrui. L'autre peut être un homme, un animal, Dieu, ou un objet matériel alors qu'autrui est toujours un être humain envisagé comme alter ego.
La question qui se pose alors est: comment se peut-il qu’existe un autre que moi que je découvre parmi les choses et qui pourtant, comme moi, est un ego (un sujet) ? Comment peut-il y avoir un ego qui ne soit pas mon ego, qui ne me ressemble pas. Sartre dit qu'autrui c'est « ce moi qui n'est pas moi ». ... Autrui c'est à la fois le même, une conscience comme moi ; mais c'est aussi l'autre, dont la conscience et l’intériorité sont différentes. C'est la raison pour laquelle on dit qu'autrui est un alter ego (alter = autre, ego = moi, donc un autre moi. Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis »
La question est celle de l'identité et de la différence. L'ego cogitant ou sujet pensant de Descartes implique que c'est moi qui pense. Ainsi considérer qu’autrui me ressemble me permet de tenter de me transposer en imagination dans les vécus d'autrui. Il s'agit d'une expérience immédiate d'appariement dépendant de la spatialisation de mon imagination par laquelle je peux faire "comme si j'étais là-bas". Il s'agit en réalité d'une intersubjectivité qui implique que je ne suis humain que dans la mesure où je veux m'imposer à l'autre, à me faire reconnaitre par lui. C'est dans cet autre que se condense le sens de ma vie. Le Dasein de Heidegger expose que cet être-avec est une disposition constitutive de l'existence humaine.
L'homme est toujours hors de soi, la présence d'autrui précédant obligatoirement la solitude car je ne peux être seul que si autrui manque. Etre c'est donc tout d'abord écouter la voie de l'ami que chacun porte en soi L'autre est donc celui-là même qui me fonde en tant qu'être dans la mesure où l'affirmation de ma différence passe par la perception de la subjectivité de mon interprétation. L'autre n'est donc qu'une théorie dont la dimension morale est absente. Levinas précise ainsi que le visage de l'autre est l'ouverture sur l'infini qui seule peut m'ouvrir à la dimension de sujet. « Autrui en tant qu’autrui, n’est pas seulement mon alter-ego. Il est ce que je ne suis pas » dit Levinas Au même titre que moi, l’autre est une conscience qui pense le monde et qui s’interprète lui-même. Comment pourrais-je avoir accès à une intériorité, à l’intériorité d’une conscience qui n’est pas la mienne. En effet, autrui n’est pas un objet mais un sujet, une identité qui ne m’est pas donnée de manière définitive mais qui se construit, qui évolue, tout comme moi. Grace à autrui j’ouvre la perspective d’un monde à entrées multiples. En effet autrui m’offre une vision sur le monde qui n’est pas la mienne, qui est la richesse de la rencontre Autrui est insaisissable. Comment deux libertés (la sienne et la mienne) peuventelles s’entendre et ne pas se heurter l’une et l’autre dans un affrontement perpétuel ?
Hobbes nous dit que « L’homme n’est pas naturellement sociable » il n’est devenu sociable que par accident. L’état de nature était défini par un état de guerre permanent de tous contre tous « l’homme est un loup pour l’homme » Kant parle de « l’insociable sociabilité de l’homme », l’homme est tiraillé par la nécessité de s’associer à d’autres hommes (donc de participer à une vie collective) et en même temps le désir de rechercher à satisfaire son intérêt personnel (donc vivre de façon individualiste) Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis » 3 Autrui est donc une menace parce qu’un rival : il est insaisissable, il est une conscience dont l’accès m’est impossible. Mais si je ne peux connaitre autrui, je dois m’entendre avec lui par-delà cette inaccessibilité : si je ne peux connaitre autrui, je dois cependant le re-connaitre Claude Levi-Strauss nous explique
- Les dispositions psychologiques naturelles font que l’on a toujours du mal à admettre ce qui est différent de nous, ce qui nous est culturellement étranger car face à l’inconnu on reste sans repère, sans point d’appui possible pour y répondre. Le premier mouvement est le rejet de ce qui ne nous est pas familier. x Cependant, il n’y a qu’une seule espèce humaine. Les civilisations ne sont que des expressions particulières d’une seule et même espèce, une seule et même humanité. x Ne pas reconnaitre l’humanité chez l’homme qui me fait face en le qualifiant de « barbare » signifie me conduire comme ce que je lui reproche d’être : ne pas reconnaitre l’humanité en l’autre : ne pas reconnaitre l’humanité en moi-même. En l’excluant de la nature humaine, je m’en exclue moi-même, c’est moi le sauvage : « en refusant l’humanité en apparaissant comme les plus sauvages ou barbares de ses représentants, on ne fait que leur emprunter une de leurs attitudes typiques. Le barbare, c’est d’abord celui qui croit en sa barbarie ».
Le contenu se dévoile dès lors avec une netteté que l’acuité du regard de l’aigle permet seule. Tous nos rituels du 1er Grade au 4ème Ordre nous demandent de chercher la vérité avec les autres. Autrui est celui qui m’accompagne dans la vie d’où cette notion de voyage que nous retrouvons au 4ème Ordre et me permet de progresser de la caverne à l’anneau d’alliance en passant par le pont. La démarche est collective, point de salut sans l’Autre dans nos rituels de Sagesse. L’Arche du 4ème Ordre au sein de laquelle se trouve le Chevalier Rose-Croix nous enseigne symboliquement que les Hommes sont rassemblés sous une seule Parole dans la Foi, l’Espérance et la Charité., cette charité qui doit nous faire « découvrir avec bonheur l’Unité de l’Humanité » Et m’occuper d’autrui et donc de l’humanité revient aussi à m’occuper de moi car j’en suis membre. D’aucun pourrait penser que s’occuper de soi passe pour de l’égoïsme, il n’en est rien, car s’occuper de soi, c’est sortir de l’ombre, c’est « essayer de se rendre visible à soimême » c’est pour le Maçon partager avec autrui ce qu’il a reçu en partage. Autrui existe dans toute sa liberté et c’est cette liberté pure et totale qui en fait une existence irréductible à la mienne, cette existence qui m’échappe et me limite dans ma propre liberté si je ne fais rien pour lui. Le devoir à l’égard d’autrui ne limite pas ma liberté, mais il la fonde en ce que ma définition d’humain, et donc de maçon, exclue la solitude. « Êtes-vous Franc Maçon » interroge le rituel. Et la réponse « Mes Frères me reconnaissent pour tel » souligne l’obligation d’appartenir à la communauté des hommes pour exister moi-même.
Je ne saurais
exister seul, sans le témoignage de l’autre. Autrui me fait progresser lorsqu’il me
pousse dans mes derniers retranchements. C’est en effet uniquement lorsqu’on se
sent assez fort soi-même pour s’ouvrir sans réticence à autrui que peut vraiment
avoir lieu la rencontre de l’autre, source d’enrichissement qui donne à la vie de
l’individu une ampleur et une profondeur plus grandes. C’est pourquoi il est certes
bon de multiplier dans la vie sociale les lieux et les occasions de rencontre ; mais
il est plus important encore de savoir se préparer soi-même à la rencontre, à
l’accueil de l’autre. Vivre avec les autres peut certes être parfois un enfer, comme
le soulignait Sartre, si chacun se sent constamment épié et jugé par l’autre ; mais
il n’est pas davantage de paradis pensable dans la solitude et l’enfermement en
soi. Ni enfer ni paradis, la vie en commun n’est pas exempte de conflits, de crises
Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée
« Le Voile d’Isis »
5
et même de drames, et la rencontre de l’autre est toujours le commencement d’une
aventure, qui, comme toutes les aventures, peut mal finir.
Toute rencontre, sans qu’on puisse le savoir d’avance, peut-être un mal ou au
contraire un bien. Mais c’est à travers l’échec, et non pas en le fuyant par avance,
qu’on peut s’affermir et devenir vraiment soi-même.
Tel le pélican se sacrifiant pour sauver ses petits je dois moi aussi m’extraire de
moi-même, de la personnalité ancienne enfermée dans mon ignorance et mon
égoïsme pour renaître à une vie meilleure. Je ne sais connaître ou plutôt
reconnaître, que ce que j’ai appris et qui constitue le fondement même de ce que
je suis et il me faut de la foi et de l’amour pour entendre qu’autrui en face de moi
est aussi un autre moi-même qui a ses propres pensées, ses propres aspirations.
Il est moi et il est Autre mais c’est un être humain en devenir comme moi-même.
Le devoir à l’égard d’autrui fonde ma liberté, il en est le garant, il m’inscrit dans
la communauté des humains dont notre fraternité est le prototype. Je dois
distinguer sans séparer, différencier sans opposer. Grâce à autrui le Monde existe,
nous sommes, moi et autrui, deux consciences qui se reconnaissent comme sujets.
Mais cette reconnaissance ne signifie pas la connaissance d’autrui en son essence.
Je le reconnais comme une conscience de soi au même titre que moi avec ses
désirs, ses projets…et dans un rapport au monde différent du mien. C’est pourquoi
autrui est l’incarnation d’une liberté dans le monde à laquelle je dois le respect.
Je dois à autrui ce qu’il se doit à lui-même : respect, amour et compréhension sans
jugement. N’oublions pas de nous en servir mes sœurs et mes frères au long de
notre vie et de nous élever contre tout ce qui porte atteinte à autrui.
C’est tout le travail du Parfait Chevalier, Chevalier Rose Croix : L’armure de la
foi, la ceinture de l’espérance et l’épée de la charité sont des outils au service de
l’humanité et du Monde.
« Le monde prend sens à partir d’autrui.
Si autrui existe pour vous, s’il est respecté dans la juste
mesure, le monde s’ouvre pour vous. »
J’ai dit TS & PM et vous tous Très Respectables et Parfaits Sœurs et Frère
Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis »
La Mujer en la Francmasonería. Epílogo.
En la Edad Media, las corporaciones de arquitectos y picapedreros, en la gran mayoría de los casos estaban integradas por hombres. En la gran mayoría, lo que no significa que no existieran mujeres que cumplieran estos Oficios, pues no todas las corporaciones medioevales excluyeron a la mujer .
En el “Libro de los Oficios del Preboste de Paris”, que data del año 1270, se detallan los oficios y corporaciones exclusivamente femeninas, las que presentaban en su construcción y funcionamiento, marcadas semejanzas con las de los masones operativos de la época. En este sentido, es particularmente destacable la cofradía de las Hilanderas.
En el sistema de aprendizaje de oficios de las cofradías del Compañonage (una institución muy vieja en Europa), en el viaje que ha efectuado todo compañero desde el medioevo, el llamado “Tour de France”, la “Madre” ha sido la encargada o dueña de la posada o albergue en que pasan los “compañeros” su período de prueba del oficio, y la que organiza sus vidas, vela porque reine el orden, la justicia y el entendimiento fraternal entre todos. Estos viajantes aprendices, pueden llegar hasta la centena de jóvenes entre 18 y 25 años durante un período que puede ir de 6 meses a dos años. Único personaje femenino admitido en el Compañonage, ha gozado siempre de una autoridad reconocida y de un respeto profundo.
La Guilda (corporación) inglesa de los Carpinteros de Norwich, que data de 1375, guilda a la que también pertenecían los albañiles de York, recuerda que: “Todos los años, el sábado siguiente a la Ascensión, los Hermanos y Hermanas se reunirán en un lugar determinado para recitar oraciones en honor de la Santa Trinidad, por la paz y la unión del país...” “Si muere algún miembro de la guilda, sus Hermanos y Hermanas deben rezar por él ...”
Entre los constructores de Catedrales encontramos el nombre de una mujer, Sabine de Pierrefonds, hija de Hervé de Pierrefonds, más conocido por su nombre germánico de Erwin de Steinbach, constructor principal de la Catedral de Strasburgo. Sabine esculpió algunas de las notables estatuas de Notre Dame de París, y a su vez en tanto que Maestra de Obra, formó Aprendices en su oficio. Y es probable que no fuera la única mujer en ser Maestra del Oficio.
También se puede pensar en la recepción de las esposas de los Maestros, pues en las ”Antiguas Constituciones de los masones francos y aceptados, tomadas de un manuscrito escrito hace 500 años” de J. Roberts, escrito en 1722, en la parte del Reglamento de los Aprendices, dice: “No revelaréis los secretos o proyectos de vuestro Maestro o de vuestra Maestra ...”
En los archivos de la Logia de York N° 236, que perteneció a la antigua Gran Logia de toda Inglaterra, existe un manuscrito de 1693, por el que nos enteramos que durante una recepción en el Siglo XVII: “Uno de los antiguos toma el Libro, y aquél o aquella que debe ser hecho masón posa las manos sobre el Libro, y le son dadas las instrucciones”.
Incluso la iniciación femenina a la masonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714.
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Mujer y Masonería: La lucha por la absoluta "Igualdad" (y II)
Para citar un ejemplo, la Guilda (corporación) inglesa de los Carpinteros de Norwich, que data del 1375, a la que también pertenecían los masones de York, recuerda que: “Todos los años, el sábado siguiente a la Ascensión, los Hermanos y Hermanas se reunirán en un lugar determinado para recitar oraciones en honor de la Santa Trinidad, por la paz y la unión del país...” “Si muere algún miembro de la guilda, sus Hermanos y Hermanas habrán de rezar por él ...”
Entre los constructores de Catedrales encontramos el nombre de una mujer, Sabine de Pierrefonds, hija de Hervé de Pierrefonds, más conocido por su nombre germánico Erwin de Steinbach, constructor principal de la Catedral de Estrasburgo en el 1277. Sabine fue responsable de tallar el pórtico de esta catedral así como de esculpir algunas de las notables estatuas de Notre Dame de París. También por su condición de Maestra de Obra, formó Aprendices en su oficio.
Pensamos también en la recepción de las esposas de los Maestros, pues en ”las Antiguas Constituciones de los masones francos y aceptados”, tomadas de un manuscrito de una antigüedad de 500 años anterior a ser editado en 1722 por J. Roberts, en la parte del Reglamento de los Aprendices, dice: “No revelaréis los secretos o proyectos de vuestro Maestro o de vuestra Maestra ...” En los archivos de la Logia de York N° 236, que perteneció a la antigua “Gran Logia de Toda Inglaterra”, existe un manuscrito de 1693 (denominado York Nº 4), dónde podemos leer lo que sigue respecto a una recepción del Siglo XVII: “Uno de los antiguos coge el Libro, y aquel o aquella que debe ser hecho masón, pone las manos sobre el Libro, y le son dadas las instrucciones”. Incluso, la iniciación femenina dentro la francmasonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714 .
Si consideramos importante efectuar una búsqueda histórica de los orígenes y parte de la base de inspiración de lo que posteriormente representará la masonería especulativa, necesariamente nos hemos de dirigir a los denominados "Antiguos Deberes" u obligaciones (Old Charges). Estos se componen de un material de aproximadamente ciento veinte documentos manuscritos que han sobrevivido hasta nuestros días, referentes a normas y reglamentos que gobernaban el arte y la ciencia de la construcción antes del surgimiento del sindicalismo moderno. Estos documentos datan de unos trescientos a seiscientos años atrás. El más antiguo conocido es el denominado "Regius" y, según los expertos, fue redactado sobre el 1390; se trata de un extenso poema, de rima arcaica denominada "doggerel verse", que se encuentra en el British Museum. De éste destacamos unos extractos de particular interés:
“Este gran clérigo se llamaba Euclides,
Su nombre era conocido en todo el mundo.
Pero este gran clérigo ordenó
A quien más elevado estaba en este grado,
Que debía de enseñar a los más simples de espíritu
Para ser perfecto en este honrado oficio;
Y así debían instruirse el una al otro,
Y amarse juntos como hermano y hermana.”
También en el Artículo Décimo leemos:
“El décimo artículo sirve para hacer saber,
A todos los del oficio, grandes o modestos,
Que ningún maestro puede a otro suplantar,
Sino estar juntos como hermana y hermano.”
Finalmente en su punto noveno encontramos:
“El noveno punto va dirigido a aquel
Que es el intendente de nuestra sala
Si os encontráis juntos en la cámara
Servios uno al otro con calmada alegría;
Gentiles compañeros, lo debéis saber,
Cada cual debe ser intendente por turnos,
Semana tras semana, sin lugar a dudas,
Todos a la vez intendentes deben ser,
Para servirse unos a los otras, amablemente,
Como si fueran hermano y hermana;”
Llegados hasta aquí, permitidme efectuar la siguiente reflexión: La aparición de la Masonería Moderna o Especulativa en 1717, con la organización de la Gran Logia de Londres supuso una desviación de la tradición masónica anterior. Años más tarde este hecho generó la revuelta de los masones operativos liderados por el H.·. Laurence Dermott, quien constituyó la Gran Logia de los "Antiguos" según las viejas instituciones. Es innegable que la fuente de la Tradición Masónica radica en la Masonería Operativa anterior a 1717, de dónde se deduce que la Gran Logia de Londres era cismática e irregular "ab initio". Por lo tanto hablar de los conceptos de regularidad y legitimidad resulta un tanto complejo y delicado. La evolución es absolutamente necesaria siempre que se conserve aquello que es "esencial" para determinar el pensamiento masónico, y curiosamente, algunas propuestas concretas que pueden parecer innovadoras, ya eran de aplicación en la tradición masónica antigua.
Vemos, pues, que el problema generador de división masónica alrededor del concepto “regularidad”, responsable entre otras diferencias, de la no aceptación de la mujer como miembro de nuestra Augusta Orden, se reduce a la clasificación que ciertas Obediencias reservan para otras en función de su origen, Ritos y creencias. Simbólicamente, se aplica este término a los masones que están activos (inscritos en una L.·. y a plomo con sus obligaciones) y de la Logia que cumpliendo con las condiciones constituyentes, está instalada y reconocida por una Ob.·., quien le otorga una Carta Patente ofreciéndole “legalidad- regularidad” para ejercer su trabajo bajo su jurisdicción. Pese a esto, esta legalidad adquirida obedencialmente, no es condición “sine qua non” para definir su calidad masónica. Recordamos que una Logia Justa y Perfecta disfruta de completa independencia de otra Logia o Gran Logia para desarrollar sus trabajos. ¿Dónde encontramos pues, el “fons et origo” de la esencia masónica?
Ésta probablemente radique en los Landmarks o Antiguos Límites, puesto que son los Principios Generales de Derecho Masónico, normas de derecho no escrito, que cumplen una importantísima tarea fundamentadora, interpretativa, integradora y limitadora. ¿Pero qué son estos landmarks o linderos? Algunos de estos linderos son comunes, otros bastante diferentes dependiente de quien haya hecho una relación (Mackey, Mac Bride, Pound, Pike, u otros) llegando en algunos casos a encontrarse en total contradicción. Sólo unos pocos linderos de los muchos que aparecen en las numerosas listas coinciden o son muy similares a las Obligaciones contenidas en los antiguos Estatutos de la Cofradía. Los verdaderos Landmarks constituyen reglas rectoras, puntos de partida y de referencia, dónde su observancia permito garantizar la conservación de la esencia masónica siempre y en todas partes. Nos estamos refiriendo entonces a aquellas ideas básicas sobre las que se fundamenta la Institución Masónica, que surgen lógica y racionalmente de aquello que ha sido, es y será la Orden en su propia naturaleza. Vemos en ellos aquellos principios o reglas de gobierno masónico que supuestamente determinan el espíritu de nuestra institución, y que por provenir de tiempos remotos, se tienen en su mayor parte por inviolables. Dentro de estos linderos se encuentra la masonería, fuera de ellos, no existe. Por lo tanto, ninguna Gran Logia los puede derogar, ignorar, modificar o añadir y tienen como características el ser fundamentales, preexistentes, subordinantes, universales e inmutables. Existen y permanecen sin necesidad de ser enumerados, ni contenidos en un código. Podríamos “atrevernos” a intentar citar algunos que considero como muy evidentes:
La Masonería es una Institución cerrada y permanece a cubierto. El Simbolismo forma parte integrante de la Masonería.
La Logia representa el lugar físico y espiritual de encuentro de los Masones.
La Masonería es defensora de los derechos humanos.
Los Masones son seres humanos libres y de buenas costumbres. La Masonería le opone al dogmatismo, el libre examen, el libre pensamiento y la razón.
La Masonería es ajena como institución a la práctica religiosa.
La Masonería es ajena como institución a la práctica política.
La Masonería es una institución democrática.
Paralelamente, nos aparecen los Antiguos Usos y Costumbres. Éstos también son normas de derecho no escritas, que sin tener las características de los Landmarks, cumplen una tarea supletoria en el derecho masónico aunque pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia de la Orden. Los Antiguos Usos y Costumbres no tienen la connotación de principios generales y deben ser estudiados como prácticas reiteradas que se han convertido en costumbres aceptadas y se deben tratar de forma diferente, entre otras razones porque estas no tienen el carácter de esencialidad, inalterabilidad o inmutabilidad. La exigencia de la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la exclusión de la mujer no son reglas esenciales o fundamentales para la Orden Masónica. Resaltamos como curiosidad, que la Gran Logia Unida de Inglaterra los enuncia en un lugar diferente a los Antiguos Límites y de estos Landmarks no ha elaborado ninguna lista que los defina o que ni siquiera los enumere . Los tradicionalmente presentados como Landmarks, como la lista de Mackey y otras similares, suelen ser antiguos Usos o Costumbres, pero no Landmarks o Principios Generales de Derecho Masónico, ya que no reúnen las características antes mencionadas. En este sentido, la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la regla de la exclusión de las mujeres, no son Landmarks sino Antiguos Usos . Pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia masónica. De hecho, las Logias europeas principalmente que ya retiraron estas prohibiciones deben sentirse completamente legitimadas sin ningún género de dudas, siendo el problema, más de relaciones internacionales en lo que respeta al reconocimiento por parte de determinadas obediencias abocadas a defender unas posturas intelectualmente y moralmente insostenibles a día de hoy dentro de una sociedad de progreso y libertades. El cambio de parecer de estas últimas se producirá tarde o temprano, y la meta de unión universal francmasónica estará algo más cercana y menos utópica.
Por todo esto, como defensores del ideario francmasónico, reconozcamos y devolvamos los derechos que pertenecen a la mujer tanto por sus cualidades como por justicia universal, y hagamos operativo este sentimiento igualitario para todos los seres humanos en cualquier situación que así lo requiera. Es nuestro deber y responsabilidad.
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)
Mujer y Masonería: La lucha por la absoluta "Igualdad" (I)
Nuestro mundo ha experimentado grandes progresos, aunque muchos de ellos se han materializado de manera desigual en diferentes aspectos. Uno de los grandes adelantos sociales y de valores lo representa la teórica conquista por parte de la mujer de la igualdad de derechos cívicos y de oportunidades con los hombres, con todavía numerosas y desgraciadas excepciones por ahora. No siempre fue así. La mujer era tanto o más importante que el hombre en los cultos y creencias antiguos. Esta importancia también adquirió significado en la vida social y comunitaria, hasta llegar a las diversas formas de matriarcado.
En tiempos prehistóricos, la mujer tenía una activa participación en los cultos agrarios de fertilidad. Recordemos el culto a las “Diosas Madres” ya vigente en la etapa “auriñacense” del paleolítico superior (30.000 AC). En la Antigüedad, de Mesopotamia y Egipto, el culto a la diosa Naturaleza pasó a la Europa mediterránea. Durante miles de años la religión del área mediterránea y Europa, desde Anatolia hasta el Próximo Oriente, expresó el culto a la Diosa, metáfora de la naturaleza, y sus ciclos representaron la vida, la muerte y la regeneración. La civilización matriarcal de la Vieja Europa llegó a su máximo esplendor durante el 5º milenio AC. Respecto a los ritos de Iniciación y las formas de sacerdocio, desde los más elementales hasta los culturalmente mejor elaborados, la mujer ocupaba un lugar de preferencia. En el Antiguo Egipto, las mujeres participaban activamente en los Misterios de Isis y Osiris, del mismo modo que en Grecia en los Misterios de Eleusis instituidos por la diosa Deméter. Las invasiones por razones probablemente económicas de los indoeuropeos, no obstante, impusieron una estructura social patriarcal, y un panteón con dioses predominantemente masculinos. Los nuevos soberanos déspotas buscaron el apoyo de Sacerdotes y poetas para dar fundamento religioso a su ideología política que les ayudara a gobernar con normas morales y legitimara sus acciones agresivas y su poder absoluto. Fue así como se efectuó la reforma religiosa, creando y divulgando mitos, usados con la expresa función de propagar la ideología patriarcal. Los nuevos mitos aportaban claves útiles para la existencia, servían para imponer, amparar y mantener una situación de superioridad masculina, modelaban conductas diferenciadas de cada sexo y servían para subordinar, someter y disciplinar a las mujeres, a la vez que para justificar el orden impuesto y asignarle una base moral. Esta justificación religiosa permitía la guerra, como cumplimiento de indicaciones Divinas y, amparándose en la misión grandiosa de extender su religión, pretendía convertir al resto del universo. Antes de aquellas invasiones indoeuropeas, los pueblos del continente no utilizaban armas, vivían en ciudades abiertas y se dedicaban esencialmente a la agricultura, la artesanía y el comercio. Podemos de este modo diferenciar estas anteriores “sociedades solidarias” respecto a las “sociedades de dominación” que se impusieron finalmente. Las invasiones indoeuropeas consolidaron la sumisión de la mujer plasmadas ciertamente en las religiones de Libro Sagrado: el judaísmo, el islam y el cristianismo.
Este conjunto de factores: comportamientos innatos y adquiridos, normas de derecho, usos y costumbres tradicionales y preceptos religiosos erróneos, mantuvieron a la mujer en un grado de inferioridad en relación al hombre . Muchos de quienes se oponen a la admisión de la mujer en Francmasonería, esgrimen como únicos argumentos, unas veces el de la "Tradición", otras las Constituciones de 1.723, y algunos van mucho más allá recurriendo a teorías antropológicas de nula base científica y de fascistas reminiscencias que ahora me ahorraré comentar. Estas posturas intentan impedir que más del 50% de la Humanidad beba de las mismas fuentes del Conocimiento que los hombres "libres" y nacidos de mujer. Las Constituciones de Anderson (1.723)., salidas de a imprenta de Willian Hunter, Londres, el año Masónico de 5.723 (1.723 E.··.V.··.), representan unos de los puntos discordantes. Es en su Sección Segunda (Obligaciones de un Francmasón, apartado III), dónde está el origen de lo que todavía hoy continúa sembrando la polémica: "Los candidatos admitidos como miembros de la Logia, deben ser buenos y leales, nacidos libres, de edad madura y discreta, no esclavos, ni mujeres, no inmorales o escandalosos, sino de excelente reputación". Resulta a todas luces incomprensible que una Fraternidad que ha luchado contra toda clase de "dogmas", acabe por "crear" y "mantener” uno, para justificar la no participación de la mujer. Esta postura "dogmática" se fundamenta en un párrafo de un documento producto de la mentalidad de aquellos años y elaborado por hombres de iglesia (no olvidamos la calidad de pastores protestantes de Anderson y Désaguliers), puritanos y con un concepto sobre la inteligencia y aptitudes de la mujer de su época totalmente diferente al nuestro. Anderson excluye a las mujeres, no por una cuestión iniciática o relacionada con la Tradición, sino por un hecho histórico constatable en aquella época: las mujeres vivían y morían bajo la tutela masculina y prácticamente nadie las consideraba libres. Refiriéndonos nuevamente a esta lectura dogmática, resulta curioso, que en el Artículo XXXIX (último de ellos) de los Reglamentos Generales, recopilados por George Payne (Segundo Gran Maestre de la Logia de Londres) el año 1.720 (tres años antes de las Constituciones de Anderson), se diga: "Cada sesión anual de la Gran Logia, tiene poder inherente y autoridad para hacer nuevas reglamentaciones o alterarlas, para el beneficio real de esta antigua Fraternidad.."
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
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La presencia de la Mujer en la Masonería de Oficio (Operativa) y su progresión en el seno de la Orden
Ni siquiera históricamente (ver trabajos académicos del prestigioso historiador medievalista francés Jean Gimpel y en los estatutos de Boileau, Paris, del S. XII entre otros muchos) encontramos que fuera negado el acceso en la Mas.•. de Oficio (Operativa) a las mujeres donde estaban también incluidas. Así, del mismo modo en el ámbito especulativo, rápidamente bajo la influencia Modern en la Europa continental proliferaron los Trabajos Mixtos (ver los Rituales del Marquis de Gages en los Países Bajos Austriacos y el fenómeno de la sociabilidad en la Ilustración, o en el entorno del propio Conde de Clermont del S. XVIII).
Sólo un giro dogmático traducido en la fusión de 1813 impidió la natural revisión de las fundacionales Constituciones de 1717, abriéndose la tendencia de reconocimiento y recepción de la mujer en las históricas obediencias masónicas continentales Gran Oriente de Bélgica y Gran Oriente de Francia, que hoy día, entre otras muchas, las reconocen y reciben plenamente.
Por fortuna, cada vez más son las OOb.•. y Potencias Filosóficas, sobre todo al abrigo del Rito Francés de los Modernos, que reconocen a la mujer con pleno derecho masónico, respetando también la libertad de Trabajar en Talleres Masculinos, Femeninos y Mixtos.
Hoy nuestra actual masonería, y muy especialmente el Rito Moderno debe recoger el testigo y proseguir con la expansión de los valores inherentes que ostenta, libre de toda discriminación o imposición dogmática en defensa de unas sociedades más justas, libres, laicas y solidarias.
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
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Mirando al Oeste: el Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz. Grande Capítulo Geral do Rito Moderno e Francês de Portugal
Estos últimos años masónicos han venido plagados de firmas de tratados de amistad y reconocimiento entre diversas potencias masónicas en los más variados Orientes.
Estos actos me parecen positivos desde la perspectiva de materializar uno de los distintivos de nuestra Orden en cuanto a su universalidad, y unidad desde la diversidad/pluralidad de realidades. Ahora bien, la otra cara de la moneda es cuando esta “búsqueda” u “obtención” de reconocimientos viene dada por una actitud acomplejada/apocada del demandante o provoca reacciones de prepotencia en aquellos que la obtienen (o la otorgan).
Es la extendida confusión del concepto de legitimidad y de la arbitraria, en ocasiones, aplicación del término masónico de regularidad. Existen diversos análisis de este último término, desarrollados hasta la saciedad, y en el que difícilmente se llega a un consenso cuando se basa en criterios condicionantes, arbitrariamente demandados en su génesis relativamente cercana, visible con una simple inmersión en la historia y pre-historia de nuestra hoy “entendida” francmasonería, a la que gusta denominar como especulativa, un término, la regularidad, del que casi todo el mundo se atreve a hablar pero del que tan pocos han ido al fondo con mente abierta. Es curioso como en este último grupo de Hermanos y Hermanas investigadores, estudiosos o que simplemente han reflexionado sinceramente sobre el asunto, se encuentran las posiciones más tolerantes, inclusivas, receptivas y, simbólicamente, más auténticas.
Y es que claro, en mentes medianamente ilustradas o esclarecidas, tres malletazos o un papel timbrado no pueden tener la “magia” de convertir en regular a lo que nació sin serlo, o legitimar algo sobre bases más cercanas a lo político-administrativo que en el trabajo bien hecho a lo largo de la historia. Daría entonces la sensación que estas “sagradas” etiquetas, se otorgan o se quitan al antojo de jerarquías de influencia dominante, y los demás, subyugados a poder estar “tocados” por los susodichos, perderían el trasero por recibir ese “abrazo” (a veces del oso) aunque para ello tuvieran que hacer la tenaza a terceros, eso sí, muy fraternalmente y hasta con mente muy liberal en ocasiones.
Pero que no se preocupe el masón recién iniciado: eso no es la masonería.
Y veremos de todo, como en botica: ver trabajar muy regularmente, muy legítimamente a estructuras independientes tildadas de salvajes, irregulares y demás bellos calificativos, y otras, reconocidas con adjetivos “pata negra”, hacerlo con no tanta calidad como sería de presuponer, y otras que sí,... en fin para volverse loco si se deja uno llevar por lo que le digan sin conocimiento de causa. Lástima que el tema se ve una vez dentro, y no hay forma humana de que sea de otro modo. Analizaremos en otra ocasión más a fondo ese ya desgastado vocablo “regular” y el concepto de “legitimidad” desde un punto de vista estrictamente semántico, filosófico, histórico e iniciático.
Pero dejemos de lado esta pequeña introducción reflexiva para pasar a mostrar una de esas estructuras referenciales y que nos impacta por su antigüedad y legitimidad histórica en el contexto de los Órdenes de Sabiduría del Rito Francés.
Acostumbrados a mirar sobre todo hacia el Norte o más allá del Atlántico, no debe pasarnos desapercibido echar una mirada a nuestro más cercano vecino del oeste de la península para poder apreciar que su masonería no es de “hace cuatro días”. Vamos a centrarnos, pues, en el Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz. Grande Capítulo Geral do Rito Moderno e Francês de Portugal.
La constitución de Logias Masónicas en Portugal parece ya remontarse a 1727, ya sea fruto de militares y comerciantes Ingleses y escoceses e incluso de franceses dedicados también al comercio en estos lares. La figura de Hipólito Costa en la estructuración y configuración de la masonería portuguesa a principios del XIX es fundamental tras, cómo no, una intensa persecución por la Inquisición tan bien conocida en toda la península. Las peripecias y viajes de este histórico personaje así como otros detalles de contexto histórico que no abordaremos en este artículo, llevan a presuponer que el Rito Francés, cuyos rituales fueron publicados e impresos en 1801, fuera el rito oficial del primer Gran Oriente Lusitano en su origen.
La fundación del Gran Oriente Lusitano data de 1802. Dos años más tarde, el 25 de abril de 1804, se firmó un Tratado de Amistad con el Gran Oriente de Francia (donde ya aparece el grado de Caballero Rosa-Cruz entre los masones portugueses firmantes, mostrando su preexistencia a dicha fecha, probablemente desde 1802).
A través de este Tratado entre el GOL y el GODF se ha acreditado la existencia y funcionamiento de los Órdenes de Sabiduría del Rito Francés en Portugal, al menos desde 1804, año en el que posiblemente se expidiera una patente de forma oficial. Por otra parte, la Constitución del Gran Oriente Lusitano de 1806, se refiere explícitamente a los diferentes órdenes y capítulos de Rito Francés, en su capítulo III y el artículo XIII, que presupone la existencia de un "Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa Cruz", así como varios capítulos.
Mientras que en Francia por otras razones dignas de análisis a fondo, los Órdenes de sabiduría dejaron de ser practicados durante unos 170 años (aproximadamente desde 1830 hasta 1999) en Portugal, por su parte, la labor del Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, prosiguió durante este largo período, a pesar de las numerosas persecuciones y prohibiciones de las que fue objetivo la masonería, trabajado de forma ininterrumpida desde 1804 hasta 1939, es decir, alrededor de 140 años. Después de que Salazar prohibiera la masonería en 1935, de manera totalmente subterránea, los últimos supervivientes del "Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz, se incorporaron al Supremo Consejo de Grandes Inspectores Generales del Grado 33 del Rito Escocés Antiguo y Aceptado para Portugal y su jurisdicción, a través del Acuerdo de 1939 y, a partir de esta fecha, el Rito Francés o Moderno dejó de ser practicado en Portugal.
Sólo en 1991, después de la Revolución de los Claveles de abril 25 de 1974, con la fundación de la Logia Simbólica "Delta", el Rito Francés fue reintroducido en el Grande Oriente Lusitano, que fue practicado durante 10 años exclusivamente por esta Logia. Desde 2001, un grupo importante de masones del Gran Oriente Lusitano, perteneciente a la Respetable Logia "Delta" y hermanos españoles del Grande Oriente Ibérico (G.O.I.) fueron elevados en Francia, bajo la auspicios del Gran Oriente Latino Americano (GOLA) de manera gradual y sucesivamente en los diferentes Órdenes de Sabiduría del Rito Francés, con el apoyo de los Hermanos del Gran Capítulo General del Gran Oriente de Francia.
Esta chispa inicial desembocó finalmente con la creación del "Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal” con patente concedida por el GOLA quien a su vez la había recibido del GODF el 20 de diciembre de 2000.
El Supremo Consejo del Rito Escocés Antiguo y Aceptado, depositario desde el Acuerdo de 1939, de la Patente y de todos los poderes de la jurisdicción y la administración del Rito Francés para Portugal, reactivó en 2003, el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa - Cruz, con masones elevados en Francia, así como con otros, especialmente los MM.·. II.·. HH.·. Fernando Valle y Emídio Guerreiro, iniciados en el Rito Francés hacía 80 años, últimos supervivientes desde 1939 a la edad de 103 y 104 años respectivamente en 2003, transfiriendo a este Soberano Gran Capítulo la Patente y todas sus prerrogativas, permitiendo así el restablecimiento de la Cadena de Unión del Rito Francés en Portugal, en toda su plenitud.
Es remarcable el hecho que el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz trabajó desde 1804 hasta 1939 sin interrupción, y que su reactivación en 2003, con la presencia de los Venerables Hermanos Fernando Valle y Emídio Guerreiro, de 103 y 104 años de edad, implicó que nunca se rompiera la Cadena de Unión iniciática del Rito Francés y sus Órdenes de Sabiduría desde 1804 hasta 2003, por lo tanto durante cerca de dos siglos. Estos masones, convocados por el hermano Fernando Valle el 27 de agosto de 2003, decidió por unanimidad en la Asamblea del 5 de septiembre de 2003, en el Palacio Masónico de Lisboa, la integración de estos dos organismos en una única Potencia Masónica, Libre y Soberana, con el fin de preservar el legado histórico y la tradición del Rito Francés en Portugal, constituyendo así el Soberano Gran Capítulo de Caballeros Rosa-Cruz - Gran Capítulo General del Rito Francés de Portugal.
Hemos dado así una breve recorrido sobre la historia del Rito Francés en el Oeste de la península Ibérica que, como en otros lugares, tiene muchos más capítulos, también llenos de interés, pasión y, por qué no, suspense. Será otro día.
Trabajo parcialmente publicado por Joaquim Villalta en el Blog Racó de la LLum el 29 de agosto de 2009, obviamente firmado con sus Grados, responsabilidades y cualidades masónicas actualizados el 07 de noviembre de 2023.
Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
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