Sobre la figura de San Juan y las apariciones de diversas interferencias

 A pocos días ya del solsticio de invierno en el hemisferio Norte, directamente vinculado a la columna B del Templo de Salomón como hemos desarrollado en otros artículos, se ha interferido sin ningún tipo de pudor siguiendo múltiples argumentos astronómicos, astrológicos e incluso importados de culturas diversas aduciendo a la Madre Naturaleza, ya no uno, sino dos San Juanes, como figuras imprescindibles dentro de la Orden, sin contar además el aditamento Ramsayano caballeresco, fruto de esa fantasiosa y humorística descendencia de determinada Orden de San Juan, caldo de cultivo para justificar el culto (casi adoración) con lo noble, esa falsa herencia de esos caballeros medievales, fruto de imaginaciones ávidas de nobleza, gallardía, valentía, algo así como receptores de un legado del que no tienen vinculación ninguna.

A esas transmisiones interesadas en acrecentar los egos, se han también adosado elementos exógenos donde la duplicidad de los Santos tampoco se ha librado de ello: dos solsticios, pues dos San Juanes. Así, con fundamentos variopintos y argumentos para todos los gustos, podríamos inserir (como de hecho se ha hecho) auténticas falsedades que incluso rozan lo necio.
Tras esta reflexión quiero centrarme en la belleza de lo real, o sea, de lo que simplemente es, procurando argumentar la figura de San Juan dentro de la Masonería con algo tan apasionante como la razón de ser de este personaje dentro de la historia de la Orden.
Así, volviendo a reflexionar sobre el asunto, Patrick Négrier me recordaba una vez más la elección de la fecha de San Juan de invierno (el Evangelista), y su presencia (y solamente la de un San Juan).

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario del Soberano Grande Capítulo de Cavaleiros Rosa-Cruz de Portugal - Gran Capítulo General del Rito Moderno y Francés de Portugal
Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Gran Canciller para Europa del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo de la República del Ecuador
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Miembro del Suprême Conseil du 33e Degré pour la France du Rite Ancien et Accepté (Cerneau's Rite)
Pasado Presidente de la Confederación Internacional de Supremos Consejos del Grado 33º del R.·. E.·. A.·. A.·.
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)

Sobre las figura de San Juan y las apariciones de diversas interferencias (de mis conversaciones con Patrick Négrier)

En principio, al inicio del Siglo XVII, cuando los masones calvinistas presbiterianos se oponían ferozmente a todo alineamiento sobre el modelo anglicado de los Antiguos Deberes que recibían el día de San Juan de invierno (27 de diciembre), se desmarcaron y recibieron a sus propios aprendices en una fecha distinta (Négrier, "La Tulip", pág. 26, donde cito al Profesor David Stevenson, "Les premiers Francs-Maçons", 2000, pág. 93).

Pero con el paso del tiempo, los practicantes de la "Palabra de Masón" terminaron por volver al uso escocés de la recepción de los aprendices el día del San Juan del 27 de diciembre (ya que si bien el calendario de los santos fue rechazado por los calvinistas, el Apóstol Juan no fue rechazado por estos puesto que sus escritos formaban parte de las escrituras), como así aparece textualmente en el Edimburgo de 1696 que menciona la noción de "Logia de San Juan" término mencionado en otra parte por James Anderson en sus "Constituciones" de 1738.

No obstante, este uso de recibir a los aprendices en Logia el 27 de diciembre, día de San Juan, no fue la regla general. Así, en 1723 el "Examen de un masón" menciona la "Logia de San Esteban" que se celebra el 26 de diciembre. Ahora sabemos que este catecismo, que era el de la Gran Logia de Londres, fue muy probablemente transmitido por el pastor escocés calvinista presbiteriano James Anderson, quien solamente podía haberlo obtenido de su padre que era miembro de la Logia de Aberdeen, la cual practicaba el Mason Word desde al menos 1699 y por lo tanto recibía aparentemente a los aprendices el día de San Esteban el 26 de diciembre, lo que confirma la declaración de David Stevenson mencionada anteriormente.

Patrick Négrier



Le Rite Français est une belle histoire écossaise…

Le Rite Français est une belle histoire écossaise…

Il en va des rites maçonniques comme des espèces vivantes, le temps et les circonstances leurs ont permis de se différencier, à tel point que nous avons aujourd’hui, pratiquement oublié qu’ils ont une seule et même origine.

Et pour nos rites, inutile de remonter le temps jusqu’au carbonifère, l’histoire n’est pas aussi ancienne.

Bien sûr, nous avons coutume d’affirmer dans une envolée identitaire et lapidaire, que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, mais cela ne peut s’adresser qu’aux œuvres de la nature et non à celles de l’homme souvent convaincu de découvrir en permanence le miracle de l’eau tiède.

Ainsi, il est notoire que pour les espèces, le doigt providentiel d’un grand architecte, bien sûr ad libitum, semble avoir joué un rôle important ; mais il serait inexcusable de croire que dans la construction des rites, le doigt de l’homme ne lui a servi qu’a se gratter là où ça le démangeait…

De plus, les frontières artificiellement entretenues entre les différents rites, par d’augustes hiérophantes et néanmoins contractuels devant l’éternité, se voudraient imperméables, les contenus réciproquement incompréhensibles et les adeptes émergeant en permanence d’une animalité autant décriée que le rire, seraient inaptes à la connaissance de rites multiples car trop perturbant pour le frêle esquif que nous portons sur les épaules.

Le tout benoîtement accepté par une cohorte des « aujourd’hui j’ai des plumes, bien plus qu’hier et bien moins que demain » et qui gèrent leur cheminement maçonnique comme une carrière professionnelle, sinon par amour propre.

En mesurant notre ardeur au travail, nous pourrions, peut-être et par faiblesse, accepter l’argument, si des préoccupations de poulailler et de sauvegarde de fond de commerce n’étaient sous jacentes à ces préceptes angéliques.

Alors qu’en est-il ?

A l’étude, la différenciation des pratiques rituelles en maçonnerie, semble presque exclusivement trouver ses origines sinon sa justification dans la mise en place de ce qui est communément appelé aujourd’hui les hauts grades.

Si nous poussons juste un peu la réflexion pour conforter cette thèse, nous pourrions convenir que les trois premiers degrés ne peuvent, malgré quelques différences, justifier la nomenclature ou la dichotomie actuelles et encore moins des impossibilités futures d’assister, à niveaux équivalents, aux cérémonies de réception des différents rites.

D’ailleurs, il n’est jamais venu à l’esprit de quiconque d’interdire à un frère du REAA par exemple, d’assister selon son propre grade bleu à une initiation ou à une élévation à la maîtrise au RFM et pourtant sont-elles strictement identiques ? Autant me direz-vous que le contenu du 18ème du REAA avec le 4ème Ordre du RFM Alors…. Mystère !

Ce qui n’aurait aucun sens dans le bleu, semblerait en prendre dès qu’on franchit la mystérieuse porte des ateliers supérieurs où à bien regarder, je me demande encore ce qui à permis de les nommer ainsi en dehors de toute considération numérique.

Ainsi, telle est la règle on ne peut à niveaux équivalents continuer de faire ce que depuis le premier jour nous avons pris pour habitude de pratique.

A écouter ce concert, hélas trop répandu, cela signifie sûrement que la suite des évènements est impossible à partager car d’essence différente, à moins que d’y appartenir.

Avant de vérifier cette hypothèse convenons ensemble si vous le voulez bien que l’introduction du grade de maître pourrait être à l’origine du désarroi des ouvriers et du désordre intellectuel sur le chantier.

Le grade de maître est considéré par certains historiens, comme le premier des hauts grades. Il semblerait d’après d’autres, que les tout premiers grades post maîtrise étaient en fait une volonté de conforter la maîtrise ou des variantes de la maîtrise, des essais pourrions nous dire.

D’ailleurs, à titre d’anecdote, presque totalement et heureusement oubliée, nous avons échappé à la construction de la tour de Babylone en lieu et place du Temple de Salomon. Je vous laisse deviner les avatars de la suite…Je passe également sur la maçonnerie Noachite, pour éviter le déluge…

On n’a pas été jusqu’à faire tomber Hiram d’un échafaudage, mais presque : ainsi, nous avons frôlé l’accident de travail…

Cette orientation précédente laisse supposer que le troisième grade, dont la légende est commune à tous, est bien la charnière d’un ensemble de développements dont on ne peut dire que tous ceux qui ont été répertoriés, possèdent un contenu sérieux et intéressant.

Nos ancêtres, c’est une évidence, étrangers au métier, dépossédés des règles opératives et de la disparition du concret du chantier, ont largement ouvert la porte non seulement à d’autres sciences dites initiatiques mais aussi et hélas, à leurs propres délires. Il n’y a pas eu des illuminés qu’en Bavière et encore ceux là ne furent pas les pires.

Il suffirait pour s’en convaincre, de lire non seulement ceux tombés dans l’oubli mais également le contenu de certains grades inclus dans des systèmes ayant pignon sur rue.

Ainsi, à partir d’un grade commun encore pétri de l’enseignement des opératifs bien que s’en échappant par l’adjonction du mythe d’Hiram, nous découvrons que les routes des rites s’écartent, même si chacun jure que l’initiation est comme la république : une et indivisible et que son support est universel. A l’instar du Dieu unique que chaque religion dans son dogme, s’approprie de façon exclusive et assaisonne suivant ses propres préférences gustatives.

Mais revenons à notre hypothèse.

Vous m’avez souvent entendu dire depuis quelques années après en avoir étonné quelques uns, irrité d’autres, le béret enfoncé jusqu’aux oreilles, que les hauts grades du Rite Français procèdent du mouvement communément appelé Ecossisme.

Rien dans la lecture et mieux encore dans la pratique ne peut contredire cette évidence si par chance on en possède la connaissance même incomplète.

Tous les systèmes de hauts grades de notre environnement ont les mêmes sources d’inspiration, au delà des touches spécifiques, là aussi tardives et à bien regarder, ces dernières n’en constituent pratiquement jamais une clause d’intérêt majeur ou suffisant.

Dans la continuité de cette réflexion, j’ajoute aujourd’hui, le Rite Français contient dans le développement de ses cinq ordres l’essentiel des rites communément pratiqués, hier comme aujourd’hui, et que nous pourrions résumer à trois remarquables, à savoir : le Rite de Perfection, le Rite en sept grades de la mère loge écossaise de Marseille et enfin le plus tardif, le Rite Ecossais Ancien et Accepté.

En effet, et je passe sur le développement historique que chacun pourra retrouver dans les bonnes bibliothèques, les Ordres du Rite Français ont été codifiés non pour être un système s’ajoutant à d’autres mais pour être la vitrine dans laquelle tous les Francs-Maçons pratiquant dans les différents systèmes en vigueur au XVIII siècle pouvaient se reconnaître et surtout être reçus.

Pour l’anecdote, il n’est pas rare de trouver dans les tableaux de Loge de cette époque des Frères possédant des grades dont le titre signe l’appartenance ou une pratique à des systèmes différents.

Il convenait pour le moins de mettre en place un espace ordonné où tout ce monde pourrait se reconnaître dans une pratique commune.

Mais il ne serait pas honnête de s’en tenir à cette seule approche. Ce serait ignorer que les responsables du Grand Orient de l’époque avait quelques ambitions hégémoniques sur le monde maçonnique en cours d’installation. et que quelques luttes d’influence agitaient déjà les pavés mosaïques, Bref, rien de nouveau ou de pire…

Pour revenir au volet qui paraît le plus intéressant, le règlement du Grand Chapitre Général de France, ancêtre de notre structure actuelle, précise dans son règlement de 1784 (rappelons au passage qu’à cette époque le REAA n’existait pas encore en tant que tel et n’oubliez jamais que la plupart des degrés de l’Ecossisme ont existé avant d’être incorporé dans les structures rituelles actuelles )

« Le G.·.C.·.G.·. renfermera en son sein, autant qu’il sera possible, toutes les connaissances maçonniques.

En conséquences, les grades en partant de ceux qui suivent la maîtrise seront conférés successivement ainsi qu’il va être dit ci- après :

Toutes les formules différentes et multipliées seront classées et rangées suivant le grade dont elles dépendent.

Chaque grade ainsi classé sera connu sous la dénomination d’Ordre. 

Le G.·.C.·.G.·. renfermera toutes ses connaissances dans cinq Ordres.

Le Premier Ordre Elu Secret :

Il comprendra tous les intermédiaires de la maîtrise à l’Elu. L’Elu en sera le complément.

Le Deuxième Ordre Grand Elu Ecossais :

Il comprendra l’Ecossais, tous Ecossais possibles et ce qui est relatif.

Le Troisième Ordre Chevalier d’Orient :

Il comprendra le Chevalier d’Orient et ce qui y a rapport.

Le Quatrième Ordre Souverain Prince Rose-Croix :

Il comprendra le Rose-Croix et ce qui y est relatif.

Le Cinquième Ordre comprendra tous les grades physiques et métaphysiques et tous les systèmes particulièrement ceux adoptés par les associations maçonniques en vigueur. »

Nous voyons bien, par cette définition que l’ensemble du mouvement Ecossais se trouve englobé dans les différents Ordres du Rite Français, Ordres qui ne sont pas à proprement parler des degrés univoques, mais des espaces dans lesquels seront collationnés tout les degrés qui correspondent à un type de grade.

Il convient enfin pour confirmer l’hypothèse de jeter un regard sur le Cinquième Ordre et de comprendre sa définition. Cette réflexion sera brève compte tenu de notre degré.

Pour cela, je vous propose de prendre en considération deux éléments : le premier est historique, le second s’attache aux différentes pratiques connues.

A l’époque, aucun des systèmes actuels n’existait dans sa forme définitive. Il s’agissait donc de faire en sorte que le cinquième Ordre contienne toute forme de degré existant. Ainsi, nous avons eu en mains une description de l’époque du contenu cet ordre contenant plus de quatre-vingt degrés, dont un mémorable, pour la petite histoire, qui s’appelait le bien nommé chevalier de la balance degré que nous pourrions sans conteste réactiver même si à l’époque la connotation argotique n’existait pas…Bref !

Mais plus sérieusement nous pouvons convenir de l’inutilité à rassembler ce que la pratique et le temps ont écarté de nos différents rituels. Et considérer que l’Ecossisme se réduit au maximum à une quarantaine de degrés signifiant toutes classes confondues et en soulignant que certains sont très proches.

Quant aux rituels recensés a son sujet dont certains sont pratiqués, ils apparaissent sensiblement différents et pour la plupart, ils tirent leurs origines de grades de l’Ecossisme dont le Kadosch ou le chevalier du soleil par exemple.

Différentes classes qui semblent avoir exister en son sein. Deux sont immédiatement discernables dans le règlement de l’époque, puisque seule une partie d’entre ses membres étaient ad vitam dans des fonctions précises et cette structure répondait à un numerus clausus, mais c’est une autre histoire.

Pour conclure…

Par la composition et la structure de ses ordres la seule pratique du rite français pourrait en principe permettre une qualification de ses adhérents pour l’ensemble de l’Ecossisme . Il en représente même un aspect moderne.

Il reste cependant à débattre sur le bien fondé et la nécessité de la démultiplication des degrés d’autant que trois enseignements essentiels pourraient représenter l’Ecossisme, et que la considération de l’aspect contemporain de notre démarche pourraient à juste titre nous rappeler au caractère ancestral et unitaire de l’initiation.

Mais nous restons bien d’accord que le sujet de cette planche n’était qu’une matérialisation parmi d’autres, des chemins possibles que cette dernière pouvait emprunter.

Jean-Pierre Duhal, 5ème Ordre, Chevallier de la Sagesse, Grade 9 et dernier du Rite Français des Modernes, Souverain Grand Inspecteur Général, 33º du Rite Écossais Ancien et Accepté. Fondateur du Sublime Conseil “Provence et Fidélité”, Membre Fondateur du Ve Ordre et, Passé Très Sage et Parfait Grand Vénérable de la Chambre d’Administration du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France. Membre de l’Académie Internationale du Ve Ordre de l’Union Maçonnique Universelle du Rite Moderne.
 

El significado y la representación de la Logia

El presente trabajo está dedicado a la representación y significado de la Logia concebida desde un punto de vista muy personal, el cual comparto con ustedes.


El Método masónico pretende conducir al ser humano a armonizar de forma virtuosa su pensamiento, palabra y obra. Todo desequilibrio en estos términos nos aleja de la realización personal y del objetivo de la perfección. No en vano los signos de reconocimiento para cada grado nos evocan la importancia de estos conceptos esenciales, resultando dificultoso con frecuencia pulir aquellos aspectos más sutiles por situarse menos evidentes a nuestro intelecto debido a su ubicación primaria o instintiva.

Son muchas las tradiciones orientales que contemplan al individuo estructurado donde coexisten diversos planos diferenciados en su nivel evolutivo. La experiencia nos advierte de la facilidad de descenso a los inferiores, cuya consecuencia inmediata, es la percepción interna del citado desequilibrio conducente sin duda a un estado de “No Paz” y resultados destructivos y de dispersión tanto internos como externos. No obstante, resulta también fácil para el hombre evolucionado percibir y controlar anticipadamente estos estadios sin gran dificultad, pues de lo contrario la lectura resultante no es otra que deducir que no nos encontramos tan elevados como habíamos presupuesto. El ascenso a estados de conciencia superiores requiere de nuestro permanente examen y rectificación, aportándonos como salario de nuestra empresa una visión más comprensiva y de mejor entendimiento sobre nuestra real naturaleza y pertenencia a un conjunto que podría denominarse “Cósmico”. En este “Todo” convivimos y coexistimos personas de distinto estado evolutivo, y lejos de contemplar vanamente los elementos diferenciales, debemos exigirnos reconocer nuestra común íntima Naturaleza aplicando la práctica de las virtudes cardinales desde la máxima humildad. Es en estas personas donde se lleva a cabo la perfecta sintonía a la que hacía referencia entre pensamiento, palabra y obra, siendo teoría conceptual y práctica de vida una misma cosa sin contradicción: esto es el Arte Real sin ninguna duda.
Pero para ello precisamos de un lugar único, de espacio-tiempo, donde llevar a cabo el trabajo utópico de alcanzar la Perfección, aproximarnos a ese G.·. A.·. D.·. U.·. para algunos concebido como elemento simbólico de lo Bueno, lo Bello y lo Justo. Ese lugar es la Logia. En ella se fundamenta el crecimiento desde la individualidad colectiva, concepto este que puede aparentar contradictorio, pero que en definitiva no es más que la caracterización de dicho método donde nuestro ser más íntimo puede florecer y crecer libremente gracias a la interacción con el resto del grupo selecto y cerrado al abrigo de la realidad externa, a cubierto de las distorsiones de aquello que denominamos Profano.
Es este conjunto de individualidades que comparten un mismo fin generando un espacio Sagrado, entendido como digno de veneración y respeto, el que configura la Logia, y es solamente en su interior donde esa sinergia constructiva es realizable mediante la vivencia Ritual.
Parece importante precisar seguidamente qué entiendo por Logia: una Comunidad Iniciática reunida por un mismo Rito y alrededor de él.

Sabemos que el Rito, en sí mismo, no tiene necesariamente necesidad de un local puesto que él mismo define el espacio y el tiempo de su celebración, ¡el sólo vehículo del que verdaderamente se necesita somos nosotros! Y es esta estrecha interacción entre el Rito y nosotros mismos lo que hace la Logia.
Partiendo de aquí, estamos obligados a trasportar esta noción material de la Llave a una noción mucho más informal, en todo caso simbólica; la Llave de la Logia se convierte en otra cosa que un simple objeto, es un órgano ritual esencial que nos permite abrirnos a nosotros mismos, y nosotros a los otros, por la intermediación del Rito que es la Puerta.
Del mismo modo que decimos abrir o cerrar una puerta, decimos abrir o cerrar los Trabajos: si las palabras son las mismas, concebimos que se dirigen a dos niveles distintos de comprensión.
La Logia somos nosotros mismos, con y para los otros. La puerta de la Logia es el Rito. La Llave es lo que permite la celebración del Rito. Y esa llave es el elemento articulador de la Palabra.
Los masones hemos querido ligar etimológicamente el término Logia al Logos griego, o Verbo latino,” defensa, argumentación, verbo, palabra”, en el sentido de que en estos lugares de reunión se habla o se transmite enseñanza a través de la palabra.
Sin embargo no hay evidencia filológica de que ello sea así.
Logia proviene del italiano loggia: ‘galería’ que a su vez procede del fráncico laubja: ‘cobertizo enramado’, que posiblemente deriva del término germánico leaf:”hoja”. Sea como fuere, esa heredad simbólica importada de la masonería operativa también nos sería de absoluta utilidad, dado que era en esos cobertizos donde los masones guardaban sus herramientas, descansaban, se cobijaban y hacían sus recepciones Rituales según el Rito de los Antiguos Deberes.
Así, vincular al Logos esta colectividad generadora de crecimiento es simbólicamente bien llegada.

La Logia toma sentido pues por la palabra y su poder.
La palabra simboliza la afirmación creadora de la realidad haciéndola existir desde su estado potencial. Por tanto debe evocar consecuentemente a la idea o espíritu original reavivando en el masón una determinada forma mental. Con la Palabra, participamos consciente o inconscientemente del poder creador del Verbo, entendiendo este término como sinónimo de Logos o principio racional del Universo. Miembros y parte del Cosmos, aunque de infinitesimal magnitud, nuestra importancia es vital en la Obra conjunta. No hay pieza de un sofisticado mecanismo de precisión que deba despreciarse por su tamaño, pues todas ejercen su necesaria función e interactúan entre sí, generando tensiones y desequilibrios en nuestro mundo Objetivo cuando el funcionamiento de alguna de ellas es deficiente.
Es desde este ángulo de visión donde el francmasón valora la capital importancia acerca de su responsabilidad para tender hacia la perfección individual y de su encaje en el conjunto. Consciente de la complejidad que entraña su misma individualidad como microcosmos en su propio interior, debemos afanarnos primero en hacer coherentes nuestras fuerzas internas. Es por ello que conocedores de nuestro objetivo, poseedores de unas potencialidades desconocidas por nosotros mismos en muchos casos, y practicantes de un método de crecimiento y mejora, asumimos gustosos y libremente la búsqueda del equilibrio y la armonía con nosotros mismos y con nuestro entorno. Nuestra “conexión” con nuestros semejantes se efectúa por medio de la Palabra en su más amplio significado semántico. Me pregunto: ¿somos conscientes de su real valor, significado y poder?
Pensamiento, palabra y obra, conforman un ternario de un mismo Todo y naturaleza. Todo matiz negativo o uso inapropiado de alguno de éstos generará sin duda un desequilibrio en el conjunto de consecuencias seguras tarde o temprano.
La Palabra y su Uso debe ser para el Masón la representación en sí misma de su ser y naturaleza interna: esa manifestación fónica del citado Ternario que muestra inequívocamente su real estado evolutivo y su efectiva aportación a la Gran Obra Universal. Su adecuado uso le permitirá ya no sólo interactuar acertadamente con sus congéneres, sino ascender también a cotas mayores de perfección como medio conector con otros estados de consciencia.
No banalicemos su poder: la Palabra Crea o Destruye en función de antagónicas canalizaciones de una misma energía. Hagamos un buen uso de ella, congruente con pensamiento y acción, para que el resultado sea siempre lo más elevado posible.
Es pues en la Logia donde nace, crece y se ejercita colectivamente este Poder, manifestado tanto a nivel del Microcosmos Humano, como también representación del Cosmos, del Universo, todo ello sabiamente contenido y representado en nuestro Tapiz.

He dicho.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)



Le Monde prend sens à partir d’Autrui


Très Sage et Parfait Maître et Très Respectables et Parfaits Sœurs et Frères Cette phrase de notre rituel qui nous enjoint à voyager et à nous engager dans le monde avec responsabilité m’interpelle dans toute sa force. Qu’est-il ce monde ? les définitions en sont nombreuses : 

-Ensemble de tout ce qui existe sur terre, perçu par l'homme et le plus souvent en opposition avec lui, Ensemble constitué des êtres et des choses créés; pour certains cela peut-être l'univers, le cosmos, pour d’autres une autre définition nous rapprochera plus de notre ordre : « La communauté; la société des hommes vivant sur terre ». C’est l’Ensemble de tout ce qui existe, de façon réelle et concrète. 

Le monde impose sa réalité et l’actualité aujourd’hui ne fait que le confirmer. Nous savons que le monde précède toute construction humaine et existe avant tout langage. Il était là avant nous, il est là, et il sera toujours là. Ainsi

 Le Monde s’impose à nous alors que la réalité que nous en avions était de croire que le monde nous appartenait. Exister, c'est être au monde, La définition d’Autrui est encore plus complexe : c’est l’autre, le prochain ; c'est l'autre homme en tant que sujet moral conscient. Autrui désigne un individu, un autre humain, mais un individu indéterminé. La particularité d'autrui est qu'il désigne l'autre soi-même, l'alter ego : autrui, c'est un autre moi, qui est à la fois mon semblable, et pourtant différent de moi. Autrui est donc un autre, mais un autre n'est pas autrui. L'autre peut être un homme, un animal, Dieu, ou un objet matériel alors qu'autrui est toujours un être humain envisagé comme alter ego. 

La question qui se pose alors est: comment se peut-il qu’existe un autre que moi que je découvre parmi les choses et qui pourtant, comme moi, est un ego (un sujet) ? Comment peut-il y avoir un ego qui ne soit pas mon ego, qui ne me ressemble pas. Sartre dit qu'autrui c'est « ce moi qui n'est pas moi ». ... Autrui c'est à la fois le même, une conscience comme moi ; mais c'est aussi l'autre, dont la conscience et l’intériorité sont différentes. C'est la raison pour laquelle on dit qu'autrui est un alter ego (alter = autre, ego = moi, donc un autre moi. Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis » 

 La question est celle de l'identité et de la différence. L'ego cogitant ou sujet pensant de Descartes implique que c'est moi qui pense. Ainsi considérer qu’autrui me ressemble me permet de tenter de me transposer en imagination dans les vécus d'autrui. Il s'agit d'une expérience immédiate d'appariement dépendant de la spatialisation de mon imagination par laquelle je peux faire "comme si j'étais là-bas". Il s'agit en réalité d'une intersubjectivité qui implique que je ne suis humain que dans la mesure où je veux m'imposer à l'autre, à me faire reconnaitre par lui. C'est dans cet autre que se condense le sens de ma vie. Le Dasein de Heidegger expose que cet être-avec est une disposition constitutive de l'existence humaine. 

L'homme est toujours hors de soi, la présence d'autrui précédant obligatoirement la solitude car je ne peux être seul que si autrui manque. Etre c'est donc tout d'abord écouter la voie de l'ami que chacun porte en soi L'autre est donc celui-là même qui me fonde en tant qu'être dans la mesure où l'affirmation de ma différence passe par la perception de la subjectivité de mon interprétation. L'autre n'est donc qu'une théorie dont la dimension morale est absente. Levinas précise ainsi que le visage de l'autre est l'ouverture sur l'infini qui seule peut m'ouvrir à la dimension de sujet. « Autrui en tant qu’autrui, n’est pas seulement mon alter-ego. Il est ce que je ne suis pas » dit Levinas Au même titre que moi, l’autre est une conscience qui pense le monde et qui s’interprète lui-même. Comment pourrais-je avoir accès à une intériorité, à l’intériorité d’une conscience qui n’est pas la mienne. En effet, autrui n’est pas un objet mais un sujet, une identité qui ne m’est pas donnée de manière définitive mais qui se construit, qui évolue, tout comme moi. Grace à autrui j’ouvre la perspective d’un monde à entrées multiples. En effet autrui m’offre une vision sur le monde qui n’est pas la mienne, qui est la richesse de la rencontre Autrui est insaisissable. Comment deux libertés (la sienne et la mienne) peuventelles s’entendre et ne pas se heurter l’une et l’autre dans un affrontement perpétuel ? 

Hobbes nous dit que « L’homme n’est pas naturellement sociable » il n’est devenu sociable que par accident. L’état de nature était défini par un état de guerre permanent de tous contre tous « l’homme est un loup pour l’homme » Kant parle de « l’insociable sociabilité de l’homme », l’homme est tiraillé par la nécessité de s’associer à d’autres hommes (donc de participer à une vie collective) et en même temps le désir de rechercher à satisfaire son intérêt personnel (donc vivre de façon individualiste) Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis » 3 Autrui est donc une menace parce qu’un rival : il est insaisissable, il est une conscience dont l’accès m’est impossible. Mais si je ne peux connaitre autrui, je dois m’entendre avec lui par-delà cette inaccessibilité : si je ne peux connaitre autrui, je dois cependant le re-connaitre Claude Levi-Strauss nous explique 

- Les dispositions psychologiques naturelles font que l’on a toujours du mal à admettre ce qui est différent de nous, ce qui nous est culturellement étranger car face à l’inconnu on reste sans repère, sans point d’appui possible pour y répondre. Le premier mouvement est le rejet de ce qui ne nous est pas familier. x Cependant, il n’y a qu’une seule espèce humaine. Les civilisations ne sont que des expressions particulières d’une seule et même espèce, une seule et même humanité. x Ne pas reconnaitre l’humanité chez l’homme qui me fait face en le qualifiant de « barbare » signifie me conduire comme ce que je lui reproche d’être : ne pas reconnaitre l’humanité en l’autre : ne pas reconnaitre l’humanité en moi-même. En l’excluant de la nature humaine, je m’en exclue moi-même, c’est moi le sauvage : « en refusant l’humanité en apparaissant comme les plus sauvages ou barbares de ses représentants, on ne fait que leur emprunter une de leurs attitudes typiques. Le barbare, c’est d’abord celui qui croit en sa barbarie ». 

Ainsi, Autrui n’est pas seulement mon prochain, il est aussi mon lointain, il peut appartenir à une culture très différentes de la mienne avec différents codes sociaux. Autrui est celui qui incarne d’autres façons de penser dans le monde, de s’y rapporter avec des rites, des échanges… différents des miens. ; Autrui est ce qui m’est le plus proche et le plus lointain, il est celui qui m’humanise quand il est reconnu et qu’il me reconnait. Autrui est omniprésent dans notre vie, la coopération, l’entraide sont des éléments indispensables dans notre vie .Cela implique nécessairement l’autre auprès de nous, par ses avis, ses jugements, ses vécus et ses représentations sociales et ses valeurs, il donne une valeur aux nôtres, nous assurant d’exister en tant qu’être pensant L’expérience d’autrui prend principalement la forme d’une expérience éthique, autrement dit d’une expérience qui conduit à m’évader de moi-même et que je le veuille ou non à m’ouvrir à la différence de la personne d’autrui. Autrui est celui qui me met en question. Quel sens aurait le monde s’il n’était constitué que de moi identiques, aucun, nous serions dans un monde de robots Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis » 4 Que nous dit le Rituel au 4ème Ordre ?? Le devoir à l’égard d’autrui est clairement défini. « Allez dans le monde responsable de votre conscience faite de connaissance et d’amour » Cela ne souffre ni exception ni à peu près. Le recours au pélican et à l’aigle en balise les contours. 

Le contenu se dévoile dès lors avec une netteté que l’acuité du regard de l’aigle permet seule. Tous nos rituels du 1er Grade au 4ème Ordre nous demandent de chercher la vérité avec les autres. Autrui est celui qui m’accompagne dans la vie d’où cette notion de voyage que nous retrouvons au 4ème Ordre et me permet de progresser de la caverne à l’anneau d’alliance en passant par le pont. La démarche est collective, point de salut sans l’Autre dans nos rituels de Sagesse. L’Arche du 4ème Ordre au sein de laquelle se trouve le Chevalier Rose-Croix nous enseigne symboliquement que les Hommes sont rassemblés sous une seule Parole dans la Foi, l’Espérance et la Charité., cette charité qui doit nous faire « découvrir avec bonheur l’Unité de l’Humanité » Et m’occuper d’autrui et donc de l’humanité revient aussi à m’occuper de moi car j’en suis membre. D’aucun pourrait penser que s’occuper de soi passe pour de l’égoïsme, il n’en est rien, car s’occuper de soi, c’est sortir de l’ombre, c’est « essayer de se rendre visible à soimême » c’est pour le Maçon partager avec autrui ce qu’il a reçu en partage. Autrui existe dans toute sa liberté et c’est cette liberté pure et totale qui en fait une existence irréductible à la mienne, cette existence qui m’échappe et me limite dans ma propre liberté si je ne fais rien pour lui. Le devoir à l’égard d’autrui ne limite pas ma liberté, mais il la fonde en ce que ma définition d’humain, et donc de maçon, exclue la solitude. « Êtes-vous Franc Maçon » interroge le rituel. Et la réponse « Mes Frères me reconnaissent pour tel » souligne l’obligation d’appartenir à la communauté des hommes pour exister moi-même. 


Je ne saurais exister seul, sans le témoignage de l’autre. Autrui me fait progresser lorsqu’il me pousse dans mes derniers retranchements. C’est en effet uniquement lorsqu’on se sent assez fort soi-même pour s’ouvrir sans réticence à autrui que peut vraiment avoir lieu la rencontre de l’autre, source d’enrichissement qui donne à la vie de l’individu une ampleur et une profondeur plus grandes. C’est pourquoi il est certes bon de multiplier dans la vie sociale les lieux et les occasions de rencontre ; mais il est plus important encore de savoir se préparer soi-même à la rencontre, à l’accueil de l’autre. Vivre avec les autres peut certes être parfois un enfer, comme le soulignait Sartre, si chacun se sent constamment épié et jugé par l’autre ; mais il n’est pas davantage de paradis pensable dans la solitude et l’enfermement en soi. Ni enfer ni paradis, la vie en commun n’est pas exempte de conflits, de crises Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis » 5 et même de drames, et la rencontre de l’autre est toujours le commencement d’une aventure, qui, comme toutes les aventures, peut mal finir. Toute rencontre, sans qu’on puisse le savoir d’avance, peut-être un mal ou au contraire un bien. Mais c’est à travers l’échec, et non pas en le fuyant par avance, qu’on peut s’affermir et devenir vraiment soi-même. Tel le pélican se sacrifiant pour sauver ses petits je dois moi aussi m’extraire de moi-même, de la personnalité ancienne enfermée dans mon ignorance et mon égoïsme pour renaître à une vie meilleure. Je ne sais connaître ou plutôt reconnaître, que ce que j’ai appris et qui constitue le fondement même de ce que je suis et il me faut de la foi et de l’amour pour entendre qu’autrui en face de moi est aussi un autre moi-même qui a ses propres pensées, ses propres aspirations. Il est moi et il est Autre mais c’est un être humain en devenir comme moi-même. Le devoir à l’égard d’autrui fonde ma liberté, il en est le garant, il m’inscrit dans la communauté des humains dont notre fraternité est le prototype. Je dois distinguer sans séparer, différencier sans opposer. Grâce à autrui le Monde existe, nous sommes, moi et autrui, deux consciences qui se reconnaissent comme sujets. Mais cette reconnaissance ne signifie pas la connaissance d’autrui en son essence. Je le reconnais comme une conscience de soi au même titre que moi avec ses désirs, ses projets…et dans un rapport au monde différent du mien. C’est pourquoi autrui est l’incarnation d’une liberté dans le monde à laquelle je dois le respect. Je dois à autrui ce qu’il se doit à lui-même : respect, amour et compréhension sans jugement. N’oublions pas de nous en servir mes sœurs et mes frères au long de notre vie et de nous élever contre tout ce qui porte atteinte à autrui. C’est tout le travail du Parfait Chevalier, Chevalier Rose Croix : L’armure de la foi, la ceinture de l’espérance et l’épée de la charité sont des outils au service de l’humanité et du Monde. « Le monde prend sens à partir d’autrui. Si autrui existe pour vous, s’il est respecté dans la juste mesure, le monde s’ouvre pour vous. » 

J’ai dit TS & PM et vous tous Très Respectables et Parfaits Sœurs et Frère

Martine ALLOTE 4ème Ordre Souverain Chapitre Provence Méditerranée « Le Voile d’Isis »

La Mujer en la Francmasonería. Epílogo.

Y a todo esto, ¿qué sucedió con la mujer en relación a la Francmasonería?
En la Edad Media, las corporaciones de arquitectos y picapedreros, en la gran mayoría de los casos estaban integradas por hombres. En la gran mayoría, lo que no significa que no existieran mujeres que cumplieran estos Oficios, pues no todas las corporaciones medioevales excluyeron a la mujer .
En el “Libro de los Oficios del Preboste de Paris”, que data del año 1270, se detallan los oficios y corporaciones exclusivamente femeninas, las que presentaban en su construcción y funcionamiento, marcadas semejanzas con las de los masones operativos de la época. En este sentido, es particularmente destacable la cofradía de las Hilanderas.
En el sistema de aprendizaje de oficios de las cofradías del Compañonage (una institución muy vieja en Europa), en el viaje que ha efectuado todo compañero desde el medioevo, el llamado “Tour de France”, la “Madre” ha sido la encargada o dueña de la posada o albergue en que pasan los “compañeros” su período de prueba del oficio, y la que organiza sus vidas, vela porque reine el orden, la justicia y el entendimiento fraternal entre todos. Estos viajantes aprendices, pueden llegar hasta la centena de jóvenes entre 18 y 25 años durante un período que puede ir de 6 meses a dos años. Único personaje femenino admitido en el Compañonage, ha gozado siempre de una autoridad reconocida y de un respeto profundo.
La Guilda (corporación) inglesa de los Carpinteros de Norwich, que data de 1375, guilda a la que también pertenecían los albañiles de York, recuerda que: “Todos los años, el sábado siguiente a la Ascensión, los Hermanos y Hermanas se reunirán en un lugar determinado para recitar oraciones en honor de la Santa Trinidad, por la paz y la unión del país...” “Si muere algún miembro de la guilda, sus Hermanos y Hermanas deben rezar por él ...”
Entre los constructores de Catedrales encontramos el nombre de una mujer, Sabine de Pierrefonds, hija de Hervé de Pierrefonds, más conocido por su nombre germánico de Erwin de Steinbach, constructor principal de la Catedral de Strasburgo. Sabine esculpió algunas de las notables estatuas de Notre Dame de París, y a su vez en tanto que Maestra de Obra, formó Aprendices en su oficio. Y es probable que no fuera la única mujer en ser Maestra del Oficio.
También se puede pensar en la recepción de las esposas de los Maestros, pues en las ”Antiguas Constituciones de los masones francos y aceptados, tomadas de un manuscrito escrito hace 500 años” de J. Roberts, escrito en 1722, en la parte del Reglamento de los Aprendices, dice: “No revelaréis los secretos o proyectos de vuestro Maestro o de vuestra Maestra ...”
En los archivos de la Logia de York N° 236, que perteneció a la antigua Gran Logia de toda Inglaterra, existe un manuscrito de 1693, por el que nos enteramos que durante una recepción en el Siglo XVII: “Uno de los antiguos toma el Libro, y aquél o aquella que debe ser hecho masón posa las manos sobre el Libro, y le son dadas las instrucciones”.
Incluso la iniciación femenina a la masonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)

Mujer y Masonería: La lucha por la absoluta "Igualdad" (y II)

En los tiempos de la masonería operativa, las mujeres participaban activamente en las fraternidades de los talladores de piedra y de constructores. En efecto - y para sorpresa de muchos -se pueden ver nombres femeninos tanto en las listas de trabajo de las canteras como en las relaciones de asistencia de varias "Logias", nombre con el que se designaba el pequeño local temporal destinado a la administración de las obras de construcción durante el tiempo que estas duraban. El hecho de que la gran mayoría de estas corporaciones estuviera integrada por hombres, no significa que no existieran mujeres que cumplieran estos oficios, puesto que no todas las corporaciones medievales excluían a la mujer.
Para citar un ejemplo, la Guilda (corporación) inglesa de los Carpinteros de Norwich, que data del 1375, a la que también pertenecían los masones de York, recuerda que: “Todos los años, el sábado siguiente a la Ascensión, los Hermanos y Hermanas se reunirán en un lugar determinado para recitar oraciones en honor de la Santa Trinidad, por la paz y la unión del país...” “Si muere algún miembro de la guilda, sus Hermanos y Hermanas habrán de rezar por él ...”
Entre los constructores de Catedrales encontramos el nombre de una mujer, Sabine de Pierrefonds, hija de Hervé de Pierrefonds, más conocido por su nombre germánico Erwin de Steinbach, constructor principal de la Catedral de Estrasburgo en el 1277. Sabine fue responsable de tallar el pórtico de esta catedral así como de esculpir algunas de las notables estatuas de Notre Dame de París. También por su condición de Maestra de Obra, formó Aprendices en su oficio.
Pensamos también en la recepción de las esposas de los Maestros, pues en ”las Antiguas Constituciones de los masones francos y aceptados”, tomadas de un manuscrito de una antigüedad de 500 años anterior a ser editado en 1722 por J. Roberts, en la parte del Reglamento de los Aprendices, dice: “No revelaréis los secretos o proyectos de vuestro Maestro o de vuestra Maestra ...” En los archivos de la Logia de York N° 236, que perteneció a la antigua “Gran Logia de Toda Inglaterra”, existe un manuscrito de 1693 (denominado York Nº 4), dónde podemos leer lo que sigue respecto a una recepción del Siglo XVII: “Uno de los antiguos coge el Libro, y aquel o aquella que debe ser hecho masón, pone las manos sobre el Libro, y le son dadas las instrucciones”. Incluso, la iniciación femenina dentro la francmasonería aceptada se extendió a una soberana, Ana Estuardo, hija de Jacobo II, que reinó sobre Gran Bretaña e Irlanda de 1702 a 1714 .
Si consideramos importante efectuar una búsqueda histórica de los orígenes y parte de la base de inspiración de lo que posteriormente representará la masonería especulativa, necesariamente nos hemos de dirigir a los denominados "Antiguos Deberes" u obligaciones (Old Charges). Estos se componen de un material de aproximadamente ciento veinte documentos manuscritos que han sobrevivido hasta nuestros días, referentes a normas y reglamentos que gobernaban el arte y la ciencia de la construcción antes del surgimiento del sindicalismo moderno. Estos documentos datan de unos trescientos a seiscientos años atrás. El más antiguo conocido es el denominado "Regius" y, según los expertos, fue redactado sobre el 1390; se trata de un extenso poema, de rima arcaica denominada "doggerel verse", que se encuentra en el British Museum. De éste destacamos unos extractos de particular interés:
“Este gran clérigo se llamaba Euclides,
Su nombre era conocido en todo el mundo.
Pero este gran clérigo ordenó
A quien más elevado estaba en este grado,
Que debía de enseñar a los más simples de espíritu
Para ser perfecto en este honrado oficio;
Y así debían instruirse el una al otro,
Y amarse juntos como hermano y hermana.”
También en el Artículo Décimo leemos:
“El décimo artículo sirve para hacer saber,
A todos los del oficio, grandes o modestos,
Que ningún maestro puede a otro suplantar,
Sino estar juntos como hermana y hermano.”
Finalmente en su punto noveno encontramos:
“El noveno punto va dirigido a aquel
Que es el intendente de nuestra sala
Si os encontráis juntos en la cámara
Servios uno al otro con calmada alegría;
Gentiles compañeros, lo debéis saber,
Cada cual debe ser intendente por turnos,
Semana tras semana, sin lugar a dudas,
Todos a la vez intendentes deben ser,
Para servirse unos a los otras, amablemente,
Como si fueran hermano y hermana;”
Llegados hasta aquí, permitidme efectuar la siguiente reflexión: La aparición de la Masonería Moderna o Especulativa en 1717, con la organización de la Gran Logia de Londres supuso una desviación de la tradición masónica anterior. Años más tarde este hecho generó la revuelta de los masones operativos liderados por el H.·. Laurence Dermott, quien constituyó la Gran Logia de los "Antiguos" según las viejas instituciones. Es innegable que la fuente de la Tradición Masónica radica en la Masonería Operativa anterior a 1717, de dónde se deduce que la Gran Logia de Londres era cismática e irregular "ab initio". Por lo tanto hablar de los conceptos de regularidad y legitimidad resulta un tanto complejo y delicado. La evolución es absolutamente necesaria siempre que se conserve aquello que es "esencial" para determinar el pensamiento masónico, y curiosamente, algunas propuestas concretas que pueden parecer innovadoras, ya eran de aplicación en la tradición masónica antigua.
Vemos, pues, que el problema generador de división masónica alrededor del concepto “regularidad”, responsable entre otras diferencias, de la no aceptación de la mujer como miembro de nuestra Augusta Orden, se reduce a la clasificación que ciertas Obediencias reservan para otras en función de su origen, Ritos y creencias. Simbólicamente, se aplica este término a los masones que están activos (inscritos en una L.·. y a plomo con sus obligaciones) y de la Logia que cumpliendo con las condiciones constituyentes, está instalada y reconocida por una Ob.·., quien le otorga una Carta Patente ofreciéndole “legalidad- regularidad” para ejercer su trabajo bajo su jurisdicción. Pese a esto, esta legalidad adquirida obedencialmente, no es condición “sine qua non” para definir su calidad masónica. Recordamos que una Logia Justa y Perfecta disfruta de completa independencia de otra Logia o Gran Logia para desarrollar sus trabajos. ¿Dónde encontramos pues, el “fons et origo” de la esencia masónica?
Ésta probablemente radique en los Landmarks o Antiguos Límites, puesto que son los Principios Generales de Derecho Masónico, normas de derecho no escrito, que cumplen una importantísima tarea fundamentadora, interpretativa, integradora y limitadora. ¿Pero qué son estos landmarks o linderos? Algunos de estos linderos son comunes, otros bastante diferentes dependiente de quien haya hecho una relación (Mackey, Mac Bride, Pound, Pike, u otros) llegando en algunos casos a encontrarse en total contradicción. Sólo unos pocos linderos de los muchos que aparecen en las numerosas listas coinciden o son muy similares a las Obligaciones contenidas en los antiguos Estatutos de la Cofradía. Los verdaderos Landmarks constituyen reglas rectoras, puntos de partida y de referencia, dónde su observancia permito garantizar la conservación de la esencia masónica siempre y en todas partes. Nos estamos refiriendo entonces a aquellas ideas básicas sobre las que se fundamenta la Institución Masónica, que surgen lógica y racionalmente de aquello que ha sido, es y será la Orden en su propia naturaleza. Vemos en ellos aquellos principios o reglas de gobierno masónico que supuestamente determinan el espíritu de nuestra institución, y que por provenir de tiempos remotos, se tienen en su mayor parte por inviolables. Dentro de estos linderos se encuentra la masonería, fuera de ellos, no existe. Por lo tanto, ninguna Gran Logia los puede derogar, ignorar, modificar o añadir y tienen como características el ser fundamentales, preexistentes, subordinantes, universales e inmutables. Existen y permanecen sin necesidad de ser enumerados, ni contenidos en un código. Podríamos “atrevernos” a intentar citar algunos que considero como muy evidentes:
La Masonería es una Institución cerrada y permanece a cubierto. El Simbolismo forma parte integrante de la Masonería.
La Logia representa el lugar físico y espiritual de encuentro de los Masones.
La Masonería es defensora de los derechos humanos.
Los Masones son seres humanos libres y de buenas costumbres. La Masonería le opone al dogmatismo, el libre examen, el libre pensamiento y la razón.
La Masonería es ajena como institución a la práctica religiosa.
La Masonería es ajena como institución a la práctica política.
La Masonería es una institución democrática.
Paralelamente, nos aparecen los Antiguos Usos y Costumbres. Éstos también son normas de derecho no escritas, que sin tener las características de los Landmarks, cumplen una tarea supletoria en el derecho masónico aunque pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia de la Orden. Los Antiguos Usos y Costumbres no tienen la connotación de principios generales y deben ser estudiados como prácticas reiteradas que se han convertido en costumbres aceptadas y se deben tratar de forma diferente, entre otras razones porque estas no tienen el carácter de esencialidad, inalterabilidad o inmutabilidad. La exigencia de la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la exclusión de la mujer no son reglas esenciales o fundamentales para la Orden Masónica. Resaltamos como curiosidad, que la Gran Logia Unida de Inglaterra los enuncia en un lugar diferente a los Antiguos Límites y de estos Landmarks no ha elaborado ninguna lista que los defina o que ni siquiera los enumere . Los tradicionalmente presentados como Landmarks, como la lista de Mackey y otras similares, suelen ser antiguos Usos o Costumbres, pero no Landmarks o Principios Generales de Derecho Masónico, ya que no reúnen las características antes mencionadas. En este sentido, la creencia en el G.·.A.·.D.·.U.·. y la regla de la exclusión de las mujeres, no son Landmarks sino Antiguos Usos . Pueden ser eliminados, sin que se afecte la esencia masónica. De hecho, las Logias europeas principalmente que ya retiraron estas prohibiciones deben sentirse completamente legitimadas sin ningún género de dudas, siendo el problema, más de relaciones internacionales en lo que respeta al reconocimiento por parte de determinadas obediencias abocadas a defender unas posturas intelectualmente y moralmente insostenibles a día de hoy dentro de una sociedad de progreso y libertades. El cambio de parecer de estas últimas se producirá tarde o temprano, y la meta de unión universal francmasónica estará algo más cercana y menos utópica.
Por todo esto, como defensores del ideario francmasónico, reconozcamos y devolvamos los derechos que pertenecen a la mujer tanto por sus cualidades como por justicia universal, y hagamos operativo este sentimiento igualitario para todos los seres humanos en cualquier situación que así lo requiera. Es nuestro deber y responsabilidad.

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)

Mujer y Masonería: La lucha por la absoluta "Igualdad" (I)

Puede resultar sorprendente plantear este tema en la actualidad, por su aparente evidencia argumental. Aún así, he estimado oportuno hacerlo como trabajo sintético de estudio y conocimiento histórico individual, intentando a la vez que pueda resultar de interés para el resto de Hnas.·., HH.·. o lectores en general.
Nuestro mundo ha experimentado grandes progresos, aunque muchos de ellos se han materializado de manera desigual en diferentes aspectos. Uno de los grandes adelantos sociales y de valores lo representa la teórica conquista por parte de la mujer de la igualdad de derechos cívicos y de oportunidades con los hombres, con todavía numerosas y desgraciadas excepciones por ahora. No siempre fue así. La mujer era tanto o más importante que el hombre en los cultos y creencias antiguos. Esta importancia también adquirió significado en la vida social y comunitaria, hasta llegar a las diversas formas de matriarcado.
En tiempos prehistóricos, la mujer tenía una activa participación en los cultos agrarios de fertilidad. Recordemos el culto a las “Diosas Madres” ya vigente en la etapa “auriñacense” del paleolítico superior (30.000 AC). En la Antigüedad, de Mesopotamia y Egipto, el culto a la diosa Naturaleza pasó a la Europa mediterránea. Durante miles de años la religión del área mediterránea y Europa, desde Anatolia hasta el Próximo Oriente, expresó el culto a la Diosa, metáfora de la naturaleza, y sus ciclos representaron la vida, la muerte y la regeneración. La civilización matriarcal de la Vieja Europa llegó a su máximo esplendor durante el 5º milenio AC. Respecto a los ritos de Iniciación y las formas de sacerdocio, desde los más elementales hasta los culturalmente mejor elaborados, la mujer ocupaba un lugar de preferencia. En el Antiguo Egipto, las mujeres participaban activamente en los Misterios de Isis y Osiris, del mismo modo que en Grecia en los Misterios de Eleusis instituidos por la diosa Deméter. Las invasiones por razones probablemente económicas de los indoeuropeos, no obstante, impusieron una estructura social patriarcal, y un panteón con dioses predominantemente masculinos. Los nuevos soberanos déspotas buscaron el apoyo de Sacerdotes y poetas para dar fundamento religioso a su ideología política que les ayudara a gobernar con normas morales y legitimara sus acciones agresivas y su poder absoluto. Fue así como se efectuó la reforma religiosa, creando y divulgando mitos, usados con la expresa función de propagar la ideología patriarcal. Los nuevos mitos aportaban claves útiles para la existencia, servían para imponer, amparar y mantener una situación de superioridad masculina, modelaban conductas diferenciadas de cada sexo y servían para subordinar, someter y disciplinar a las mujeres, a la vez que para justificar el orden impuesto y asignarle una base moral. Esta justificación religiosa permitía la guerra, como cumplimiento de indicaciones Divinas y, amparándose en la misión grandiosa de extender su religión, pretendía convertir al resto del universo. Antes de aquellas invasiones indoeuropeas, los pueblos del continente no utilizaban armas, vivían en ciudades abiertas y se dedicaban esencialmente a la agricultura, la artesanía y el comercio. Podemos de este modo diferenciar estas anteriores “sociedades solidarias” respecto a las “sociedades de dominación” que se impusieron finalmente. Las invasiones indoeuropeas consolidaron la sumisión de la mujer plasmadas ciertamente en las religiones de Libro Sagrado: el judaísmo, el islam y el cristianismo.
Este conjunto de factores: comportamientos innatos y adquiridos, normas de derecho, usos y costumbres tradicionales y preceptos religiosos erróneos, mantuvieron a la mujer en un grado de inferioridad en relación al hombre . Muchos de quienes se oponen a la admisión de la mujer en Francmasonería, esgrimen como únicos argumentos, unas veces el de la "Tradición", otras las Constituciones de 1.723, y algunos van mucho más allá recurriendo a teorías antropológicas de nula base científica y de fascistas reminiscencias que ahora me ahorraré comentar. Estas posturas intentan impedir que más del 50% de la Humanidad beba de las mismas fuentes del Conocimiento que los hombres "libres" y nacidos de mujer. Las Constituciones de Anderson (1.723)., salidas de a imprenta de Willian Hunter, Londres, el año Masónico de 5.723 (1.723 E.··.V.··.), representan unos de los puntos discordantes. Es en su Sección Segunda (Obligaciones de un Francmasón, apartado III), dónde está el origen de lo que todavía hoy continúa sembrando la polémica: "Los candidatos admitidos como miembros de la Logia, deben ser buenos y leales, nacidos libres, de edad madura y discreta, no esclavos, ni mujeres, no inmorales o escandalosos, sino de excelente reputación". Resulta a todas luces incomprensible que una Fraternidad que ha luchado contra toda clase de "dogmas", acabe por "crear" y "mantener” uno, para justificar la no participación de la mujer. Esta postura "dogmática" se fundamenta en un párrafo de un documento producto de la mentalidad de aquellos años y elaborado por hombres de iglesia (no olvidamos la calidad de pastores protestantes de Anderson y Désaguliers), puritanos y con un concepto sobre la inteligencia y aptitudes de la mujer de su época totalmente diferente al nuestro. Anderson excluye a las mujeres, no por una cuestión iniciática o relacionada con la Tradición, sino por un hecho histórico constatable en aquella época: las mujeres vivían y morían bajo la tutela masculina y prácticamente nadie las consideraba libres. Refiriéndonos nuevamente a esta lectura dogmática, resulta curioso, que en el Artículo XXXIX (último de ellos) de los Reglamentos Generales, recopilados por George Payne (Segundo Gran Maestre de la Logia de Londres) el año 1.720 (tres años antes de las Constituciones de Anderson), se diga: "Cada sesión anual de la Gran Logia, tiene poder inherente y autoridad para hacer nuevas reglamentaciones o alterarlas, para el beneficio real de esta antigua Fraternidad.."

Joaquim Villalta, Vª Orden, Gr.·. 9, 33º
M.·. I.·.
Director de la Academia Internacional de la Vª Orden - UMURM
Gran Orador del Sublime Consejo del Rito Moderno para el Ecuador
Miembro Honorario Miembro Honorario de la R.·. L.·. Estrela do Norte nº 553 del Grande Oriente Lusitano
Miembro Honorario del Gran Oriente Nacional Colombiano
Miembro Honorario del Gran Oriente Tradicional de Bolivia
Miembro Honorario del Soberano Supremo Consejo del Grado 33 para el Escocismo del Ecuador
Miembro de la International Confederation of Supreme Councils AASR
Miembro Honorario del Supremo Consiglio del 33º ed Ultimo Grado del R.S.A.A. per l’Italia e sue Dipendenze
Muy Poderoso Soberano Gran Comendador del Supremo Consejo del Grado 33º para España del Rito Antiguo y Aceptado (Rite de Cerneau)